Les gabions sont une solution très en vogue. Il s'agit de cages métalliques dans lesquelles sont stockés des galets ou autres petits rochers. Pour créer une retenue de terre, il suffit d'aligner les cages sur la longueur souhaitée puis de les superposer jusqu'à obtenir la hauteur de retenue désirée.
Palissade. Les palissades, qui ressemblent à des poteaux de section assez fine, sont placées côte à côte verticalement, avec une partie enterrée et scellée dans du béton afin qu'elles ne bougent plus. Elles permettent ainsi de retenir la terre.
Planche en pin traité Classe 4 2400 x 200 x 40 mm conçue pour la réalisation d'une retenue de terre en bois.
Creusez à la verticale, quel que soit le degré de pente de votre talus puis plantez les végétaux choisis. Stabiliser la motte puis dessinez une sorte de cuvette autour de la plante pour retenir l'eau et arrosez doucement.
Pour retourner la terre sans se blesser ni se fatiguer, l'usage d'un motoculteur ou d'une motobineuse est préconisé. En effet, même si l'on a la main verte, le fait de devoir retourner la terre à la main demande beaucoup de temps et d'énergie.
Sur 60 cm de haut, des gabions de 50 x 50 cm seront suffisants, avec des pierres calcaires dedans, cela fera bien son poids pour retenir les terres..
La bordure de jardin en bois est une bonne solution pour créer différents types de retenues de terre. Son côté naturel et esthétique est apprécié dans un potager comme le long d'une allée. La bordure en bois peut être faite de rondins ou de traverses.
Pour les petites retenues (- de 50cm), vous pouvez planter côte à côte des rondins dans le sol. Une solution qui permet de créer des arrondis ou de suivre des dénivelés. Pour les plus retenues plus importantes (jusqu'à 1,50m), utilisez des planches horizontales fixées sur des rondins ou des poteaux de type berlinoise.
Le propriétaire d'un terrain en surplomb est, en effet, responsable de la retenue de ses terres (cass. civ. 3e du 15.6.94, n°92-13487). S'il refuse, vous serez fondé à lui délivrer une mise en demeure, puis à saisir la justice, pour le faire condamner à réaliser le mur de soutènement sous astreinte.
Connue depuis l'Antiquité, la chaux est particulièrement conseillée pour les terrains humides. Elle contribue par exemple à l'imperméabilisation des sols argileux et limoneux. Le ciment. Les propriétés résistantes du ciment en font aussi un excellent matériau de stabilisation.
L'astuce la plus répandue est de déplacer la terre du point le plus haut vers le point le plus bas. Pour cela, il faut commencer par un labourage du sol sur une profondeur de 20 cm. Grâce à cette technique, la terre sera plus facile à déplacer.
À l'aide d'une pelle, appliquez des pelletées de terre végétale fraîche ou de sable dans les zones basses de votre terrain. La terre ne doit pas avoir plus de ½ pouce d'épaisseur pour s'assurer que l'herbe existante puisse pousser à travers, car si elle est trop profonde, elle tuera l'herbe existante.
Pour qu'une construction respecte la législation concernant un mur de soutènement, ce type de construction ne doit pas dépasser 4 mètres de haut.
La fourche à bêcher
En cas de terre très lourde ou caillouteuse, la fourche-bêche peut se montrer indispensable, mais dans ce cas il est préférable d'agir à l'automne ou en fin d'hiver (s'il ne gèle pas). Prenez soin de ne pas retourner la terre, juste de la soulever pour qu'elle s'aère.
Les gabions sont une solution très en vogue. Il s'agit de cages métalliques dans lesquelles sont stockés des galets ou autres petits rochers. Pour créer une retenue de terre, il suffit d'aligner les cages sur la longueur souhaitée puis de les superposer jusqu'à obtenir la hauteur de retenue désirée.
Différents types de murs de soutènement sont disponibles : le mur en béton, le mur en parpaing ou encore le mur en gabion. Chacun de ces types de murs a ses avantages et inconvénients en termes de coût, de mise en œuvre et de résistance aux glissements de terrain.
Enterrer le poteau ou le rondin directement dans le sol
Poser un lit de quelques centimètres de gravillon, pour limiter les remontées d'humidité par capillarité. Positionner le poteau, piquet ou rondin dans celui-ci. Un film de protection ou du goudron peuvent être appliqués au bois pour une protection renforcée.
Pour des bordures traditionnelles, disposez de simples briques pour créer vos allées de jardin. Creuser une petite tranchée entre les deux zones à délimiter. Disposer y vos briques à 35° environ. En les couchant les unes sur les autres, vous gagnerez en stabilité.
Une bordure de parterre peut être composée de pierres naturelles, de pavés, de briques, de clinkers ou de galets. Il est également possible de fabriquer une bordure en bois, comme des rondins, des planches, des troncs d'arbre, de l'osier ou du bambou.
Optez pour ces bordures incurvées qui retiendront la terre sur un terrain pentu. Une fois bien installées dans le sol, elles ne bougent pas et garantissent une bonne stabilité. Par leur coloris acier brut, fushia ou gris anthracite, elles sont autant utiles pour retenir les plantes que comme élément de décoration.
Si la hauteur est comprise entre 50 cm et 1m50, il vous faudra passer aux arbustes de plus forte stature mais à racines très drageonnantes, comme le rosier rugueux (Rosa rugosa), le goji, les framboisiers, le saule rampant (Salix repens), le cornouiller sanguin, les bambous du genre Phyllostachys, le sumac (Rhus ...
Le labour du jardin est un travail qui consiste à retourner le sol de façon à l'ameublir et à préparer la terre à l'ensemencement. La terre doit être labourée au moins une fois tous les ans, de préférence à la fin de l'automne ou aux prémices de l'hiver, avant que celle-ci ne soit excessivement humide.
Le motoculteur est davantage destiné aux jardiniers expérimentés, pour des travaux sur une surface plus grande, entre 1 000 et 3 000 m², en fonction de la puissance de la machine. Cette dernière permet de labourer et de retourner la terre avec une profondeur plus importante que la motobineuse.