Soyez extrêmement gentille
Demandez-lui comment elle en sait autant et si elle a déjà fait des erreurs. Mais sérieusement, parfois, le fait d'être la personne la plus importante dans une situation comme celle-ci peut être très utile, car si votre belle-mère est vraiment toxique, elle voudra vous faire réagir.
La mère jalouse peut également rabaisser systématiquement sa fille, l'empêcher de voir ses amis. Cette rivalité s'opère aussi dans les tenues vestimentaires, où "l'on ne sait plus qui est la mère et la fille", illustre Yves Morhain. "J'ai également eu le cas d'une mère qui avait piqué le copain de sa fille de 18 ans.
Constamment elle essaie de faire partie de votre vie mais ne tombe pas à pic. Résultat, elle se sent rejetée. La façon dont cela s'exprime: elle multiplie les arrivées improvisées, ne part pas quand elle tombe mal, se plaint d'être mal reçue, dit à votre chéri que vous n'êtes pas accueillante et que cela la peine.
Une belle-mère manipulatrice narcissique utilise essentiellement la violence psychologique pour contrôler sa belle-fille qui est une victime. Elle va donc vous contrôler, vous rabaisser publiquement et littéralement vous casser mais jamais en présence de son fils et donc votre mari.
Travaillez différentes expressions feintes devant un miroir, jusqu'à les imiter parfaitement : compassion, admiration, tristesse, stupéfaction et la plus importante : l'innocence. En règle générale, soyez aussi fourbe, péremptoire, faux-cul et odieuse qu'elle, mais pas en présence d'éventuels témoins.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
On est plus proche de sa propre mère que de sa belle-mère, sauf cas rare. Mais il faut faire un effort pour lui donner une place, maintenir un équilibre entre les deux grand-mères pour éviter d'éventuelles jalousies entre elles. On peut essayer de la solliciter un peu pour lui montrer qu'elle a une place.
Qu'il s'agisse de vous ou d'une autre, votre belle-mère trouverait toujours à redire. Soyez patiente et positive et laissez le temps agir et votre belle-mère s'habituer peu à peu à votre présence. Laissez glisser certaines remarques, choisissez vos batailles ! Tous les conflits n'en valent pas la peine.
La peur de vieillir
Le sentiment de jalousie peut notamment émerger d'une peur de vieillir. Voir sa fille jeune et fraîche rappelle à la mère qu'elle ne l'est plus forcément et que le meilleur est derrière elle… Et parfois, cette angoisse transforme l'amour maternel en rivalité.
Une mère toxique est une mère qui empoisonne la vie de son enfant en ayant recours à la manipulation, la domination ou encore la violence. Les traumatismes émotionnels sont difficiles à porter pour l'enfant devenu adulte.
lorsque la femme parle du salaire ou bien des récompenses que sa collègue a pu avoir, lorsque ça parle beaucoup sur l'autre dans son dos, parfois même, quand l'une complimente l'autre trop, c'est souvent signe de jalousie profonde.
Les rapports entre belle-mère et belle-fille n'en seraient que plus compliqués : "La mère va essayer de conserver ou de retrouver sa place auprès de son fils. Cela entraîne une sorte de rivalité avec sa belle-fille, et de la jalousie".
Utilisez le principe du « merci positif ».
« Face aux remarques désobligeantes, répondez quelque chose comme "tiens, c'est une bonne idée, je vais essayer", quitte à faire exactement le contraire dès qu'elle sera partie. Pour la belle-mère, c'est souvent une manière (certes maladroite) de vouloir se rendre utile.
La détestation de la figure de la belle-mère se trouve alors affermie par la naissance de la famille nucléaire, qui bouleverse la donne. «Elle implique l'intimité du couple, il n'y a plus de place pour la belle-mère», résume Yannick Ripa. Ce contexte donne une nouvelle jeunesse au conflit avec les brus.
La clé pour ne plus laisser une mère intrusive prendre le contrôle de sa vie, c'est la confiance en soi. Ne plus douter, savoir ce qui bon pour soi et ce qui ne l'est pas, prendre le contrôle de sa vie, s'imposer en tant qu'adulte et ne plus accepter d'être toujours traitée comme son enfant.
Comportez-vous convenablement avec eux.
Traitez vos beaux-frères et belles-sœurs comme vous traiteriez vos propres frères et sœurs. Soyez aimable, cordial et naturel avec eux. Soyez honnête et communiquez de façon ouverte. Lorsque vous êtes en leur présence, détendez-vous.
Sa famille traite vos enfants comme s'ils n'appartenaient qu'à votre partenaire et à son côté de la famille. Ils invitent votre partenaire aux fêtes de famille, mais pas vous. Ils vous critiquent devant votre partenaire ou devant vos enfants.
Ne pas répondre du tac au tac
Quand on a une belle-famille qui a pris l'habitude de dire tout ce qu'elle pense à haute voix, et en particulier de critiquer à peu près tout ce qu'on fait, on a envie de répondre aussi sèchemment pour ne pas se laisser faire.
Donner clairement la priorité à son partenaire par rapport à sa famille. C'est le principe clef pour une relation harmonieuse avec la belle-famille : chaque partenaire doit donner la priorité à son conjoint par rapport à ses parents et sa famille. En réalité, le problème ne vient souvent pas de la belle-famille.
Une façon d'améliorer votre relation avec votre belle-mère est de partager un passetemps avec elle. Demandez-lui son avis de temps en temps. Même s'il s'agit d'une personne avec qui il est un peu difficile de vivre, elle demeure la mère de votre conjoint(e) et mérite considération et respect X Source de recherche .
« Une belle-famille envahissante peut générer une souffrance au sujet de laquelle il ne faut pas culpabiliser : chaque individu a droit au respect de son espace vital et, si celui-ci est menacé, il faut réagir ! » affirme Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne.