L'atmosphère est une masse gazeuse qui entoure notre planète et qui est divisée en couches de différentes densités gazeuses.
L'expiration ou souffle correspond à la phase de la sortie de l'air des poumons lors de la ventilation pulmonaire, par le relâchement du diaphragme et la contraction des muscles intercostaux.
Le système respiratoire permet l'échange entre deux gaz : l'oxygène et le dioxyde de carbone.
Les gaz respiratoires sont le dioxygène (O2), un intrant de la respiration cellulaire, et le dioxyde de carbone (CO2), un extrant de la respiration cellulaire.
Il est produit par tous les êtres vivants. En respirant, l'organisme humain et animal absorbe de l'oxygène et rejette du CO2 dans l'air. Quant aux végétaux, c'est l'inverse, ils utilisent le CO2 pour produire de l'oxygène et croître : c'est le principe de la photosynthèse.
Lorsqu'une grande quantité d'eau est présente dans l'air, les autres éléments sont présents en moindre quantité. La quantité d'eau dans l'air peut atteindre jusqu'à 4%. Le plus faible pourcentage d'eau dans l'air est de 0,5%. Quand la quantité d'eau dans l'air est très faible, l'air est dit "sec".
Les activités humaines libèrent actuellement 25 milliards de tonnes de CO2 par an dans l'atmosphère. La combustion du pétrole participe pour 35,2%, le charbon pour 32% et le gaz naturel pour 12,8%.
La production de CO2
On le sait depuis les années 1950-1960, les moustiques sont en priorité attirés par le dégagement de CO2 , lié à la respiration et/ou la transpiration. Ils sont d'ailleurs capables de détecter ces rejets à près de 50 mètres.
Selon les chercheurs, ces insectes seraient attirés par le rouge, l'orange et le noir. Ceux qui se sentent particulièrement en proie à leurs redoutables piqûres devront donc opter pour des tenues teintées de vert, de bleu clair, de violet ou encore de blanc.
Une étude japonaise réalisée en 2004 a montré que le moustique tigre était plus attiré par les individus de groupe sanguin O. Les personnes de ce groupe sanguin auraient 85% de risque supplémentaire d'attirer les moustiques, contre seulement 45 % de risque pour les autres groupes sanguins.
L'être humain expire en moyenne un peu plus d'un kilo (1043 grammes) de dioxyde de carbone par jour. La quantité exacte dépend notamment du niveau d'activité physique. Une personne qui se dépense vigoureusement peut produire jusqu'à huit fois plus de CO2 qu'un sédentaire.
Chaque personne rejette environ 300 kilos de CO2 par an du fait de sa respiration. Chaque seconde la respiration des quelque 65 millions de Français rejette dans l'atmosphère 667 kilos de C02 par le simple fait de leur respiration. Cela représente des émissions de C02 de 20 millions de tonnes par an.
La mesure des taux de CO2 total (parfois aussi appelé bicarbonates) accompagne celles du sodium, du potassium et des chlorures lorsqu'on suspecte un trouble électrolytique combiné avec un problème d'équilibre du pH du sang (équilibre acido-basique), incluant ceux causés par certains médicaments.
Fonction pulmonaire
L'air inspiré est composé principalement d'azote (78%) et d'oxygène (21%). Le dioxyde de carbone (CO2) ne représente que 0,04% de l'air inhalé. L'air expiré ne contient plus que 17% d'oxygène. En échange, la teneur en CO2 augmente de 0,04% à 4%.
Ensemble des phénomènes permettant l'absorption de l'oxygène et le rejet du gaz carbonique par les êtres vivants.
Organe respiratoire des animaux aquatiques, constitué de nombreuses et courtes branches entourées d'eau, fournissant l'oxygène et parcourues à l'intérieur par le sang, ou, dans le cas exceptionnel des trachéobranchies, par l'air.
La respiration abdominale
Elle stimule la circulation sanguine, entrainant une meilleure oxygénation des tissus, des cellules. Elle permet également d'assouplir le diagramme, et offre ainsi un massage naturel à vos viscères. Cette respiration est puissante pour un relâchement profond.
Les deux gaz principaux de l'atmosphère terrestre, diazote N2 (78%) et dioxygène O2 (21%) sont pratiquement transparents et n'ont donc qu'une influence minime sur la température de la Terre. Ce sont en fait certains constituants mineurs de l'atmosphère qui influent sur le climat.
Comme la masse volumique de l'air chauffé a diminué, il apparaît comme plus léger et peut donc monter dans la colonne d'air. On dit donc que l'air chaud est plus léger que l'air froid (bien que la masse d'air considérée n'a pas changé).
Un atome utile aux poissons
Elle est constituée de deux atomes d'oxygène. Ce dioxygène est très présent dans l'air. Mais, il est aussi présent de manière dissout dans l'eau. Ce dioxygène dans l'eau est indispensable à la vie de très nombreux êtres vivants aquatiques, animaux et végétaux.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Une fois émis, le gaz est en partie absorbé par les puits de carbone naturels. Cette absorption du dioxyde de carbone a doublé en cinquante ans (de 1960 à 2010) mais cela ne suffit pas pour compenser la hausse des émissions : la moitié du CO2 rejeté par les activités humaines s'accumule dans l'atmosphère.
L'hypercapnie apparaît lorsque la ventilation alvéolaire baisse ou ne parvient pas à augmenter suffisamment en réponse à une augmentation de la production de dioxyde de carbone.
Si vous essayez d'écraser un moustique, il ne reviendra pas vous piquer. C'est, en tout cas ce que tend à démontrer une étude américaine. Une piste intéressante dans la lutte contre le virus Zika, la dengue ou le chikungunya.