Les personnes atteintes de nosocomephobie vont aussi éviter les cliniques médicales et tous les autres lieux qui peuvent avoir un rapport à la médecine.
La nosophobie est une peur irrationnelle de contracter une maladie grave (cancer, Alzheimer, Parkinson, Sida, cardiopathie, sclérose en plaques…). La personne souffrant de nosophobie veut, à tout prix, rester en bonne santé.
"Si on a peur de voir un médecin, j'encourage à consulter un médecin généraliste qui va être clinicien avant d'être un technicien. Il y a donc plus de chance que l'on puisse calmer le patient. Quand on a confiance en son médecin, et qu'on le connaît depuis longtemps, cela peut aider à diminuer l'anxiété.
Du grec nosokomeion, "hôpital" et phobos, "la peur", la nosocomephobie désigne la phobie des établissements de santé et de tout ce qui a un rapport avec la médecine.
La nosophobie (ou pathophobie) est la peur de contracter une maladie (IST, cancer…). A ne pas confondre avec l'hyponcondrie qui désigne la peur de la maladie en général.
C'est un terme qui vient du mot grec « thanatos » qui signifie « mort ». Une personne qui souffre de thanatophobie vit dans une peur démesurée et irraisonnée de la mort. Il peut s'agir d'angoisse de mort imminente, ou d'angoisses en rapport avec la mort : angoisse de la maladie, de la foule,…
panophobie, pantophobie , subst. fém., psychanal. État d'anxiété intense et mal définie ne portant sur aucun objet précis, qui s'observe dans un grand nombre de maladies et syndromes.
Elle est un type de phobie spécifique. Comme d'autres phobies, l'atychiphobie mène souvent à un mode de vie restreint, affectant notamment la volonté d'une personne d'effectuer certaines activités.
La nosophobie, appelée aussi pathophobie, est la peur de contracter une maladie. Le terme nosophobie est issu du grec « nosos » pour maladie et « phobos » pour phobie.
La peur du noir n'est pas la peur de l'obscurité en elle-même mais plutôt des dangers qu'elle pourrait masquer. Cela peut aussi traduire une peur de l'aveuglement. Quand elle devient pathologique, on la nomme nyctophobie ou achluophobie. Cette angoisse n'est pas réservée aux enfants.
De multiples raisons peuvent motiver un patient à refuser un acte médical comme la peur de suivre un traitement lourd ou douloureux, l'échec d'éventuelles autres solutions essayées auparavant, ou encore des « a priori » par rapport à un traitement…
L'hypertension "blouse blanche" est une expression qui désigne le fait qu'une pression artérielle mesurée par un médecin est plus importante que celle mesurée par une infirmière ou un autre tiers. L'hypertension "blouse blanche" double le risque de décès cardiovasculaire, selon une nouvelle recherche.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
L'anosognosie est un trouble neuropsychologique assez méconnu dans lequel le patient n'a pas conscience de la maladie, des difficultés et de ses répercussions sur sa vie quotidienne.
Lorsque l'obsession du rougissement est forte, réellement gênante et durable, les médecins parlent d'éreutophobie (peur obsédante de rougir en public), qui est une des variantes de la phobie sociale. L'éreutophobie touche en général des personnes jeunes, entre 15 et 40 ans, et autant les hommes que les femmes.
Peur pathologique des chiens. La cynophobie fait partie des zoophobies, les phobies animales, et touche plus les femmes que les hommes.
La phobie de vomir, qu'on appelle « émétophobie », correspond à la peur de vomir, de voir quelqu'un vomir ou tout simplement du vomi lui-même. Personne n'aime vomir, mais certains développent une phobie (plus qu'une simple peur) en lien avec le fait de vomir.
Comme pour les autres troubles anxieux, les causes de l'hypocondrie sont « multifactorielles » : des participations génétiques, congénitales, éducatives et sociales sont évoquées. Dans certains cas on retrouve des événements traumatisants dans les antécédents : proche décédé brutalement d'une maladie…
Les troubles anxieux sont aussi souvent associés ou majorés par les événements de vie (professionnels, affectifs et familiaux) et l'environnement. Certaines maladies peuvent déclencher une anxiété. On parle alors « d'anxiété secondaire » comme dans l'hyperthyroïdie, la dépression, les psychoses et le trouble bipolaire.
Selon une enquête de l'association Anxiety UK, c'est la phobie sociale qui arrive en tête du classement. Également appelé «anxiété sociale», ce trouble se caractérise par une peur intense d'être confronté à des situations d'interactions sociales. L'individu est particulièrement angoissé à l'idée de parler en public.
Si les araignées restent la phobie numéro 1 des Français, les hackers font leur grande entrée dans le top 10 des phobies des Français selon une étude menée par McAfee. L'essor des nouvelles technologies ont fait naître de nouveaux risques et ils semblent être pris au sérieux par les Français.
La phobie des clowns a pour nom scientifique la coulrophobie. Le préfixe "coulro" vient du grec ancien "kôlobathristes" signifiant "acrobate qui est sur des échasses".
Nombreux sont ceux qui redoutent les dîners avec leur belle-mère… Estimez-vous heureux, certains en sont carrément phobiques ! En effet, la pentheraphobie est la peur des belles-mères, un traumatisme compliqué à vivre pour votre moitié.
Le mot ergophobie se décompose en ergo, du grec « ergon » qui signifie travail, et phobie, du grec « phobos » qui signifie « peur panique ». L'ergophobie est caractérisée par la crainte irrationnelle et exagérée du travail.