Si l'air ambiant est froid ou si l'on souffle sur une vitre froide, la vapeur se liquéfie (à l'école, on dit qu'elle se condense), ce qui donne du brouillard ou de la buée.
La vapeur d'eau est un gaz incolore et inodore. On ne peut pas le voir ni le sentir. A une température supérieure à 100°C à pression ambiante, l'eau est à l'état gazeux. On peut cependant la trouver à l'état gazeux, en très faible quantité, dans des conditions de température et de pression ambiante dans l'atmosphère.
On la retrouve dans les activités tel que : la pétrochimie, • la chimie, • l'agro-alimentaire, • les industries de transformation, • le chauffage urbain, etc... Injectée dans une centrale de traitement de l'air, la vapeur sert à maintenir l'humidité dans des locaux.
La vapeur d'eau est invisible et elle se forme quand l'eau s'évapore et se transforme en gaz. Ainsi elle se mélange à l'air et l'air devient humide. Quand l'air ne change pas de température ou quand il se réchauffe, la vapeur d'eau reste prisonnière dans l'air et aucun nuage ne se forme.
Lorsque les couches d'air se refroidissent, naturellement, la vapeur d'eau se condense et devient fines gouttelettes d'eau : un nuage se forme. Si ce phénomène se passe près du sol, le nuage s'appelle brume ou brouillard (la distinction entre ces deux expressions vient tout simplement de la différence de visibilité).
Elles forment un nuage situé près du sol qui limite la visibilité. Lorsque la visibilité est inférieure à 1 km, on dit que ce nuage constitue du brouillard et lorsqu'elle est supérieure à un kilomètre, on dit qu'il s'agit de brume. Ces nuages sont des cumulus. Ils sont constitués de fines gouttelettes d'eau liquide.
1) Fais bouillir de l'eau dans une casserole. 2) Place un miroir sur le brouillard (fumée) qui se forme au-dessus de la casserole. Qu'observes-tu ? 3) Au-dessus du brouillard, c'est la vapeur d'eau qui est invisible, si tu places le miroir au-dessus, que constates-tu ?
La vapeur d'eau est l'état gazeux de l'eau. C'est un gaz inodore et incolore.
La vapeur d'eau autrement dit vapeur, est de l'eau à l'état gazeux. Elle se produit à pression atmosphérique à partir du point d'ébullition soit 100°C. Lorsqu'elle est comprimée, la vapeur est supérieure en température. Par exemple à 10 bars (10 fois la pression atmosphérique) la vapeur est à 180 °C.
La solution la plus simple et la plus précise est d'utiliser un hygromètre. C'est un petit appareil électronique qui permet de mesurer précisément l'humidité relative. Un hygromètre vous indique si l'air de votre logement est trop humide, trop sec ou juste comme il faut.
Les nuages se forment par condensation de vapeur d'eau, c'est-à-dire par passage de l'eau qu'ils contiennent de l'état gazeux à l'état liquide.
En fait, l'impact des quantités de vapeur d'eau anthropiques est négligeable par rapport à celui de l'évaporation naturelle. D'autre part, l'eau, à la différence d'autres gaz comme le CO2, ne peut pas s'accumuler dans l'atmosphère à l'infini.
La vaporisation est le passage de l'état liquide vers l'état gazeux. Les molécules d'eau se mélangent alors avec celles de l'air. chaleur. Dans les conditions normales de pression (1 atmosphère soit 1013 hPa), la température d'ébullition de l'eau est de 100°C.
Pour créer de la vapeur d'eau lorsque vous utilisez un four à chaleur tournante, placez une deuxième plaque de cuisson ou une plaque de four en métal sur la partie la plus basse de votre four lors du préchauffage.
L'utilisation d'un débitmètre vapeur est la méthode la plus fiable pour déterminer avec précision le débit de la vapeur. Le compteur vapeur mesure avec précision la vitesse, la pression et la température pour calculer le débit de vapeur.
La vapeur d'eau n'est pas une « vapeur » comme on le comprend au sens commun, où l'on tend à imaginer une fumée ou une brume visible. Bien au contraire, la vapeur d'eau est rigoureusement un gaz absolument indétectable à l'œil nu, incolore et inodore, qui constitue la phase gazeuse de l'eau que nous connaissons bien.
La vapeur d'eau atmosphérique résulte essentiellement de l'évaporation des surfaces d'eau liquide à la surface de la Terre et son contenu maximum est contrôlé par la température de l'air. Pour chaque degré de réchauffement l'atmosphère peut potentiellement augmenter son contenu d'environ 7%.
Sous la pression atmosphérique dite "normale"* (1 atm ou 1013,25 hPa [ou 1 013,25 mbar] de pression absolue), la température de vaporisation de l'eau, ou pression de vapeur, est de 100°C (373,15 K); et elle s'élève ou s'abaisse quand la pression augmente ou diminue.
L'état gazeux (vapeur) correspond exactement à la formule H2O et en particulier au modèle angulaire (figure 1).
La vapeur d'eau est un gaz à effet de serre particulièrement efficace. Elle absorbe fortement, et dans une vaste gamme de fréquences, les radiations infrarouge émises par la surface terrestre. Ce faisant, elle contribue avec les nuages, le CO2 et d'autres gaz à l'effet de serre naturel de la Terre.
Solidification : passage de l'état liquide à l'état solide. Condensation : passage de l'état gazeux (vapeur d'eau) à l'état liquide. Vaporisation : passage de l'état liquide à l'état gazeux. Ébullition : action de bouillir.
Les molécules d'eau (H2O) sont composées de deux atomes d'hydrogène et d'un atome d'oxygène. Ces molécules sont plus légères que les molécules d'azote gazeux (N2) et d'oxygène gazeux (O2). Par conséquent, la vapeur d'eau monte dans l'atmosphère.
Le terme «brouillard» est utilisé pour désigner des gouttelettes microscopiques qui réduisent la visibilité horizontale à la surface du globe à moins de un kilomètre; lorsque la visibilité est supérieure, on parlera de «brume». Dans la pratique, la brume est synonyme de «brouillard léger».
Le brouillard se forme principalement en fin de nuit lorsque le ciel est dégagé, ce qui entraîne un fort rayonnement nocturne et une baisse importante des températures à proximité du sol. C'est la raison pour laquelle vous le rencontrez très souvent le matin sur vos routes.
Entre 0 °C et −40 °C , les gouttes d'eau restent dans un état métastable de surfusion, qui cesse dès qu'elles entrent en contact avec un noyau de condensation (poussière, cristal de glace, obstacle). Lorsque ce phénomène se produit au sol, on assiste à des brouillards givrants.