saignements vaginaux anormaux, entre autres entre les menstruations, après la ménopause et à la suite de relations sexuelles. pertes vaginales anormales ou plus abondantes. pertes vaginales malodorantes. menstruations inhabituellement longues ou abondantes.
Des douleurs pelviennes et/ou lombaires sont aussi typiques du cancer de l'utérus à un stade avancé. Elles peuvent être plus ou moins intenses, permanentes ou intermittentes, et survenir ou non au cours des rapports sexuels et/ou durant la miction.
Le dépistage se fait par frottis du col de l'utérus (frottis cervico-utérin). Cet examen, indolore et rapide, peut être réalisé par un gynécologue ou le médecin traitant. Il permet de prélever quelques cellules qui seront analysées en laboratoire. L'analyse recherchera la présence de cellules anormales ou cancéreuses.
Chez la femme, trois cancers sont responsables du plus grand nombre de décès par cancer : sein (12 000), poumon (10 000) et colorectal (8 000).
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
Le frottis du col de l'utérus permet de prélever superficiellement des cellules pour les analyser au microscope et/ou de réaliser un test HPV-HR. Cet examen dépiste un éventuel cancer du col de l'utérus.
Le pic d'incidence du cancer du col de l'utérus se situe vers 40 ans et l'âge médian au diagnostic est de 51 ans. Il est rare chez les femmes âgées de moins de 30 ans et celles âgées de plus de 65 ans. Les taux d'incidence et de mortalité par cancer au col de l'utérus sont en constante diminution.
Le cancer du col de l'utérus fait partie des cancers les plus fréquents et les plus mortels dans certaines régions du monde, où il se place parfois devant le cancer du sein. En 2020, dans le monde : plus de 604 000 nouveaux cas ont été diagnostiqués. En France, c'est près de 3380 nouveaux cas et 1450 décès.
Cancer du col de l'utérus : la maladie
Chaque année, près de 3000 femmes développent un cancer du col de l'utérus et 1000 femmes en meurent.
La survie à 5 ans est de 83 %, le cancer de l'utérus fait donc partie des cancers à bon pronostic, c'est-à-dire ceux dont les chances de survie sont statistiquement supérieures à 80 %.
Les symptômes caractéristiques du cancer de l'ovaire
Les troubles gynécologiques : perturbation des règles, saignements ou pertes vaginales anormales, tensions dans les seins... ; Les perturbations locales liées à la masse tumorale : les douleurs pelviennes, abdominales, les lombalgies, les envies urgentes d'uriner...
Le frottis de dépistage du cancer du col de l'utérus
Il est réalisé grâce à un frottis du col de l'utérus qui recherche, selon l'âge de la personne : la présence de cellules du col anormales au niveau du col de l'utérus, pour les jeunes femmes âgées de 25 à 29 ans, la présence du virus HPV entre 30 et 65 ans.
Les patientes ressentent, en général, quelques douleurs et de la fatigue. Elles surviennent dans moins de 10 % des cas. Il peut s'agir de saignements vaginaux, d'une surinfection ou de complications urinaires ou intestinales (paresse du transit) transitoires.
Le symptôme le plus courant du cancer de l'utérus est un saignement vaginal anormal. Cela comprend des changements des menstruations (périodes plus abondantes, plus longues ou plus fréquentes que la normale), des saignements entre les règles, des saignements après la ménopause et de légers saignements vaginaux.
À la différence de l'examen cytologique qui s'intéresse à la morphologie des cellules, le test HPV cherche la présence d'ADN du virus HPV à haut risque chez les femmes. Ces deux tests sont réalisés par prélèvement de cellules au niveau du col de l'utérus (appelé « frottis »).
Entre 25 et 29 ans. Pour les femmes entre 25 et 29 ans, le test de dépistage est réalisé par examen cytologique ou examen des cellules prélevées lors du frottis du col de l'utérus : les deux premiers tests réalisés à 1 an d'intervalle, puis, si les résultats sont normaux, un frottis à 3 ans.
Le cancer du col de l'utérus peut se propager de plusieurs manières : En se propageant directement aux tissus environnants, y compris vers le vagin. En pénétrant dans le riche réseau de petits vaisseaux lymphatiques des tissus du col de l'utérus, puis en se propageant à d'autres parties de l'organisme.
Toutes les femmes qui ont déjà été actives sexuellement risquent d'être atteintes du cancer du col de l'utérus puisque l'activité sexuelle peut les exposer au VPH. Ce type de cancer apparaît rarement chez les femmes qui n'ont jamais été actives sexuellement.
Ces sensations peuvent donc à la fois être la simple conséquence d'un repas trop copieux ou d'un vêtement trop serré à la taille, mais aussi les symptômes de pathologies digestives diverses ou d'une intolérance alimentaire, voire d'une grossesse.
Des troubles digestifs signes possibles d'un cancer du côlon
Les premiers symptômes du cancer du côlon sont essentiellement digestifs. On observe habituellement des crampes abdominales, des ballonnements, des gaz et des troubles du transit intestinal (diarrhées et constipation).
Quand le ventre est devenu gonflé en plusieurs mois, il faut aussi rechercher d'éventuels autres signes associés : fatigue, douleur, fièvre, manque d'appétit, ventre dur... Lorsqu'on souffre de ballonement, c'est le plus souvent après les repas, on se sent comprimé au niveau de la ceinture !
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.