La spondylarthrite (également appelée spondyloarthrite, spondylarthropathie et pelvispondylite rhumatismale) est une maladie inflammatoire chronique qui touche essentiellement les articulations des vertèbres et l'articulation entre la colonne vertébrale et le bassin.
La spondylarthrite ankylosante correspond à l'inflammation au niveau de la colonne vertébrale et du bassin, ce qui provoque des raideurs et des douleurs dans le dos1.
L'application de compresses chaudes ou froides est souvent efficace. Certaines personnes arrivent à soulager la douleur en prenant des antidouleurs ou des anti-inflammatoires en vente libre comme l'ibuprofène (Advil, Motrin) ou le naproxène (Aleve).
Le mal de dos inflammatoire est caractérisé par des douleurs nocturnes et des raideurs matinales qui durent plus de 30 minutes. Les symptômes ne s'améliorent pas avec le repos, mais au contraire, avec l'exercice.
Certains facteurs, notamment la présence du gène HLA B27, semblent provoquer une mauvaise réponse immunitaire. Ainsi, dans la spondylarthrite ankylosante, le corps fabrique parfois des anticorps dirigés contre lui-même, comme dans certaines maladies auto-immunes.
Est-ce que la spondylarthrite se soigne ? La spondylarthrite est une maladie qui ne se soigne pas. Cependant, il est possible de soulager les symptômes de la maladie et de ralentir son évolution grâce à des traitements médicamenteux ou à de la chirurgie.
En l'absence de tout traitement, la spondylarthrite peut bloquer de manière progressive et définitive les articulations du bas du dos, par fusion des os du bassin avec le sacrum, ou par fusion des vertèbres. Dans les cas les plus sévères, la colonne vertébrale peut se souder en un seul bloc.
Il y a quatre signes qui peuvent indiquer une inflammation aiguë : rougeur - chaleur - gonflement - douleur. Il peut également y avoir une difficulté à bouger la zone touchée.
Les médicaments contre la douleur utilisés en premier lieu sont ceux contenant du paracétamol, à la posologie de 1 g, 3 fois par jour. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) peuvent également être utilisés chez les personnes sans risque digestif connu.
La position idéale pour ceux qui souffrent de maux de dos est de dormir sur le côté, c'est-à-dire dans la position fœtale classique. Cette position est excellente car elle maintient les courbes naturelles de la colonne vertébrale.
Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire. Demandez au médecin de vous fournir des directives sur l'utilisation de la chaleur. N'appliquez pas de chaleur sur les nouvelles blessures ou plaies chirurgicales.
Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) sont tout à fait indiqués pour traiter une lombalgie. L'ibuprofène, vendu sans ordonnance, en fait partie. Si nécessaire, un médecin peut vous prescrire un anti-inflammatoire plus puissant (type Diclofenac ou Ketoprofene) disponible uniquement sur ordonnance.
La polyarthrite rhumatoïde est une maladie inflammatoire sévère qui touche les articulations. Celles-ci se détruisent progressivement, entraînant un handicap.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont très efficaces dans la SA. Ils réduisent rapidement la douleur, la raideur matinale et améliorent la mobilité articulaire. Les antalgiques soulagent la douleur.
L'ibuprofène et l'aspirine, des anti-inflammatoires délivrés sans ordonnance, sont les plus connus parmi les AINS. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens ou AINS sont généralement indiqués pour lutter contre l'inflammation et la douleur, pour diminuer la fièvre et pour fluidifier le sang.
Dans cette catégorie de médicament, le prednisone, le prednisolone et le méthylprednisolone figurent parmi les plus puissants. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) regroupent les médicaments qui réduisent ou suppriment les symptômes associés à une réaction inflammatoire.
L'inflammation musculaire, comment la reconnaître? À l'image de tous les processus inflammatoires, l'inflammation musculaire se caractérise par une rougeur, associée ou non à un œdème, qui se développe au niveau du muscle ou du groupe musculaire lésé. Généralement, la zone concernée est chaude au toucher.
Un bilan sanguin permet de rechercher des signes biologiques d'une inflammation et d'en évaluer l'importance. Plusieurs éléments peuvent être pris en compte : la vitesse de sédimentation (VS) : Ce test mesure la vitesse à laquelle les globules rouges du sang tombent au fond du tube sous l'action de la gravité.
L'inflammation chronique est une réponse à de nombreuses transformations de l'environnement et du comportement modernes (elle est favorisée par la sédentarité, la mauvaise hygiène alimentaire (malbouffe), la pollution, les altérations du microbiote humain) et un facteur important dans le développement de maladies de ...
Le traitement de la spondylarthrite ankylosante. Pour lutter contre la douleur de la spondylarthrite ankylosante, le médecin prescrit des anti-inflammatoires non stéroïdiens et des antalgiques. Si ces médicaments sont insuffisants, un traitement de fond est administré sous stricte surveillance médicale.
La spondylarthrite ankylosante se manifeste au début par des poussées de douleurs dorsales ou lombaires (lombalgies) qui peuvent paraître banales. Ces crises durent quelques jours à quelques semaines et finissent par se calmer.
En effet, la radiographie ne permet de visualiser la sacro-iliite qu'à un stade tardif, quand les lésions dites structurelles (érosions, hyperostose et ankylose) sont déjà en place. L'IRM, en revanche, permet le diagnostic de la maladie à un stade débutant, quand seules les lésions inflammatoires sont visibles.