À la genèse de cette célébration : la fête irlandaise de Samain, ou Samhain, "aux origines celtes, qui célèbre le passage de la saison estivale claire à la sombre saison de l'hiver", explique le site Bretagne.com, précisant qu'elle était "célébrée 3 jours avant le 31 octobre et 3 jours après, du 29 octobre au 4 ...
Halloween, une fête aux multiples origines
Samain (ou Samhain) est une fête celtique célébrée en Irlande et en Ecosse depuis plus de 2500 ans. Elle était à l'origine l'occasion de célébrer la fin de l'année à une date variant entre fin octobre et début novembre.
Chaque année, le 31 octobre au soir, la tradition d'Halloween veut que les enfants et adultes déambulent dans les rues vêtus de déguisements parfois terrifiants. Cette fête païenne est célébrée la veille de la Toussaint et ses rituels varient d'un pays à l'autre.
Samain, ou Samhain, est la fête irlandaise aux origines celtes qui célèbre le passage de la saison estivale claire à la sombre saison de l'hiver. Dans une société qui vit au rythme des moissons, on est bien loin de notre actuel Halloween passé à la moulinette de la culture pop américaine !
Cette célébration trouve son origine 2.500 ans en arrière. Les Celtes célébraient la fête de Samain, fin octobre. Ils pensaient qu'au cours de cette nuit, les frontières entre le monde des morts et celui des vivants étaient ouvertes et ils revêtaient des costumes effrayants pour éloigner les mauvais esprits.
Pour certains croyants musulmans ou chrétiens, l'Halloween est une fête païenne. Certains l'associent même au satanisme. En raison de leur conviction, ils s'opposent à ces célébrations et évitent de laisser leurs enfants faire du porte-à-porte.
Les origines celtiques : la fête de Samain
La plupart des historiens considèrent la fête folklorique païenne traditionnelle d'Halloween comme un héritage de Samain, une fête qui était célébrée au début de l'automne par les Celtes et constituait pour eux une sorte de fête du Nouvel An.
Si on peut traduire sa signification par « la veille de tous les saints », le sens d'Halloween n'est en aucun cas religieux. Elle est plutôt l'héritage de la fête païenne de la Samain, très populaire en Grande-Bretagne, célébrée historiquement au début de l'automne par les Celtes.
La fête de Samain, l'ancêtre d'Halloween
Le Samain est alors une fête païenne qui célèbre la fin de l'année celtique, correspondant au 31 octobre, jour qui acte la fin de la saison des moissons et le début de l'hiver. Cette fête était aussi l'occasion pour les vivants de renouer avec les morts.
Les origines d'Halloween
A partir du Ve siècle, le christianisme se mêle progressivement aux fêtes druidiques, et au VIIIe siècle l'Eglise catholique romaine remplace la fête de Samain par la Toussaint (« All Hallows » en anglais), fixée au 1er novembre.
Comme beaucoup de rites et fêtes chrétiens et musulmans, Halloween est à l'origine une fête païenne, en l'occurence, une fête celte.
Dès les années 50, il y a des traces d'Halloween mais c'était dû à des Américains qui vivaient en France. Ce mouvement que nous connaissons a été marketé pour donner quelque chose à vendre ou une occasion de se réjouir entre la rentrée des classes et Noël.
Les Chinois suivent un autre calendrier que le nôtre. La fête d'Halloween n'y est donc pas célébrée.
L'une d'entre elles, France Telecom, avait largement contribué à la popularisation de cette fête en lançant son téléphone "Olaween". C'était... en 1999. Aujourd'hui encore, lorsqu'on interroge des Français sur le symbole d'Halloween, 80% d'entre eux y voient avant tout une fête commerciale.
Dans la tradition de Samain, les celtes avaient une peur bleue des fantômes. C'est pourquoi une fois par an, ils se réunissaient vêtus de terrifiants déguisements puis déposaient des gâteaux et des pommes à l'entrée du village. Ces offrandes leurs assuraient une certaine sécurité.
Le jour de Samain prend place au début du mois de novembre et l'on retient le premier de ce mois comme date conventionnelle.
Halloween en lui-même ne veut rien dire en anglais et n'est donc pas traduisible tel quel. Il s'agit de la contraction de l'expression «All Hallows' Even » qu'on peut traduire par « la veille de tous les saints » ou « la veille de la Toussaint ».
Une fête aux origines païennes
Pour la religion chrétienne, la fête de Noël n'existait pas. Ce n'est qu'à partir du IIe siècle, que l'Eglise recherche la date précise de la naissance du Christ. La date du 25 décembre fut fixée vers l'année 300 par Rome, afin de christianiser les rites issus de la culture populaire.
1. Se dit des peuples polythéistes et de ce qui se rapporte à leurs croyances. 2. Qui s'inspire des tendances et des idées de la civilisation gréco-latine.
ce mot ne se trouve pas dans la Bible. Cette fête n'est pas biblique. le mot qui se trouve dans la Bible, et qui est proche de halloween est hallow et hallowed. C'est la première requête dans la prière que le Seigneur Jésus-Christ a enseigné à ses disciples.
Halloween est une fête du négatif : la peur, la frayeur, la mort anonyme. La Toussaint, elle, est une fête positive : les saints ou la mémoire des autres. Les saints sont des personnes qui, soucieuses de suivre l'évangile, ont aimé les autres, se sont dévoués pour servir les plus faibles.
Halloween est fêtée la veille de la Toussaint chrétienne par les Irlandais et les Américains entre autres… Les couleurs du décor de cette fête sont l'orange et le noir. L'orange pour le symbole du feu, le noir pour celui de la nuit.
Les gens portaient des costumes sombres pour que ces mauvais esprits les considèrent comme leurs pairs et les épargnent. On retrouve ces caractéristiques de Samain dans les coutumes modernes d'Halloween ainsi que dans l'actuelle fête chrétienne de la Toussaint, dont nous parlerons ensuite.
«Mettre l'horreur à l'honneur», surtout pour les évangéliques, c'est prendre le risque d'habituer les enfants à l'horreur et à la laideur, dans un monde où la peur et la violence sont de plus en plus présentes. «En tant que chrétien, on n'a pas besoin d'Halloween.
De manière générale, les chrétiens ne sont pas tenus de s'abstenir de manger du porc en vertu de leur foi, mais ils peuvent choisir de le faire ou de ne pas le faire en fonction de leurs convictions personnelles.