La coule, aussi appelée cuculle (du latin cucullus), est un vêtement à capuchon porté par les moines.
Vêtement fait de cette étoffe, porté par les membres de certains ordres religieux qui ont fait vœu de pauvreté. Un moine portant la bure.
2L'origine du kesa remonte au Bouddha Shakyamuni, environ cinq cents ans avant Jésus-Christ3. Après s'être éveillé sous l'arbre de la Bodhi, il ramassa toutes sortes de morceaux de tissus souillés qu'il lava, teignit et assembla afin de se vêtir.
Ainsi, la soutane est noire pour les prêtres, violette pour l'évêque, rouge pour le cardinal.
Une cornette catholique (sens 1). (Habillement) Coiffure de certaines religieuses.
La soutane extérieure, ou exorason, est une robe noire ample portée par-dessus la soutane intérieure par les évêques, les prêtres, les diacres, ainsi que les moines, faisant ainsi fonction d'habit pour la vie de tous les jours.
Le qamis est le vêtement que portent les hommes musulmans, en règle générale, pour se rendre à la mosquée prier.
Le kamilavkion (du grec καμιλαύκιον) est un couvre-chef cylindrique, généralement de couleur noire, porté par les moines orthodoxes ou catholiques-orientaux, pouvant être recouvert d'un koukoulion (κουκούλιον : voile blanc ou noir), lorsqu'ils remplissent des fonctions dans la hiérarchie ecclésiastique (hiérodiacres, ...
Le kesa a aussi une grande importance symbolique. C'est le vêtement de la transmission, remis par le maître au nouveau moine ou à la nouvelle nonne lors de l'ordination, symbolisant le lien spirituel qui unit, depuis le Bouddha Shakyamuni, le maître et son disciple.
L'abbé est à la tête de la famille monastique, il en est le père (abba en araméen). Il est élu par les frères et il est responsable du monastère au temporel (il est seigneur féodal) comme au spirituel.
L'orange a été choisi principalement en raison de la teinture disponible à l'époque. La tradition est restée et l'orange est aujourd'hui la couleur de prédilection des adeptes du bouddhisme Theravada en Asie du Sud-Est, par opposition à la couleur marron des moines tibétains.
4Au Tibet, on tond les cheveux des nonnes et des moines comme ailleurs dans le monde bouddhique ; ensemble, la tête rasée (ou les cheveux très courts) et la robe religieuse constituent le principal marqueur d'identité permettant de distinguer celui ou celle qui fait partie de la communauté monastique.
La robe-chasuble de nonne. Le vêtement monacal authentique. Robe tablier, chasuble de nonne.
Progressivement les évêques et les autres clercs l'ont porté aussi pendant les liturgies. L'étole est une longue bande de tissu de couleur identique à la chasuble (l'origine de ce mot signifie « vêtement long ») que portent les évêques, prêtres et diacres, signe de leur ordination.
Blanc pour les fêtes. Rouge pour les martyrs et la Pentecôte. Vert pour le temps ordinaire. Violet pour les temps de pénitence : Avent, Carême et enterrements.
Religieuse: elle est vêtu d'un voile. Curé: il a une longue robe marron. Chanoine: il a une grande robe noir et une sorte de gros gilet blanc. Pape: avec une croix à triple traverse et de grandes robes.
La tonsure est une pratique adoptée par certaines Églises, consistant à raser une partie des cheveux d'un clerc. Signe de renonciation au monde, elle est aussi, avec la prise d'habit et le changement de nom, un élément d'un rituel de mort et de renaissance qui efface les péchés antérieurs.
Les moines sont présents dans les traditions religieuses catholique, orthodoxe, jaïne, bouddhiste, shintoïste, taoïste et hindoue.
Avant la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat de 1905, les prêtres étaient payés par l'Etat, qui leur versait un salaire. Depuis cette date, ils font appel aux dons des fidèles pour se verser un salaire. S'ils étaient salariés de l'Etat, ils sont désormais salariés d'associations créées par l'Eglise.
Les nón lá sont généralement coniques, mais il en existe également des larges et plats.
Le mortier fait partie aussi, avec la toge, de la tenue des diplômés lors de la cérémonie de la remise de leurs diplômes. Le mortarboard anglo-saxon est une toque de forme carrée, ornée d'un tassel, le pompon long, agrémenté ou non d'un petit pendentif doré indiquant l'année.
La tiare pontificale, appelée aussi le trirègne (en latin tiara ou triregnum), est la triple couronne des papes, à caractère non liturgique (contrairement à la mitre papale), mais doctrinal car la tiare symbolise le pouvoir pétrinien donné par Jésus-Christ à saint Pierre.
En termes de fonctionnalité, le Qamis est généralement plus confortable à porter, car il est plus léger et plus aéré. La Djellaba, quant à elle, est plus chaude et plus adaptée aux climats froids.
L'habit traditionnel lors d'une communion solennelle et d'une confirmation est l'aube.
Pour l'homme : La partie située entre le nombril et le genou (la awra majeure étant couverte). Pour la femme : Tout son corps à part le visage et les mains pour les hanbalites, chafeites et malikites (et les pieds selon les hanafites).