Avant le XIXe siècle, le pays de Pont-l'Abbé ne s'appelle pas encore bigouden mais « Cap Caval ». C'est la coiffe des femmes qui lui donnera plus tard le nom que nous lui connaissons.
La coiffe bigoudène est une coiffe vestimentaire de cérémonie, qui était portée par les femmes du Pays bigouden en Bretagne. Cette coiffe est caractérisée par sa haute taille (une trentaine de centimètres, jusqu'à 40 cm à Penmarc'h) et est devenue un symbole de la Bretagne.
Chapeau bigouden en feutre laine calotte ronde avec ruban velours. Bigouden, mot breton désignant un petit appendice de toile terminant la partie supérieure de la coiffe de Pont-L'Abbé (Finistère). Par extension, c'est devenu le nom de la coiffe portée par les femmes de cette région de Bretagne.
C'est l'un des symboles folkloriques de la Bretagne. La haute coiffe en dentelles d'une trentaine de centimètres portée par les Bigoudens, les femmes en tenue traditionnelle, est à l'origine un signe de protestation et fait référence aux clochers des églises.
C'est cet élément de la coiffe, qui veut sans doute dire « petite pointe », qui donnera son nom à la région du Cap-Caval. En 1845, les « Bigoudènes » désignent les femmes qui portent une coiffe avec un bigouden. Vers 1860, on parle du « pays des Bigoudènes », qui deviendra plus tard le Pays bigouden.
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
Dans la pratique courante, on peut s'étonner d'entendre utiliser le terme de matriarcat comme désignant un trait particulier de la société bretonne.
Donc, les Bretons doivent être fiers de ne pas être celtes !
« Absolument ! Ils n'ont pas attendu les Celtes pour avoir une culture forte. »
La coiffe est une forme de couvre-chef en tissu porté par les femmes. Autrefois destinée au double usage de dissimulation du visage et de la chevelure et de protection de la tête, la coiffe est devenue dans le civil un accessoire de mode. On recense dans la plupart des provinces françaises des coiffes.
Avec Alexia Coudai et Andrée Le Floch, Marie-Louise Lopéré faisait partie des stars de la fameuse publicité Tipiak, qui s'amuse à mettre en scène des Bretonnes scandalisées par le vol de leurs recettes par la marque alimentaire.
D'ailleurs, le nom du Pays bigouden est issu de ces coiffes. À la base, il s'appelait Cap-Caval.
Ce seraient les classes bourgeoises qui voyaient dans la couleur noire une couleur plus chic, plus élégante, qui auraient inspiré les classes populaires à s'habiller en noir. Mais l'évolution du costume tient également du contexte de l'époque. Les juges et autres personnalités de haut rang portaient tous du noir.
A quelques minutes seulement du village de vacances, Pont l'Abbé, ville commerçante et cité historique de renom, vous invite à découvrir la culture bigoudène au travers d'un patrimoine culturel exceptionnel.
Le Moyen-Âge en Europe, avènement des couvre-chefs
Le touret, sorte de cylindre qui entoure la tête, était très populaire, tout comme le hennin (le fameux chapeau pointu) et le hennin à cornes. Chez les hommes, la coupe au bol était la coiffure tendance du Moyen-Âge.
En fait, l'hérédité est un facteur de prédisposition des pikoù panez. Plus on est roux et plus on peut présenter des pikoù panez. Les Celtes sont les peuples les plus roux sur terre. Ainsi 13% des Écossais sont roux et 40% portent le gène récessif porteur de la rousseur.
Drapeau breton Gwenn ha Du
La devise des bretons, « Plutôt la mort que la souillure », est elle aussi directement liée à la symbolique de l'hermine.
« Je t'aime » se dit « Da garan » en breton.
Da garout a ran ! Da garan !
Étymologie. Du moyen breton mam.
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
La Cornouaille bretonne se trouve dans la partie sud du Finistère et est à ne pas confondre avec les Cornouailles anglaises, situées à la pointe sud-ouest de la Grande-Bretagne.
Bordé à l'est par la rivière de l'Odet, le Pays Bigouden s'étire depuis le long des rivages de la baie d'Audierne jusque sur les hauteurs de la vallée du Goyen pour se prolonger au nord par le Pays de Douarnenez.
Dans la région de Quimper, on parle des femmes « borledenn » et des hommes « glazig », car les premières portent des coiffes au large bord, et les seconds sont vêtus de vestes bleues (« glaz », en breton). D'autre part, le costume féminin reste en vigueur plus longtemps que le costume masculin.