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LA LAIDEUR EN HORREUR - Au rayon des peurs irrationnelles, dites bonjour à la "cacophobie", cette phobie des gens laids qui peut rendre aussi intolérant qu'asocial.
Comme pour les autres troubles anxieux, les causes de la phobie de perdre du poids sont « multifactorielles » : des participations génétiques, congénitales, éducatives et sociales sont évoquées. Il peut y avoir des antécédents traumatiques : par exemple un proche décédé dans un état cachectique (très amaigri).
L'anorexie atypique est un trouble alimentaire qui est plus fréquent chez les femmes et qui se caractérise par des comportements restrictifs et une peur de prendre du poids, mais où le critère d'amaigrissement, ou faible poids n'entre pas en compte, contrairement à l'anorexie mentale.
L'atychiphobie \a.ti.ki.fɔ.bi\, ou la peur de l'échec, ou kakorraphiophobie, est une peur anormale, exagérée et persistance de l'échec. Elle est un type de phobie spécifique.
Définition. La blemmophobie n'est pas une simple timidité, mais une peur viscérale du regard d'autrui sur le corps.
anthropophobie . Misanthropie; état de celui qui a les hommes en horreur.
Primitive ou secondaire, la peur de grossir se trouve au cœur de la plupart des troubles alimentaires. Cette peur entretient et aggrave ces troubles. Il faut donc intervenir pour rompre le cercle vicieux : restriction-anorexie-boulimie, désordres psychologiques.
On parle d'hyperphagie boulimique lorsque les épisodes récurrents de crises de boulimie ne sont pas associés à des comportements compensatoires (vomissements, utilisation de laxatifs...). En général l'hyperphagie boulimique occasionne un surpoids ou une obésité et génère une souffrance psychique.
Une seule solution pour rester à son poids idéal: faire de l'exercice physique chaque jour et ne manger qu'à sa faim. «Au début, cela demande beaucoup d'attention et des efforts car nous vivons dans une société d'hypersollicitation alimentaire et puis on prend l'habitude et les choses se font naturellement.
1) Suivre un régime trop restrictif. 2) Vouloir maigrir trop vite. 3) Essayer de perdre du poids sans sport. 4) Ne pas suivre le bon programme de sport pour maigrir.
Pour le psychologue Mark Barker, auteur de Comment perdre du poids sans régime* , les blocages et les traumatismes psychologiques sont à l'origine de la plupart des problèmes de surpoids. Beaucoup de femmes alternent des régimes culpabilisants avec des phases d'alimentation déséquilibrée, voire compulsive.
La dépression ne s'accompagne pas d'une prise de poids, du moins dans son stade initial. Elle est même, à l'inverse, caractérisée par une triade symptomatique : insomnie, anorexie et perte de poids. Une réduction pondérale d'au moins 5% en un mois est l'un des critères diagnostiques du syndrome dépressif.
Selon une enquête de l'association Anxiety UK, c'est la phobie sociale qui arrive en tête du classement. Également appelé «anxiété sociale», ce trouble se caractérise par une peur intense d'être confronté à des situations d'interactions sociales. L'individu est particulièrement angoissé à l'idée de parler en public.
Gynécophobie - Peur des femmes (Gynophobie).
Besoin excessif de manger, qui n'est pas limité par le sentiment de la satiété. (Elle peut constituer un des signes d'alerte du diabète.)
Les hyperphages mangent souvent même lorsqu'ils n'ont pas faim et continuent de manger jusqu'à ce qu'ils soient remplis et même au delà. Il peuvent aussi se goinfrer en mangeant rapidement et en ne faisant pas attention à la quantité d'aliments qu'ils ingurgitent.
Afin de diminuer la fréquence des crises, essaye de prendre 3 à 4 repas quotidiens et réguliers. L'idée est de manger équilibré et varié, manger des proportions suffisantes d'aliments et d'éviter les restrictions alimentaires. Le plus important est de rester régulier dans des efforts accessibles et réalisables.
Stress et perte de poids
Le stress peut également avoir une influence sur le métabolisme : il l'accélère. Ainsi, les individus stressés peuvent brûler davantage de calories, plus vite, et perdent du poids.
Mais quand le stress devient chronique, le cortisol et l'adrénaline fonctionnent à « plein régime » dans le but de conserver nos capacités énergétiques. L'organisme fait donc des réserves de graisse pour répondre aux demandes excessives de cortisol et d'adrénaline. Conséquence ? Le poids augmente.
L'anthropophobie, aussi appelée phobie de relations interpersonnelles, et une crainte pathologique des gens et de la compagnie des gens. Cette peur se manifeste par un désir d'éviter la société, une peur morbide des gens et de leur présence.
La butyrophobie est la peur du beurre. Tous les autres produits laitiers (lait, yaourt, fromage...) ne dérangent absolument pas les victimes de ce trouble, mais le beurre les effraie et les dégoûte. La personne atteint de ce trouble craint d'en manger et de le voir.
L'anxiété sociale est une peur associée à certaines activités sociales ou à de situations de performance où la personne pourrait se sentir observée, embarrassée, humiliée, rejetée ou préoccupée par le jugement des autres.