Le Keffieh est la
Mais le keffieh fut surtout popularisé par Yasser Arafat dans les années 1960 lorsqu'il se fit remarquer comme leader de l'OLP. Le keffieh reste le plus important symbole des militants palestiniens.
Traditionnellement porté par les agriculteurs palestiniens pendant la période ottomane, le keffieh signalait que le porteur était rural, contrairement au tarbouche porté par les classes urbaines.
Foulard keffieh ou shemagh, en voyage
Vous pourrez le nouer sur votre tête en le déposant sur le haut de votre chevelure et en croisant les deux pans devant, autour du cou. Cela vous protégera à la fois du sable et du soleil.
Pour certains, l'apparition du keffieh remonterait à l'époque sumérienne (du IVe au IIe millénaire avant notre ère), en Mésopotamie, dans l'actuel Irak. Vivant au milieu des marais, les Sumériens et les Babyloniens auraient créé des coiffes ressemblant à des filets de pêche et arborant un motif noir et blanc.
Ce foulard noir et blanc, initialement porté par les Bédouins pour se protéger du sable et du soleil dans le désert, est devenu l'emblème de la résistance et de la résilience de la nation palestinienne après 1948 et encore davantage depuis l'époque de Yasser Arafat.
La chéchia (arabe : شاشية) est un couvre-chef porté par les deux sexes dans de nombreux peuples musulmans.
Mettre le foulard marocain
Positionnez le sur le sommet de la tête en prenant bien soin de couvrir out les cheveux de l'avant, car l'un des buts des foulards islamiques est de dissimuler la chevelure. Une fois votre foulard sur la tête ramenez les deux pans sous le menton et tenez les avec une main.
Pour cela, repliez en deux votre foulard keffieh dans le sens de la diagonale de manière à obtenir un grand triangle. Positionnez la grande longueur du triangle sur votre chevelure, de manière à ce qu'elle recouvre l'implantation des cheveux du front. Les deux extrémités tomberont sur le buste.
Comme une écharpe classique, lâche sur la poitrine
Passez les deux autres extrémités derrière votre cou et faites un nœud. Enfin, ramenez les deux extrémités à l'avant et laissez-les pendre sur la poitrine. C'est une façon très décontractée et casual de porter le keffieh palestinien.
Attachez les deux extrémités à l'arrière de votre tête.
Utilisez un nœud serré ou un double nœud pour fixer le keffieh. Ce nœud doit être à l'arrière de votre tête, au milieu de votre nuque et il doit être assez serré pour garder le keffieh sur votre visage.
Pour porter le keffieh, commencez par le plier en triangle. Étalez l'écharpe à plat sur une surface et pliez-la en deux en diagonale pour créer une forme triangulaire. Veillez à ce que les bords soient bien alignés et que la pointe du triangle soit dirigée vers le bas, vers le pli.
Tirez le bord plié du keffieh sur votre front, en le positionnant entre vos cheveux et vos sourcils. L'excédent doit descendre du dessus de votre tête jusqu'à la nuque. Ensuite, les deux extrémités du keffieh doivent être à peu près égales. Ainsi, il convient de positionner le milieu de la partie pliée sur votre tête.
Depuis qu'Israël s'est retiré de Bethléem, en 1995, le président Arafat, qui est musulman, a assisté chaque Noël à la messe de minuit à l'église Sainte-Catherine, qui jouxte la basilique de la Nativité, construite sur l'emplacement de la grotte où est né Jésus, selon la tradition chrétienne.
C'est un document qui donne crédit aux soupçons d'empoisonnement pour expliquer la mort de Yasser Arafat, le 11 novembre 2004 en France. Les conditions de la disparition du leader palestinien, qui souffrait de douleurs à l'estomac et de vomissements, restent à l'heure actuelle encore incertaines.
L'agal (arabe : عقال, 'iqāl) est un accessoire vestimentaire qui est utilisé au Proche-Orient par les Bédouins pour maintenir la shemagh ou le keffieh sur la tête des hommes. Il est principalement fait d'une corde noire serrée sur un noyau de laine de chèvre.
Comment porter keffieh ? Le tissu en excès doit créer un drape sur le dessus de votre tête et sur votre dos, et non devant votre visage.Si vous avez attaché un bandana dans le passé, c'est exactement la meme manière de faire . Les deux extrémités du foulard devraient être à peu près égales de chaque cote du visage.
Voici quelques méthodes pour réussir à nouer votre chèche ou foulard sur la tête : Le turban : commencez par enrouler le chèche ou le foulard autour de votre front, puis faites passer les extrémités derrière et croisez-les. Ramenez-les ensuite devant et nouez-les ensemble. Ajustez le turban selon la forme souhaitée.
Une autre façon élégante de porter l'étole est l'option du demi-tour. Posez l'étole de façon à renvoyer l'un des pans vers l'arrière de votre corps et le tour est joué! L'étole vous couvrira alors tout le haut du corps, un peu comme un poncho!
Il suffit d'envelopper vos cheveux à l'intérieur ; pliez le foulard carré en triangle, placez le côté long du triangle sur votre nuque, nouez les deux extrémités du bord long sur le haut de votre tête puis ramenez ces deux extrémités sur le haut de votre tête et attachez-le en faisant un nœud.
Les femmes doivent se couvrir l'intégralité du corps, mais elles sont autorisées à dévoiler les yeux, afin de décourager l'emploi du maquillage. Les femmes doivent porter le abaya et un voile assez épais pour cacher ce qu'il couvre. Les femmes ne doivent pas porter de vêtements qui attirent l'attention des hommes.
MOLLAH, subst. masc. [Dans certains pays musulmans (Égypte, Iran, Turquie, Pakistan, nord de l'Inde)] Docteur en droit musulman exerçant de hautes fonctions juridiques, religieuses ou pédagogiques.
Un kufi. (Habillement) Bonnet destiné aux hommes et porté principalement en Afrique de l'Ouest, bien qu'il soit également porté parfois dans d'autres régions d'Afrique, ainsi qu'en Asie, dont l'équivalent en Afrique de l'Est est le kofia, et qui est porté à la fois par les musulmans, les chrétiens ou les juifs.
Valeur symbolique et fonction sociale du turban
Le turban est associé aux cheveux longs des sikhs, qu'il protège et sanctifie, tous deux matérialisant une continuité entre l'homme (à travers son corps qu'il doit garder intact) et la révélation divine.