L'énurésie (mictions involontaires) ; La somniloquie (le fait de parler pendant son sommeil) ; Le bruxisme (grincement des dents pendant le sommeil lent léger) ; Les troubles alimentaires nocturnes (somnambulisme orienté vers l'ingestion de boissons ou d'aliments).
Le somnambulisme peut survenir dès l'âge de la marche mais il se voit surtout entre 7 et 12 ans et il disparaît après la puberté. Dans la majorité des cas (60 à 80%) d'autres membres de la famille sont également somnambules.
Il peut parler, s'asseoir sur le lit et même conduire une voiture. Toutefois, la posture d'un somnambule est bien différente de ce qu'on peut s'imaginer.
Un épisode de somnambulisme peut se résumer à s'asseoir dans son lit, manipuler les couvertures, balayer la pièce d'un regard absent, puis simplement se recoucher et se rendormir. L'agissement le plus fréquemment rapporté est celui de l'enfant qui sort de son lit et se promène lentement dans la pièce.
Les traitements du somnambulisme
Des somnifères comme les benzodiazépines ainsi que certains antidépresseurs peuvent aider les somnambules à arrêter de se lever pendant la nuit.
Dormir avec des bouchons d'oreilles et le calme dans la pièce. Chez l'adulte somnambule, éviter les gros repas et l'alcool qui peuvent déclencher des crises car sources de réveil. Manger léger le soir et ne pas se coucher immédiatement après le repas. Ne jamais attacher un somnambule qui risque de s'étrangler.
La sexsomnie rappelle le somnambulisme. Les personnes qui en souffrent semblent être éveillées, et entreprennent un acte sexuel alors qu'elles sont encore endormies.
Car réveiller brutalement, un somnambule risque de se montrer totalement désorienté. Il peut alors chuter et se faire mal. Il peut aussi devenir nerveux et même se montrer violent.
Non, le somnambulisme n'est, en soi, pas dangereux. Par contre, comme la conscience est altérée à ce moment-là, la marche et toute autre action motrice éventuelle sont totalement incontrôlées, ce qui peut parfois conduire à des situations dangereuses. On estime que 17 % des enfants et 4 % des adultes sont somnambules.
Parler la nuit n'a en fait aucune conséquence sur votre sommeil. “La qualité du sommeil n'est pas détériorée par le fait de parler en dormant. La somniloquie ne réveille pas la personne, le somnambulisme en revanche, oui. Ainsi, on peut parler toute la nuit sans être fatigué le matin”.
Parce que le sexe fait bâiller ? Mais oui. Chez certaines espèces animales, comme l'hippopotame ou le macaque, le mâle dominant bâille plusieurs fois bruyamment avant de s'accoupler. Chez l'humain, des études montrent que des bâillements accompagnés d'étirements sont une expression de désir sexuel pour la femme.
L'agitation nocturne peut avoir une origine psychologique et être liée à une anxiété, des angoisses ou un traumatisme (accident, agression...), ce qui va favoriser le déclenchement de rêves agités ou de cauchemars. La personne qui cauchemarde peut alors se réveiller en pleine nuit et avoir du mal à se rendormir.
Les médecins qui connaissent le mieux le somnambulisme sont les médecins du sommeil (une sur-spécialité exercée par des neurologues, des psychiatres et des pneumologues).
Selon la fréquence des épisodes, la mauvaise qualité du sommeil attribuable au somnambulisme peut se traduire par de la fatigue et de la somnolence.
C'est relativement rare, mais ça arrive. C'est pour cela que quand une personne est sujette au somnambulisme, il faut se méfier des fenêtres ouvertes, et des meubles sous les fenêtres qui permettent de les franchir facilement.
Les terreurs nocturnes sont un trouble du sommeil normal qui apparaît en général quand l'enfant est âgé entre 18 mois et 4 ans. Il est préférable de ne pas réveiller un enfant qui a une terreur nocturne. Il faut toutefois rester à ses côtés afin de s'assurer qu'il ne se blesse pas.
Le somnambulisme peut disparaître spontanément. Le premier traitement reste la sécurisation en rendant inaccessible les lieux dangereux de la maison. Si votre enfant est somnambule, il faut éviter les lits superposés. On va ensuite pouvoir le soigner en agissant sur la qualité du sommeil.
Les girafes ne bâillent jamais.
"Quand le bâillement devient excessif et se répète à l'envi, il peut signaler une dette de sommeil, voire un syndrome d'apnée du sommeil", indique le spécialiste. "Le bâillement peut aussi accompagner une migraine, un AVC, une hypertension intracrânienne, parfois une tumeur au cerveau.
Contractez les muscles à l'arrière de votre gorge.
Ces muscles se contractent naturellement un peu quand vous bâillez. Les contracter peut stimuler votre corps à former un vrai bâillement. Votre cerveau fera le lien entre la sensation de ces muscles en train de se contracter et le fait de bâiller.
La personne qui parle en dormant peut se montrer insistante : « Qu'est-ce que t'en penses ? Qu'est-ce que t'en penses ? », « Mais non, mais non ». Il existe aussi beaucoup de répétitions (« Pousse-toi, Pousse-toi »), voire de triplications (« C'est quoi, C'est quoi, C'est quoi? »).
Somniloquie : qu'est-ce que c'est ? La somniloquie est un trouble universel appartenant au groupe des parasomnies (qui intervient pendant une des phases de sommeil). Elle se manifeste par le fait de parler en dormant, de façon périodique ou chronique.
Selon les experts, le fait de fermer les paupières permet d'hydrater l'oeil et de protéger sa surface. A l'inverse, lorsqu'on dort les yeux ouverts, les yeux s'assèchent et sont susceptibles de s'infecter car ils reçoivent plus de poussières. C'est donc tout simplement un mécanisme de protection de notre corps.