Aérer quotidiennement
Et ce, même s'il fait froid ! En plus de vous protéger des intoxications au monoxyde de carbone, aérer l'intérieur de sa maison permet d'apporter de l'oxygène et de prévenir de la prolifération des virus et des bactéries.
Le pourcentage d'HbCO est obtenu en divisant le taux d'HbCO exprimé en mmol par 100ml par 1,39 x la concentration en hémoglobine (en g/100ml) .
Le monoxyde de carbone est un gaz très dangereux : il ne se voit pas et ne sent rien. Mais quand on le respire, il prend la place de l'oxygène. On a mal à la tête, envie de vomir, on est très fatigué. On peut aussi s'évanouir ou même mourir.
À la maison, les sources d'émanations de monoxyde de carbone sont multiples: Les cheminées, les appareils ménagers à gaz (cuisinière, four, réfrigérateur, etc.), les systèmes de chauffage et les chauffe-eau à combustion; Les véhicules et les autres appareils à combustion (tondeuse, souffleuse, etc.)
Les signes cliniques ne sont pas spécifiques : maux de tête, vertiges, malaises, nausées, dyspnée, troubles de la vision, de l'odorat ou du goût, troubles du sommeil, de la mémoire, de l'attention, douleurs thoraciques, abdominales, musculaires peuvent être rencontrés à des fréquences variables.
Aérer immédiatement les locaux en ouvrant portes et fenêtres. Arrêter si possible les appareils à combustion. Faire évacuer les locaux et vider les lieux de leurs occupants.
Est-ce que le monoxyde de carbone monte ou descend ? Et pour cause : le monoxyde de carbone a la même densité que l'air. Il se mélange donc avec l'air ambiant, ne monte pas, et est plus concentré dans la zone où l'air est le plus brassé, c'est-à-dire au coeur de la pièce.
Un détecteur de Monoxyde de Carbone est conseillé dès lorsque vous avez un appareil à combustion (chauffage, gazinière, feu à pétrole…)
les chauffe-eau et chauffe-bains. les inserts de cheminées, poêles. les chauffages mobiles d'appoint. les cuisinières (bois, charbon, gaz)
Vous pouvez réduire les niveaux de CO2 en augmentant l'aération et en contrôlant les sources de CO2. utilisez des stratégies de ventilation mécanique. Il est possible d'en apprendre plus sur l'utilisation de la ventilation naturelle et mécanique pour améliorer la qualité de l'air.
Le détecteur de monoxyde de carbone doit être placé dans la même pièce que l'appareil à combustible du logement. L'idéal est qu'il se situe entre 1m et 3m à l'horizontal de la source.
5. Le gaz naturel n'est pas toxique. Vous pouvez respirer le mélange de gaz naturel et d'air sans crainte. Il ne présente pas de danger car il ne contient pas de monoxyde de carbone (CO).
C'est ce que l'on appelle le syndrome séquellaire post-intervallaire. La victime présente alors de l'irritabilité, des troubles de la mémoire, des mouvements anormaux,... Ces troubles sont souvent, mais pas toujours, réversibles.
Le monoxyde de carbone provient de la combustion incomplète de matières carbonées (gaz naturel, bois, charbon, butane, essence, fioul, pétrole, propane). Ce phénomène est dû à : une quantité insuffisante d'oxygène dans l'air (pièce calfeutrée, aération insuffisante, entrée d'air bouchée…)
Traitement si les symptômes de l'empoisonnement au monoxyde de carbone sont ressentis: Retirer la personne du lieu d'exposition; Consulter un médecin immédiatement; Communiquer avec le 911 ou le Centre antipoison du Québec au 1(800) 463-5060.
La réponse est simple ? appuyer sur le bouton test. En général, il est nécessaire de maintenir le bouton test enfoncé jusqu'à ce que l'alarme s'enclenche, cela peut prendre jusqu'à 20 secondes. Le test de votre détecteur de CO doit être effectué régulièrement pour vous assurer que le détecteur est toujours en état.
Pour le CO, la valeur limite est une concentration de 30 ppm pour 1 heure d'exposition (MDDEP, 2010). Au Canada, il est recommandé de limiter l'exposition au CO dans l'air intérieur à 25 ppm pour 1 heure et à 10 ppm pour 24 heures (Santé Canada, 2008).
Réglés sur 50 ppm, les détecteurs se mettent en alarme dans des nappes de gaz pouvant être comprises entre 50 et 100 ppm. Ces déclenchements réguliers dans une plage de concentration inférieure à 100 ppm, sans danger pour la santé pendant 4h d'exposition, banalise le danger de l'exposition au gaz.
L'installation d'au moins un détecteur autonome avertisseur de fumée par logement chez les particuliers est obligatoire depuis mars 2015.
Pour une efficacité maximale, il est donc indispensable de pulvériser du répulsif sur tous les vêtements. Les principes actifs les plus couramment employés dans les répulsifs sont le DEET (Diéthyltoluamide), l'Icaridine, le Citriodiol, l'huile de Soya…
Pour réduire les émissions de GES de son logement, l'idéal est d'opter pour un système de chauffage reposant sur les énergies renouvelables. On peut notamment penser aux pompes à chaleur aérothermiques et aux dispositifs fonctionnant à l'aide du bois-énergie comme les poêles à bois ou les chaudières à granulés.
Un adulte expire en moyenne 20 litres de CO2 par heure. En une nuit de 8h, cela représente un volume d'environ 160 litres. Si on prend une chambre de 10m2 avec 2.5m de plafond, qui nous donne un volume de 25m3 soit 25'000 litres (désolé pour les maths), il aura remplacé 0.64% du volume par du CO2.