Une leucémie myéloïde chronique est suspectée dès lors que la numération formule sanguine met en évidence une myélémie, c'est-à-dire la présence de nombreuses cellules jeunes immatures de la moelle osseuse dans le sang. Pour confirmer ce diagnostic, un myélogramme doit être réalisé.
Le myélome multiple est un cancer qui concerne chaque année 4 000 nouveaux patients en France. Peu connue, cette maladie de la moelle osseuse est due à l'accumulation anormale d'un type de globules blancs, les plasmocytes.
Le myélome multiple ne peut pas être guéri. Le but du traitement est de réduire les symptômes, de ralentir l'évolution (progression) de la maladie et d'arriver à une rémission de la maladie.
La moelle osseuse est prélevée par ponction et aspiration. Elle est ensuite étalée sur une lame (frottis), avant d'être colorée et examinée au microscope. L'analyse du myélogramme fournit des informations capitales dans le diagnostic des maladies du sang et de la moelle osseuse.
Pour confirmer ce diagnostic, un myélogramme doit être réalisé. La moelle osseuse ainsi prélevée est analysée au microscope. Le diagnostic de leucémie est confirmé si un envahissement de la moelle par des cellules immatures est observé.
Le myélome multiple atteint la moelle osseuse et affecte souvent de multiples (plus de 1) os ou plusieurs régions d'un os. On le considère donc habituellement comme généralisé au moment du diagnostic. Le traitement du myélome multiple repose sur la présence de symptômes de la maladie.
Un myélome peut également être découvert en l'absence de tout symptôme, notamment dans le cadre d'un bilan de santé, d'un examen sanguin (par exemple, par une accélération de la vitesse de sédimentation) ou d'imagerie, etc. Il peut aussi être découvert dans le cadre du suivi d'une MGUS.
Le principal symptôme du cancer des os est la douleur, notamment une douleur qui est plus vive la nuit. La douleur peut varier selon la taille et l'emplacement de la tumeur dans l'os. Les autres symptômes incluent les suivants : enflure dans la région où se trouve la tumeur.
La moelle osseuse des personnes atteintes de myélodysplasie fonctionne de façon anormale, et ne produit plus en quantité suffisante une, deux ou les trois lignées de cellules sanguines normales. D'où l'apparition de déficits en globules rouges (anémie), en globules blancs (neutropénie) ou en plaquettes (thrombopénie).
On distingue : Les leucémies : prolifération dans le sang cellules anormales en quantité excessive. Les syndromes myélodysplasiques : affections de la moelle osseuse responsables souvent d'une baisse des globules rouges, plaquettes et anomalies de globules blancs.
Elle est liée à une libération excessive de calcium dans le sang lors de la destruction osseuse. Elle est responsable de manifestations telles que des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements et peut provoquer des troubles cardiaques.
L'écart le plus important concerne les leucémies aiguës myéloïdes dont la survie à 5 ans est de 69 % pour les personnes les plus jeunes (30 ans) vs 6 % chez les plus âgées (80 ans). Un diagnostic de la maladie à stade plus avancé chez les personnes plus âgées peut, en partie, expliquer ces différences selon l'âge.
Pour la ponction de la moelle osseuse, le médecin ou l'infirmière praticienne insère une aiguille spéciale dans la peau et dans l'os jusqu'à la moelle osseuse. On fixe ensuite une seringue à l'aiguille spéciale avec laquelle on retire une petite quantité de liquide de la moelle osseuse, qui ressemble à du sang.
Imagerie par résonance magnétique
On considère que l'IRM est la meilleure façon de chercher une tumeur au cerveau ou à la moelle épinière. On peut avoir recours à d'autres types d'IRM dont ceux qui suivent.
Un bilan sanguin est également prescrit. Le dosage de l'enzyme LDH (lacticodéshydrogénase), qui témoigne de l'agressivité du lymphome, est un facteur pronostique. Il permet aussi d'évaluer la réponse au traitement.
Dans la lutte contre le cancer, la détection de la maladie à un stade précoce est essentielle. Le diagnostic s'appuie aujourd'hui sur une série d'examens comprenant les tests d'imagerie, l'analyse anatomopathologique des tissus avec les microscopes, et le dosage de certains marqueurs tumoraux dans le sang.
La progastrine est une protéine présente naturellement dans l'organisme. Elle est présente à un taux beaucoup plus élevé chez une personne atteinte d'un cancer, quelle que soit son origine. L'étude Oncopro analyse l'utilité de ce nouveau test sanguin dans le dépistage précoce des cancers.
Le cancer colorectal, un cancer silencieux
Bien souvent, le cancer colorectal se développe de manière silencieuse, sans symptôme. C'est principalement le cas des cancers localisés au niveau du côlon droit et transverse.
Le myélome multiple expose à des complications, comme les douleurs et les fractures osseuses.
Le myélome multiple est un cancer hématologique, autrefois appelé « maladie de Kahler », caractérisé par la prolifération dans la moelle osseuse de plasmocytes tumoraux.
Le myélome multiple est un cancer de la moelle osseuse pour lequel l'espérance de vie, suite au diagnostic, est de 5 ans en moyenne.
La prolifération des plasmocytes malins interfère avec le bon fonctionnement de la moelle osseuse, ce qui peut entraîner: une anémie, consécutive à la diminution du nombre normal de globules rouges dans le sang.
Dosage des immunoglobulines (Ig)
On observe souvent une hausse du taux de l'un de ces anticorps en présence d'un myélome multiple. Les IgG et les IgA sont les immunoglobulines les plus souvent détectées en grandes quantités chez les personnes atteintes du myélome multiple.
Il est possible de guérir de la leucémie aigüe myéloïde.