Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Les causes les plus fréquentes des lésions cérébrales sont les suivantes: accident vasculaire cérébral (AVC) hémorragie cérébrale. traumatisme craniocérébral.
La maladie d'Alzheimer.
Accident vasculaire cérébral, traumatismes crâniens, diabète, médicaments, etc.: de nombreux facteurs favorisent l'apparition de démences et la perte de la mémoire. Lorsqu'on parle de démence, on pense aussitôt à la maladie d'Alzheimer.
Un état végétatif se produit lorsque le cerveau (la partie de l'encéphale qui contrôle la pensée et le comportement) ne fonctionne plus, mais l'hypothalamus et le tronc cérébral (les parties de l'encéphale qui contrôlent les fonctions vitales, comme les cycles du sommeil, la température corporelle, la respiration, la ...
Une étude révèle qu'un cerveau fatigué réclame des pauses, à moins qu'une incitation financière n'en repousse les limites.
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
La spasticité sévère résultant d'une lésion cérébrale peut être traitée de différentes manières, par exemple au moyen de revalidation, de médicaments, d'injections, voire même au moyen d'une opération.
peut réaliser un électroencéphalogramme (EEG), un électroneuromyogramme (ENMG) ou des potentiels évoqués (PE) ; peut avoir recours à des examens complémentaires (scanner, IRM).
Le neurologue est amené à suivre des personnes atteintes de migraines, de la maladie de Parkinson, de la sclérose en plaques, l'épilepsie, les démences comme la maladie d'Alzheimer, les hémorragies cérébrales, les tumeurs cérébrales ou médullaires touchant la moelle épinière).
Le traitement de la maladie inflammatoire du cerveau liée à la présence d'anticorps vise à contrôler l'inflammation active et à éliminer les anticorps qui provoquent la maladie. Le traitement peut comprendre la prednisone, le rituximab, l'immunoglobuline intraveineuse et la plasmaphérèse.
Réparation par transplantation : Il est maintenant possible de réparer le cerveau par greffes des jeunes neurones qui peuvent développer, connecter et restaurer les circuits endommagés, même dans le cerveau adulte.
Le yoga et la méditation sont des exemples connus de pratiques relaxantes. Les exercices de visualisation positives ou le relâchement musculaire progressif en sont d'autres toutes aussi efficaces.
Pour savoir si le patient est en état de mort cérébrale, plusieurs tests sont effectués : absence d'activité musculaire spontanée, pas de réflexe, pas de réaction à la douleur, absence de respiration, électroencéphalogrammes montrant l'absence d'activité électrique du cerveau et angiographie (absence de circulation ...
La mort cérébrale est la perte permanente de l'activité cérébrale. Les personnes ne parviennent pas à respirer ou à maintenir d'autres fonctions vitales de manière autonome, et elles perdent définitivement toute conscience et capacité de penser.
Au niveau du cerveau, une mauvaise circulation peut se traduire par des troubles de la mémoire. Pour ce qui est des jambes, on observe surtout une sensation de lourdeur et d'enflure.
Les premières lésions de la maladie d'Alzheimer apparaissent presque toujours dans l'hippocampe, une zone bien précise au cœur du cerveau, avant de diffuser progressivement en direction des zones externes en suivant les connexions établies entre les différentes régions.
Comme la plupart des cellules, les neurones peuvent mourir de deux manières différentes : par nécrose ou par apoptose. La nécrose est produite par un traumatisme aigu, chimique ou mécanique. La cellule gonfle puis se détruit (lyse) et son contenu se disperse dans le milieu extracellulaire.