Rechercher dans les registres matricules du Consulat et du Premier Empire. Lorsque l'on recherche un soldat de l'Empire ayant servi dans la garde ou dans l'infanterie de ligne, il faut connaître l'unité (3e régiment d'infanterie de ligne ou 1er régiment de grenadiers de la ligne par exemple).
Grognards est le nom donné aux soldats de la Vieille Garde de Napoléon Bonaparte. Elle était partagée en « Grenadiers » et « Chasseurs ».
Le site Mémoire des Hommes, qui publie un certain nombre d'archives du Ministère des Armées, contient notamment les registres matricules de la garde impériale et de l'infanterie de ligne pour la période 1802-1815, consultables gratuitement en ligne.
Face aux mauvaises conditions de vie en campagne, notamment en Pologne en 1807, mais aussi en raison du versement irrégulier de leur solde, les soldats de la Grande Armée ne cessaient d'exprimer leur mécontentement, Napoléon Ier les surnommant alors les » grognards « .
Les principales défaites de Napoléon sont : La bataille de la Bérézina (26 au 29 novembre 1812) Waterloo (18 juin 1815)
Dans cette commune belge, Napoléon aurait été doublement trahi le 18 juin 1815. D'abord par ses généraux, Ney et Grouchy en tête. Ensuite par la météo : une pluie diluvienne avait transformé en bourbier le champ de bataille, déroutant son artillerie.
Le coupable serait le général Charles de Montholon, un proche de l'Empereur. Il aurait empoisonné petit à petit Napoléon en versant quelques gouttes de poison dans le vin que consommait le général à Sainte-Hélène.
Il s'appelait Marengo. C'était un pur-sang arabe blanc-gris clair, capturé en Égypte en 1799. Il était le cheval préféré de Napoléon Bonaparte, qui le monta lors de plusieurs batailles victorieuses, de Marengo à Austerlitz, Iéna et Wagram.
Masséna, Lannes et Ney parmi les principaux maréchaux de l'Empire. André Masséna, même s'il a parfois connu la disgrâce, a toujours su retrouver les faveurs de Napoléon Bonaparte, qui le fit prince d'Essling après la bataille de Wagram. Au panthéon des maréchaux de l'Empire, impossible de ne pas citer Michel Ney.
Les premiers documents à consulter pour débuter une généalogie sont les registres paroissiaux et d'état civil qui permettent de trouver les noms des ancêtres et d'établir des liens de filiation entre eux.
De nombreuses sources gratuites sont à votre disposition pour dénicher dans les bases de données généalogiques informations, documents et indices: archives publiques, Heredis online, FamilySearch, Geneanet, Filae, Google, etc…
Les meilleures sources de renseignements généalogiques sont les registres paroissiaux et les registres d'état civil conservés sur le niveau de la commune où votre ancêtre vivait. Pour la France: La Bibliothèque FamilySearch a microfilmé de nombreux registres d'état-civil ou d'églises.
Au total, 19 bicornes napoléoniens ont été recensés à travers le monde sur les 120 portés au cours des quinze années de règne, dont la plupart demeure dans des musées. Celui-ci avait été acheté en 1814 par un politicien écossais dénommé Sir Michael Shaw-Stewart.
Le lot phare de cette vente aux enchères est un bicorne qui aurait accompagné Napoléon lors de sa campagne triomphale de 1807. Le chapeau avait été acheté en 1814 par l'homme politique et aristocrate Sir Michael Shaw-Stewart, qui était devenu quelque peu obsédé par Napoléon.
L'accès aux fiches matricules se fait grâce aux répertoires alphabétiques : le numéro de matricule attaché à un nom renvoie à un registre qui rassemble les états signalétiques et des services militaires des conscrits d'une même classe et du même bureau de recrutement.
Comment faire ? Aux archives départementales,vous trouverez cette information en Série R : Affaires militaires. Sur internet, certains sites d'archives départementales permettent de consulter le répertoire alphabétique et les registres matricules (voir la carte).
Le 5 mai, à 4 h du matin, il prononce avec peine ses derniers mots : « À la tête de l'armée. » À moins que ce ne soit : « France… mon fils… armée… » On l'entend à peine avant qu'il ne plonge dans le coma.
"Son autoritarisme (...), son sens d'un Etat fort, son mépris du régime parlementaire, son impérialisme et surtout son génie de la propagande ; tout peut y faire penser". Mais "il n'y a chez Napoléon ni l'idéologie meurtrière, ni le délire raciste de ceux que l'on présente comme ses successeurs", ajoute l'historien.
Après la défaite de Sedan et la chute du Second Empire en 1870 puis la Commune de Paris de 1871, décision est prise de « supprimer quelques noms politiques dont le maintien blesse le sentiment public ». Un sort similaire a été réservé à Napoléon III, transformateur de Paris, qui n'a pour lui qu'une place.
Napoléon disait qu'il avait quatre ennemis : la Prusse, la Russie, l'Angleterre et... Madame de Staël.
Après la chute de l'Empire, la monarchie est restaurée avec Louis XVIII qui est remis sur le trône en 1815, après son bref passage en 1814 lorsque Napoléon Ier a abdiqué. À sa mort en 1824, Charles X lui succède ; il s'agit du dernier membre des Bourbons sur le trône de France.