L'
Définition "dépensière"
Qui dépense beaucoup d'argent. Qui fait des dépenses excessives et inconsidérées.
Dans l'oniomanie (du grec onios, «à vendre»), l'objet acheté n'a pas d'importance. Contrairement au collectionneur qui chérit son achat, l'oniomane ne chérit que la transaction, le moment d'excitation qui précède l'acquisition et le soulagement éprouvé par la suite.
En règle générale, l'oniomanie se soigne au moyen de thérapies comportementales et grâce à l'aide sociale. Il est possible aussi de recourir à des médicaments psychotropes, tels que des antidépresseurs.
1. Qui aime la dépense, qui dépense au-delà du nécessaire : Jeune homme dépensier. 2. Se dit dans certains établissements, de la personne, du service chargé de la dépense.
vénaux. Qui n'agit que pour l'argent, qui n'est intéressé que par le gain matériel et financier d'une action.
L'oniomanie est caractérisée par des préoccupations, des besoins et des comportements excessifs et non contrôlés vis-à-vis des achats et des dépenses. Chez les patients atteints d'oniomanie, des achats chroniques deviennent parfois la première réponse face à un événement ou un sentiment négatif.
Quels sont les symptômes ? La personne atteinte par ce trouble fait des achats impulsifs à répétition, en répondant à une envie ressentie comme irrépressible. Les objets achetés ne sont pas nécessaires et même parfois pas utilisés car ils sont associés à la honte, à la culpabilité après l'achat.
Ces achats pathologiques ont lieu durant une phase maniaque (phase d'excitation). Les objets acquis ne sont pas nécessaires et parfois peu ou pas utilisés car ils sont associés à la honte et à la culpabilité une fois l'achat terminé. Souvent, ils sont rangés dans une pièce où ils ne serviront plus.
L'achat compulsif est souvent associé à une difficulté de gestion des émotions comme celle de la colère, la culpabilité, l'anxiété, la frustration, le découragement, un manque de plaisir ou encore un manque non-identifié.
2. Les facteurs qui jouent dans l'envie de dépense. Une attitude dépensière n'est pas toujours permanente, elle peut être conjoncturelle : fatigue, stress, dépression… La consommation (et les achats compulsifs) est pour certaines personnes un moyen de sortir la tête de l'eau, de s'évader.
Dans nos sociétés de consommation, la "dépense plaisir" est donc "normale". Elle devient inquiétante, quand elle se répète à l'excès et met en péril l'équilibre – autant budgétaire que psychologique – de l'acheteur. On parle alors "d'achat compulsif", symptomatique d'une profonde détresse morale.
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.
En psychologie, l'avarice reflète souvent une angoisse du manque. L'avare se réconforte avec son argent et ses biens. De plus, il exerce une certaine manipulation envers l'autre, puisqu'il décide de garder ou de donner.
"Cela peut s'expliquer par l'éducation, l'environnement, la peur du manque, mais aussi la représentation de l'argent pour eux. Souvent les gens radins ne comprennent pas que l'argent est seulement un véhicule qui permet d'avancer.
Intéressé, avide d'argent, vénal, qui ne pense qu'à des préoccupations financières. Exemple : C'est une personne cupide qui a pour habitude de sélectionner ses amis selon leurs finances. Étymologie : du latin cupidus (qui désire). Avide, gourmand, qui veut toujours plus.
Si le mot avare est utilisé de manière plus péjorative, lorsque quelqu'un n'aime pas dépenser son argent même s'il en a beaucoup, on dit alors de lui qu'il est pingre ou grippe-sou . De manière plus familière, on peut remplacer avare par radin , rapiat ou même rat .
altruiste. Dévouement, se consacrer à autrui de façon désintéressée, sans rien attendre en retour. Aider les autres.
Tout d'abord, il faut lui faire comprendre que cette situation provoque des problèmes dans le couple, qui pourraient facilement être évités. Il faut savoir si elle est consciente du problème d'argent et lui expliquer qu'on l'apprécie non pas pour ses cadeaux mais pour sa personne.
Mangez à la maison et amenez votre déjeuner au travail.
Manger dehors pourrait être très couteux, surtout si vous dépensez entre 10 et 15 € par jour 3 à 4 fois par semaine. Limitez cette habitude à une fois par semaine, puis progressivement à une fois par mois.
La solution : lui demander se noter ses dépenses au jour le jour, pour lui faire prendre conscience de ce qu'il achète. Mettre cette somme dépensée en parallèle avec un loisir que vous ne pourrez pas faire ou un vêtement qu'il ne pourra pas s'acheter par exemple.