Ils ont une façon caractéristique d'aller vers l'autre, un physique qui séduit ou impressionne, voire écrase. Les individus dominants, nous le verrons, occupent souvent des postes à responsabilité, ont plus de succès amoureux, et sans donner l'impression de faire des efforts particuliers pour y parvenir.
Concrètement, le dominant commence par repérer un soumis à quelques signes qui ne lui échappent pas : c'est une personne qui se culpabilise volontiers, se montre hésitante ou manifeste une attention extrême pour les autres.
Il parle suffisamment fort non seulement de façon à ce que tout le monde l'entende, mais aussi parce qu'il sait de quoi il parle. Quand il a quelque chose à dire, le mâle dominant le dit.
Pour séduire cet homme, montrez-lui que vous êtes indépendante. Faites-lui voir que vous êtes capable de vous occuper de vous sans son aide ou celui d'autres personnes. En bref, rassurez-lui que s'il se lance dans une relation avec vous, vous allez lui laisser un peu d'espace pour respirer.
Définition du terme Caractère dominant : particularité transmise par un gène et se manifestant dans tous les cas, que le gène soit présent sur les deux chromosomes de la paire ou sur un seul.
Soyez le lien de réconfort de votre homme
Votre homme peut avoir une personnalité dominante et sembler pouvoir conquérir le monde, mais même lui a besoin d'un endroit où il peut se laisser aller et être lui-même, un endroit où il est normal d'être émotif quand c'est nécessaire ou de se sentir un peu vulnérable.
Les phrases les plus gentilles pour rompre
« Je ne regrette pas notre relation, mais nous ne sommes plus heureuses/heureux ensemble... » « Je t'aime, mais quelque chose a changé entre nous et je n'arrive plus à vivre avec toi... » « Je pars, mais sache que je n'ai jamais voulu te faire souffrir... »
Pareillement, si une chose à faire peut vous paraître facile, c'est peut-être une montagne pour un soumis. Inutile de lui dire : «mais si, tu en es capable…». Ce n'est pas un problème de compétences mais bien de vécu interne. À éviter également, dominer ou dramatiser, ce qui ne ferait que renforcer la soumission.
Le soumis dévoile facilement ses complexes et ses points faibles, le dominant peut exercer des formes d'intimidation, de chantage, de prédation (symbolique ou réelle), et isoler sa proie. Le soumis peut avoir tendance à se soucier davantage des autres que de lui-même, à céder sa place à autrui ou à s'en croire indigne.
La posture de dominant traduit ainsi souvent une défense contre la peur ou, ce qui revient au même, contre la tentation d'être soi-même dominé ou soumis. Avoir quelqu'un sous sa dépendance permet de manière projective, de s'en protéger. Ce n'est pas moi qui désire être soumis, c'est lui, ou c'est elle.
1. Qui a la prépondérance par l'influence, le nombre, l'étendue ; prépondérant : L'idéologie dominante dans un pays. 2. Qui joue le principal rôle, qui domine parmi d'autres : Les traits dominants de son caractère.
Le besoin de domination : les origines
La domination peut être comprise comme une déviation du besoin d'affirmation de soi et de reconnaissance. Cette déviation peut avoir une origine psychologique comme par exemple le mécanisme de compensation.
Mâle bêta: homme peu conscient du Jeu social. Il se satisfait souvent de l'autorité d'un homme plus puissant que lui. C'est un suiveur. Il manque d'audace et ne comprend pas les femmes.
Le premier principe est de rester neutre et calme, ce qui est souvent une gageure. Evitez la colère, il la retournera contre vous en soulignant votre agressivité. Le calme lui donne moins de prise. Soyez factuel, technique sur des limites dont vous n'êtes pas responsable et qui ne peuvent être franchies.
L'allèle dominant
Un allèle dominant est celui qui va laisser s'exprimer la caractéristique qu'il code. Il peut n'être présent que sur un seul allèle du gène. Par exemple, l'allèle codant la couleur marron des yeux est dominant.
La dominance est, en génétique, une relation entre deux allèles d'un même gène, dans laquelle le phénotype des individus hétérozygotes est déterminé intégralement par l'un des allèles, sans contribution du second. Les deux allèles sont qualifiés de dominant et récessif l'un par rapport à l'autre.
On parle de codominance lorsque les différents allèles d'un gène - c'est-à-dire à la fois le variant maternel et paternel - ont le même effet à l'état hétérozygote et apparaissent dans le phénotype.
Ils ne ressentent aucune empathie. Ils exigent toujours de l'attention. Ils ne sont jamais satisfaits, en veulent de plus en plus. Comme ce sont des gens assez compliqués, vivre avec un narcissique est souvent épuisant, surtout pour ceux qui sont émotionnellement dépendants ou qui ont des problèmes d'estime de soi.