essoufflement, respiration sifflante, voix rauque et toux qui s'aggrave ou persiste) douleur thoracique, en particulier lors de profondes inspirations et de quintes de toux. présence de sang dans les expectorations (ou hémoptysie) infections pulmonaires (p.
d'infections pulmonaires répétées : bronchites, pneumonies ; d'une modification de la voix (du timbre ou de l'intensité) qui devient souvent enrouée ou voilée ; de sifflements pendant la respiration.
Durant une pléthysmographie pulmonaire, un appareil mesure le volume d'air que vous inspirez et la force avec laquelle vous expirez l'air. Vous êtes assis dans l'appareil, dont l'espace est très petit et les murs sont transparents.
des signes respiratoires, comme une toux, un essoufflement ou une sensation d'oppression dans la poitrine ; des maux de tête, des courbatures, une fatigue inhabituelle ; une perte brutale de l'odorat (sans obstruction nasale), une disparition totale du goût ; une diarrhée.
D'autres manifestations sont liées à une extension locorégionale de la tumeur : douleurs au niveau de la paroi thoracique ou de l'épaule, maux de tête, œdème (gonflement) du visage, du cou et des creux au-dessus des clavicules, turgescence des veines jugulaires, gêne ou blocage à la déglutition, altération de la parole ...
Habituellement, le patient est interrogé sur ses antécédents médicaux, un examen physique avec écoute des poumons et une mesure de la fonction pulmonaire est effectuée. Dans ce dernier cas, on respire à travers un embout buccal comme demandé, le nez fermé. Le volume pulmonaire et la puissance respiratoire sont mesurés.
La radiographie pulmonaire est souvent le premier examen d'imagerie effectué pour vérifier la présence de problèmes aux poumons.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
"Le dépistage du cancer du poumon par une prise de sang n'existe pas encore. Il s'agit de programmes qui sont des essais cliniques. Les participants font un scanner de dépistage et une prise de sang peut aussi être réalisée. Et dans le sang, on peut rechercher plusieurs types de reflets du cancer.
"La radio des poumons n'est pas un bon examen de dépistage du cancer du poumon. En revanche, le scanner thoracique avec une technique particulière est un meilleur examen de dépistage, mais il y a des difficultés de réalisation. Et ce sont des examens anxiogènes qu'il faut répéter.
L'emphysème est une maladie pulmonaire progressive. Elle est caractérisée par une destruction des alvéoles pulmonaires, ce qui entraîne une diminution de la surface d'échange gazeux.
Le gingembre : il élimine les flegmes, ouvre les bronches, soigne la toux, c'est un antibactérien, un anti-inflammatoire et il élimine le tabac des poumons. L'oignon : il ouvre les bronches, désenflamme les alvéoles et favorise l'élimination du mucus et des substances nocives.
La douleur thoracique est un trouble très fréquent. La douleur peut être aiguë ou sourde, mais certaines personnes souffrant de trouble thoracique décrivent une sensation de gêne, d'oppression, de pression, de gaz, de brûlure ou de douleur.
Pour le stade limité du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 12 à 16 mois, avec traitement. Pour le stade étendu du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 7 à 11 mois, avec traitement.
Un patient ou une patiente atteinte d'un cancer du poumon peut espérer en guérir, mais cela dépend de l'évolution de la maladie. Plus elle est prise à temps, plus les chances d'en guérir sont importantes.
La toux peut être sèche et quinteuse ou grasse et productive (expectorations). Il arrive parfois que les expectorations contiennent du sang provenant des poumons.
Le cancer du poumon à petites cellules est très agressif et survient presque toujours chez les fumeurs. Il a une croissance rapide, et environ 80% des patients ont une maladie métastatique au moment du diagnostic.
L'IRM et le Pet scanner pour un cancer généralisé indiquent l'étendue des lésions. La scintigraphie osseuse permet de détecter des métastases osseuses et des métastases sur les cartilages. Quant aux examens sanguins, il s'agit de mesurer ici les taux de marqueurs tumoraux (l'enzyme LDH ou la protéine C-réactive).
Troubles du transit, constipation, diarrhées, saignements… sont des symptômes qui peuvent alerter.
Une modification de la symétrie de la poitrine, et/ou une variation de volume, de la densité ou de la forme d'un ou des deux seins, devrait aussi vous alerter. Certains cancers du sein peuvent également se traduire par un symptôme inflammatoire provoquant une sensation de chaleur, un gonflement et des douleurs.