Les animaux unicellulaires (protozoaires), comme la paramécie, et certains pluricellulaires à l'organisation simple, tels les éponges (spongiaires) et les cnidaires, ou encore les organismes de très petite taille (comme les copépodes), ne possèdent pas d'appareil respiratoire.
La plupart des poissons respirent par des branchies. Constituées de lamelles irriguées par de nombreux vaisseaux sanguins, celles-ci permettent d'absorber l'oxygène dissous dans l'eau qui les entoure. Chez les poissons osseux, l'eau entre par la bouche et sort par les deux ouïes.
Les paramécies vivent en eau dure et l'eau a tendance à entrer dans le cytoplasme. La paramécie stocke puis évacue l'eau excédentaire grâce à ses vacuoles pulsatiles, ce qui lui évite d'éclater. Cette expulsion d'eau lui permet aussi de se propulser.
Le poisson n'a pas de poumons comme nous, mais il a des branchies qui lui permettent de respirer sous l'eau. Car il y a de l'oxygène dissout dans l'eau… L'eau entre par la gueule du poisson, puis elle passe au travers des branchies, et ressort au niveau des opercules.
L'oxygène de l'air que nous inspirons par voie nasale ou buccale parvient jusqu'aux poumons par la trachée, ainsi que jusqu'aux alvéoles pulmonaires par de fines ramifications (bronches et bronchioles) et, enfin, jusqu'aux vaisseaux sanguins (capillaires).
Le dioxygène est alors pris en charge par des cellules sanguines très particulières : les globules rouges. Ceux-ci permettent le transport du dioxygène vers toutes les cellules constituant notre organisme. Nous en avions déjà un peu parlé ICI. Les poissons ne respirent pas en dehors de l'eau.
La paramécie se nourrit de bactéries par phagocytose. Les vacuoles nutritives s'associent à des lysosomes et suivent un trajet en boucle allant de l'extrémité antérieure à l'extrémité postérieure, où les restes non digérés sont évacués.
Le corps est entièrement recouvert de cils vibratiles dont les battements lui permettent de se déplacer. De fait, la paramécie peut se déplacer à grande vitesse, jusqu'à 12 fois sa propre longueur de corps chaque seconde.
Comme la plupart des ciliés, la paramécie présente la particularité d'avoir un appareil nucléaire en deux parties : un (ou plusieurs) petit noyau, le micronucleus, et un gros noyau, le macronucleus.
Cette respiration peut être représentée en 4 étapes majeures: 1) Ventilation 2) Echange des gaz avec le sang 3) Circulation sanguine 4) Echange des gaz avec les cellules. L'appareil respiratoire est composé des organes qui sont nécessaires pour la phase 1) et 2).
Prenez une position confortable, propice pour pratiquer la respiration profonde et fermez les yeux. Inspirez lentement par le nez durant 4 secondes. Votre ventre se gonfle d'air. Retenez votre respiration durant 7 secondes en vous tenant bien droit.
(Médecine) Respiration ralentie, plus lente que la respiration normale, due au froid ou à la concentration en dioxyde de carbone.
Solution naturelle, les plantes
Les plantes sont d'excellentes créatrices d'oxygène. Durant le jour, soit toute la période où l'aquarium est allumé, elles produisent de l'oxygène grâce au phénomène naturel appelé photosynthèse. La nuit le phénomène s'inverse et les plantes produisent du gaz carbonique.
Elle correspond aux mouvements d'inspiration (entrée de l'air dans les poumons) et d'expiration (sortie de l'air des poumons). Ces mouvements sont produits par la contraction des muscles respiratoires (intercostaux et diaphragme).
Tous ces animaux présentent un point commun : leurs organes respiratoires sont des branchies, permettant la respiration aquatique. Cette respiration consiste à prélever l'oxygène de l'eau, et non à partir de l'air.
La paramécie est un protozoaire cilié vivant en eau douce très fréquent dans les mares et les étangs.
En réalité, elle est 300000 fois plus petite. La longueur de la paramécie sur la photographie est environ 9.5 cm. La longueur d'un filament sur la photographie est environ 7cm.
PARAMÉCIE, subst. fém. ZOOL. Grand protozoaire cilié (le plus commun du genre Infusoires), vivant dans les eaux croupies.
Les Paramécies recherchent activement l'oxygène ; elles se groupent aux bords du couvre-objet ou autour d'une bulle d'air. Les échanges gazeux se réalisent au travers de la membrane cellulaire. Les Paramécies sont également sensibles aux excitants chimiques et au courant électrique.
- Chez les unicellulaires, la conjugaison consiste en un véritable échange de matériel génétique en deux cellules, et donne naissance à de nouveaux individus. La paramécie a une reproduction asexuée par sciciparité, mais aussi sexuée pour effectuer un brassage génétique.
La paramécie possède des corps basaux, organites homologues des centrioles présents dans les cellules des organismes multicellulaires.
Lorsqu'ils sont tirés hors de l'eau, les poissons commencent à suffoquer. Leurs branchies s'affaissent, leur vessie natatoire peut se déchirer à cause du brusque changement de pression. Cette expérience est réellement horrible pour les animaux, qui tout comme nous, ressentent la douleur.
Les poissons qui vivent dans les océans boivent en permanence. Pourquoi ? Ces animaux doivent maintenir une certaine quantité de sels minéraux dans leur sang pour rester en vie. Alors que les poissons perdent de l'eau via leurs branchies, ils boivent constamment par la bouche.
Sauf s'il s'agit d'un poisson de surface, il n'y a pas de raison que celui-ci ouvre la bouche pour respirer en dehors de l'eau. Si tel est le cas, cela signifie qu'il y a clairement un manque d'oxygène pouvant s'expliquer par des blessures, des parasites ou encore certaines maladies comme la douve.