Le stress affecte non seulement la santé mentale, mais aussi la santé physique. Par exemple, il peut causer : une augmentation de la pression artérielle et du risque de maladies cardiaques, des problèmes gastro-intestinaux (diarrhée, brûlures ou ulcères d'estomac, etc.), des maux de tête, de dos ou de cou, etc.
En période de stress, vous pouvez également avoir certains symptômes physiques. Ces signaux envoyés par votre organisme vous alertent sur votre état psychique. Il peut s'agir de maux de ventre aigus, de migraines, de douleurs musculaires et de tensions. Vous pouvez également souffrir de troubles digestifs.
Dans les études épidémiologiques, la comorbidité entre troubles anxieux et addictions dépasse souvent les 50%. Le stress aigu ou chronique est un facteur pivot dans plusieurs théories sur la motivation dans le domaine des abus de substances mais aussi dans la recherche sur les déclencheurs des troubles anxieux.
L'addiction est une pathologie qui repose sur la consommation répétée d'un produit (tabac, alcool, drogues…) ou la pratique anormalement excessive d'un comportement (jeux, temps sur les réseaux sociaux…) qui conduit à : une perte de contrôle du niveau de consommation/pratique. une modification de l'équilibre émotionnel.
Notre organisme répond à un contexte stressant par une réaction en 3 phases (alarme, résistance, épuisement).
Les causes fréquentes : un stress, qui non traité, se généralise. Parmi les événements de vie qui peuvent déclencher l'anxiété généralisée : – Le stress au travail suscite un épuisement physique et/ou psychique, de même que la perception d'une situation professionnelle instable.
Le yoga et la méditation sont des exemples connus de pratiques relaxantes. Les exercices de visualisation positives ou le relâchement musculaire progressif en sont d'autres toutes aussi efficaces.
La pleine conscience est l'antidote parfait à l'anxiété.
Lorsque vous êtes anxieux, la première étape doit être de vous arrêter, de ralentir, de respirer profondément et de vous connecter avec vos cinq sens au moment présent.
L'anxiété peut aussi être un symptôme d'affections plus importantes, comme une phobie ou un trouble obsessionnel compulsif. Enfin, ce trouble peut être une alerte d'un stress prolongé suite à un événement traumatisant.
De nombreux travaux de neurosciences montrent qu'une exposition à un stress chronique affecte l'hippocampe, le siège de la mémoire et des émotions. Une neurotoxicité qui explique les troubles de mémoire chez les dépressifs.
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
Impact du stress sur le sommeil
En conséquence, le stress augmente notre attention, notre vigilance et notre niveau d'énergie. On comprend alors facilement que cela peut entraîner des difficultés d'endormissement et du maintien du sommeil.
Le stress désigne le mécanisme psychologique mis en œuvre par l'organisme pour faire face à une situation particulièrement éprouvante ou considérée comme telle. Le stress est un ensemble de réactions de l'organisme lorsque celui-ci est soumis à des contraintes externes.
Vous devez consommer du bon gras pour vous desintoxiquer du sucre. Introduisez de bonnes graisses à chaque repas et collation y compris les noix et les graines (qui contiennent aussi des protéines), l'huile d'olive extra vierge, beurre de noix de coco, les avocats, et les oméga-3 provenant des poissons gras.
Non, arrêter le sucre ne fait pas maigrir.
À 36 ans, Solweig, libraire, a décidé d'arrêter le sucre pour se sentir mieux dans son corps. Résultat : elle a perdu 7,6 kilos en quelques mois (elle pèse désormais 55kg pour 1,68m) et, surtout, se sent en meilleure forme.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Le sevrage
Sur le plan pharmacologique, il existe des traitements de substitution, qui aident au sevrage de différentes substances psychoactives : cigarette électronique ; substituts nicotiniques ; médicaments dits « addictolytiques » tels que le baclofène, utilisé pour réduire la consommation d'alcool.