La prise de sang permettra de connaitre votre taux de testostérone, mesurable en nmol/L. Pour un homme, le taux considéré comme normal est variable selon les laboratoires mais il doit se situer entre chez l'homme : 8,2–34,6 nmol/L. Chez la femme, il sera compris entre 0,3–3,0 nmol/L (source).
On augmente donc considérablement l'excès de testostérone et dans ce cas, il y a des risques cardiovasculaires qui apparaissent liés notamment à la polyglobulie parce que le taux de globules rouges augmente (risque de caillot, risque d'accidents vasculaires…).
Les légumes sont cruciaux pour une santé optimale et la croissance musculaire. Certains légumes sont même reconnus pour booster le niveau de testostérone: les brocolis, les choux de Bruxelles et le cresson. Cela est dû aux phytonutriments qu'ils contiennent, qui réduisent la formation d'œstrogènes (hormones femelles).
La vitamine D fournie par le soleil est un efficace remède naturel pour booster d'énergie et stimuler la production de testostérone. Lié au Zinc et au magnésium, la vitamine B6 est aussi un complément alimentaire qui aide à provoquer naturellement la production de testostérone.
Pratiquez des exercices poly-articulaires, qui sollicitent plusieurs groupes musculaires en même temps : squat, développé couché, soulevé de terre… Les exercices de force. Travailler en force permet de stimuler la sécrétion de testostérone.
Diminution du niveau d'énergie, de l'endurance ou de la force physique. Diminution de la masse musculaire maigre ou de la force physique. Difficulté à gagner de la masse musculaire maigre ou à perdre de la graisse corporelle. Dysfonction érectile ou impuissance.
Chez l'homme, entre 1 et 10 ans, les valeurs sont inférieures à 0,7 nmol/l, entre 10 et 20 ans, elles sont comprises entre 1,7 et 17,5 nmol/l, entre 20 et 45 ans, elles sont comprises entre 10 et 30 nmol/l, entre 7 et 28 nmol/L entre 40 et 60 ans, et entre 60 et 75 ans, ces valeurs varient entre 3,5 et 17,5 nmol/l.
Quels résultats peut-on attendre d'une analyse de la testostérone ? Le dosage sanguin s'effectue sur un prélèvement veineux, en général au pli du coude. Il est effectué le matin, car les concentrations varient au cours de la journée. Les dosages doivent être répétés lorsqu'une valeur anormale est mise en évidence.
Le houblon
Cette plante est notamment présente dans la bière. Elle est considérée comme un anaphrodisiaque, car elle diminue les effets de la testostérone, l'hormone de la libido (surtout chez les hommes).
Dans certaines situations, la sécrétion d'androgènes est excessive, on appelle cela l'hyperandrogénie. Elle peut se manifester cliniquement par un hirsutisme (présence de poils de distribution masculine chez la femme : visage, dos, fesses…) mais également une acné ou une chute des cheveux.
Une étude conclut qu'un traitement à base de testostérone réduit l'obésité chez l'homme. Les experts sont dubitatifs. Un traitement de substitution à la testostérone serait une remarquable aide minceur, assure une étude.
Une problématique liée aux hormones mâles, et plus particulièrement la testostérone, entraîne une chute de cheveux.
Sécrétion de testostérone et masculinisation
Au moment de la puberté, la production de testostérone augmente ; elle stimule la gamétogenèse et entraîne l'apparition de caractères sexuels secondaires : développement de la pilosité, de la musculature, du pénis et des testicules.
«L'acte sexuel, quelle que soit sa fréquence, n'a aucun impact sur la production de testostérone chez l'homme», explique le Pr Philippe Bouchard, endocrinologue à l'hôpital Saint-Antoine à Paris.
Le sport augmente la testostérone
Son rôle premier est d'assurer le bon fonctionnement sexuel. Elle permet aussi d'augmenter la masse musculaire et de faire baisse la masse graisseuse, ce qui permet une plus grande confiance en soi et de meilleures performances.
Chez les adultes, les effets contrastent : l'administration de l'hormone ne provoque pas de comportements violents et apaise même les manifestations anxieuses.
Le facteur génétique est responsable de l'alopécie masculine dans 95% des cas. C'est donc héréditaire. Pour faire simple, c'est la testostérone qui est à l'origine de la perte de cheveux de manière irréversible. En effet, celle-ci accélère le rythme de renouvellement de la pousse des cheveux.
La chute des cheveux serait due à une inactivation de certaines cellules souches. Lorsque la calvitie se déclare brutalement, il faut rechercher une autre cause et, en tout premier lieu, le stress. Les régimes amaigrissants ou une alimentation trop déséquilibrée sont également en cause.
La légende urbaine raconte que la vitesse de pousse des poils serait liée au taux de testostérone. C'est totalement faux ! En revanche, elle influe sur la densité des poils de votre barbe. Ainsi, la production de dihydrotestostérone (DHT) ou d'androstanolone pourrait avoir un impact sur la pousse des poils.
Cortisol et hormones thyroïdiennes, les hormones qui font grossir.
L'évaluation de votre profil hormonal se fait par une prise de sang, le plus souvent entre le 2ième et le 4ième jour du cycle. Différentes hormones jouent un rôle dans la reproduction.
Les oestrogènes et la progestérone tendent à empêcher l'apparition de graisse abdominale tandis que le cortisol, l'hormone associée au stress, favorise la prise de graisse abdominale, autant chez les femmes minces que chez les femmes en surpoids.
La testostérone est une hormone qui fait partie d'un groupe d'hormones appelées les androgènes. Chez l'homme, elle est principalement fabriquée dans les testicules. Cette hormone est également produite chez la femme (par les ovaires), en quantités beaucoup moindres, et est responsable, chez elle aussi, du désir sexuel.