Qu'est-ce que la thérapie par le rire ? On parle de « rigologie ». En effet Corinne Cosseron, Fondatrice de l'École Internationale du Rire, définit la rigologie comme un ensemble de techniques psychocorporelles d'éducation émotionnelle destiné à stimuler la joie de vivre, l'optimisme et la créativité.
La gélotologie (du grec gelos : "le rire" et de logos : "parole, discours") est l'étude du rire et de ses effets sur le corps. Les limites de cette discipline, récemment née aux Etats-Unis sous le nom de "Gelotology" sont peu précises, elle relève essentiellement de la psychologie et de la médecine.
Rigolothérapie : Une psychothérapie basée sur le rire.
Le rire permet d'oxygéner l'organisme, de réduire les tensions musculaires, de masser les côtes en plus de faire travailler le diaphragme. Cela favorise entre autres l'élimination des résidus présents dans les poumons et augmente la capacité respiratoire.
La rigologie est une discipline psychocorporelle complète de libération émotionnelle ludique qui a pour vocation de reconnecter chacun, authentiquement, à sa joie de vivre quelles que soient les circonstances.
Pour devenir Rigologue® le candidat doit accepter de cheminer à son rythme. C'est pour cette raison que les quatre (ou cinq) modules sont proposés sur une année scolaire au minimum, plus si désiré, afin de permettre une lente et indispensable maturation.
Le traitement repose essentiellement sur la corticothérapie. Les symptômes oculaires régressent le plus souvent, mais la surdité est exceptionnellement réversible. Divers immunosuppresseurs sont proposés en cas de cortico-résistance ou de cortico-dépendance.
adjectif Qui aime à rire, à s'amuser. ➙ gai ; enjoué.
Le rire détend les muscles du larynx, provoquant toutes sortes de vocalisations ou de cris. Une partie du cerveau (système limbique) détermine l'intensité de la réponse allant du rire discret au fou rire. Ce système a la capacité de déconnecter le cortex conscient, ce qui expliquerait les rires incontrôlés.
Le rire provoque la libération de différentes hormones dont l'endorphine. Cette hormone, sécrétée par le cerveau, qui est également libérée lors d'une activité sportive, possède différentes vertus anti-stress et anti-douleur.
Lorsqu'on parle d'une personne qui aime faire rire, les équivalents de comique sont : bouffon , boute-en-train , clown , farceur ou plaisantin par exemple. Si comique désigne une personne dont faire rire est le métier, alors ce mot a pour synonymes humoriste , comédien .
Pour cela, vous pourriez par exemple : Le chatouiller. Changer de voix en imitant les animaux de la ferme, de la forêt ou de la savane ! L'emmener en balade à cheval en le faisant sautiller sur vos genoux.
Le rire dit nerveux survient généralement par inadvertance dans une situation inappropriée. Cette démonstration, parfois exagérée et incontrôlée des émotions, est souvent liée au stress et a pour conséquence un sentiment de honte.
Aspect extérieur. Les personnes atteintes de gélotophobie manquent de vivacité, de spontanéité et de joie de vivre. Elles paraissent souvent distantes et froides. Le signe le plus caractéristique de cette affection est le manque d'humour.
Il existe un mot pour qualifier un tel atrabilaire. Un terme qui apparaît dans l'œuvre de François Rabelais: «agélaste». Comprenez: un individu «réfractaire à l'humour».
Il dénoue les tensions, apaise la colère, amoindrit la tristesse. Rire permet en cela de lutter contre la dépression, l'anxiété. C'est d'ailleurs pourquoi il existe une thérapie par le rire, la rigologie, pour les patients atteints de dépression, d'anxiété chronique ou de troubles du sommeil.
Le rire n'est pas une émotion, il est une expression physique de certaines émotions.
- Le rire permet d'évacuer le stress : quand on rit, on sécrète des endorphines, des hormones qui réduisent la production d'adrénaline générée par le stress. Le rire nous permet aussi de détendre nos muscles et d'oxygéner notre cerveau et notre coeur. Un vrai bol d'air en 5 minutes !
rieuse. Personne qui rit ou qui aime rire.
RIEUR, -EUSE, adj.
Le syndrome de USHER est une maladie qui a été décrite pour la première fois en 1914 par un ophtalmologiste anglais, C.H. USHER. Elle associe une surdité et des troubles de la vision dus à un mauvais fonctionnement de la rétine (rétinite pigmentaire).
Ataxie cérébelleuse congénitale autosomique récessive caractérisée par une malformation congénitale du tronc cérébral et une agénésie ou une hypoplasie du vermis cérébelleux entraînant des troubles respiratoires, un nystagmus, une hypotonie, une ataxie et un retard du développement moteur.
Le traitement médicamenteux du syndrome de Sweet est le même quelle que soit la forme clinique de la maladie. Il repose sur une corticothérapie par voie orale et/ou locale. L'administration de corticoïdes améliore généralement très rapidement les symptômes, mais ne diminue pas le risque de récidive.