Si vous numérotez vos doigts de 1 à 5 (le pouce étant le numéro 1), vous devrez monter la gamme ainsi avec votre main droite : Do/1 – Ré/2 – Mi/3 – Fa/1 – Sol/2 – La/3 – Si/4 – Do/5. Vous devrez donc apprendre à passer votre pouce sous votre majeur, tout en gardant la main bien droite.
Pour connaître la tonalité de votre morceau, commencez par repérer le dernier dièse de l'armature. Par exemple, si vous avez 3 dièses à la clef, il s'agira du sol dièse. Ajoutez alors un demi ton, ce qui vous donne La. Vous êtes donc en La Majeur.
Il faut jouer les gammes sur une octave, puis sur deux, puis sur trois... jouez-les en utilisant toute la tessiture de votre instrument. Pensez à redescendre ! Le réflexe est de jouer la gamme toujours de manière ascendante (do ré mi fa sol la si do). Essayez dans l'autre sens.
La gamme de Do majeur, la plus classique et la plus pratiquée au début, est formée des 12 notes du clavier, en partant de Do. Pour jouer une gamme majeure au piano, il faut respecter l'intervalle du mode majeur suivant : ton, ton, demi-ton, ton, ton, ton, demi-ton.
Islamey de Balakirev
Oeuvre musicale pour piano du compositeur russe Mili Balakirev, Islamey, opus 18, a été composé en 1869. Très exigeante techniquement, c'est sans doute la pièce la plus difficile à exécuter.
Au milieu des années 1800, les pianos avaient atteint sept octaves. À la fin des années 1880, le populaire fabricant de pianos Steinway a créé le piano à 88 touches qui est la norme aujourd'hui. D'autres fabricants ont suivi l'exemple de Steinway et depuis, 88 clés sont devenues la norme.
La gamme est déterminée par les notes contenues dans les accords utilisés. Les accords sont créés en sautant une note sur deux de la gamme utilisée. Prenons tout de suite un exemple : Si j'utilise les accords Do, Fa, Sol, quelle est la gamme qui correspond ?
La gamme est une suite de sept notes qui augmentent d'un ton à chaque mesure. Il nous faut remonter au XIe siècle pour en découvrir l'origine. C'est à un moine toscan, le musicien Guido d'Arezzo (995–1050), que l'on doit les noms des notes de la gamme que nous utilisons aujourd'hui.
La tonalité de do majeur (ut majeur) se développe en partant de la note tonique do ou ut (surtout utilisé dans le langage théorique). Elle est appelée C major en anglais et C-Dur dans l'Europe centrale.
La gamme do, ré, mi, fa, sol, la et si, bien connue des amateurs de solfège, remonte au XIe siècle. A l'époque, le moine italien Guido d'Arezzo, qui réfléchissait à une méthode pour classer la hauteur des notes, avait eu l'idée de choisir le début de chaque vers d'un chant religieux, l'Hymne à Saint Jean-Baptiste.
Un accord est constitué d'au moins trois notes distinctes, et pas simplement trois sons musicaux différents : les simultanéités « do, mi, sol » ou « do, fa, la » sont des accords ; par contre, « do, mi, do à l'octave » possède deux notes identiques, c'est un accord incomplet.
Pour savoir de laquelle il s'agit, il vous suffit de regarder la note la plus grave à la fin. Si il n'y a qu'un dièse à la clé et que la note la plus grave à la fin est un Sol, le morceau a Sol pour tonalité. Si l'on trouve un Mi à la clé, le morceau est en tonalité de mi mineur.
Une façon simple de le vérifier sans se prendre la tête avec la théorie, c'est quand vous commencez à improviser dessus : si vous êtes en La mineur, c'est sur la tonique (ici la note La) de la gamme de La mineur que vous aurez tendance à insister et à démarrer ou conclure vos phrases.
Quel que soit le mode — majeur ou mineur — la sensible est toujours située une septième majeure au-dessus du degré principal, la tonique, soit un demi-ton diatonique en dessous de l'octave. Par exemple, la note Si est la sensible des gammes de Do majeur et Do mineur.
En théorie de la musique, la tonique est le premier degré de la gamme majeure ou de la gamme mineure. Découvrez son rôle tonal avec un exemple de cadence parfaite. En théorie de la musique, la sus-tonique est le deuxième degré (II) de la gamme majeure ou de la gamme mineure.
Certains mots français n'ont pas une orthographe unique, comme ce petit mot qui désigne ce qui sert à ouvrir ou à maintenir (plan du Robert). Historiquement, « clef » est premier (1080), issu du latin « clavis », « clef, loquet, barre » : le « v » latin devient « f » en français.
La clé de sol est utilisée pour écrire une mélodie chantée ou la partition d'un instrument aux sons plutôt aigus (guitare, violon, la main droite au piano...). La clé de fa est utilisée pour écrire la partition d'un instrument aux sons plutôt graves (main gauche au piano, flûte, alto...).