Une pauvreté du langage : l'enfant parle peu et s'exprime très mal. Il n'utilise que des phrases courtes de deux ou trios mots, avec une syntaxe peu fiable ; Une pauvreté du vocabulaire : l'enfant n'utilise pas ou très peu les pronoms dans ses phrases.
La personne vivant avec une dysphasie est une personne ayant une intelligence normale ou typique, mais qui a de la difficulté à communiquer et quelques fois à comprendre les informations transmises. Il est important de comprendre que la dysphasie est un trouble qui se manifeste différemment chez chaque personne.
La dysphasie est d'ordre neurologique, mais les causes exactes de la dysphasie sont encore nébuleuses. Les résultats d'études convergent de plus en plus vers une activité électrique cérébrale anormale et un dysfonctionnement des structures localisées dans l'hémisphère gauche du cerveau (Romagny, 2008).
La dysphasie touche plus particulièrement les garçons (2 à 3 garçons pour une fille). Le trouble sévère de réception est plus grave, mais moins fréquent, que le trouble qui touche principalement l'expression. La forme la plus fréquente à l'âge de l'école primaire est la dysphasie phonologico-syntaxique.
Le karaté est un sport qui combine mémorisation, concentration et coordination des mouvements, tout comme le dessin. Les deux sont une aide précieuse pour les enfants atteints de Dysphasie, un « must » pour les enfants atteints d'un trouble du langage oral.
Le traitement est surtout basé sur une rééducation orthophonique, prolongée et idéalement prévoir. Celle-ci ne guérit pas mais elle aide l'enfant à compenser ses déficits.
Le traitement peut être médicamenteux : - médicaments qui dilatent les sphincters, lorsqu'ils sont trop toniques ; - traitements antimycosiques, antibactériens, contre l'herpès, selon la cause infectieuse ; - chimiothérapie, radiothérapie en cas de cancers.
Tout comme la dyspraxie, la dysphasie est un handicap dont les origines ou les causes sont mal connues. La dysphasie ne possède pas de traitement précis mais une aide et un suivi sont nécessaires : Un accompagnement de la famille dans l'apprentissage de la communication (éveil et développement)
Les causes
La « difficulté à parler » peut avoir des origines diverses. Il peut s'agir de situations bénignes comme celle d'une personne qui a « perdu sa voix » dans le cadre d'une infection des voies respiratoires ou de situations graves comme celle d'une personne victime d'un accident vasculaire cérébral (AVC).
Le bilan se déroule de la façon suivante :
Seront administrées des épreuves de compréhension lexicale et syntaxique, des épreuves d'expression en distinguant l'articulation, la phonologie et le langage (syntaxe, vocabulaire, etc.).
Veiller à ce que le chien dysplasique ne soit pas en excès de poids. Faire faire de l'exercice régulier. L'exercice permet d'éviter le surpoids et favorise le développement musculaire. Ce sont les muscles qui garantissent une meilleure stabilité de l'articulation incongruente.
On parle alors de dysphasie. ne peut être posé qu'à partir de 5 ans : on peut suspecter une dysphasie dès 3 ans ; elle sera confirmée si les troubles persistent malgré une prise en charge orthophonique.
La dyspraxie : c'est un trouble qui entrave la coordination des gestes. L'enfant a des difficultés dans la motricité : courir, sauter, écrire. La dysphasie: c'est un dysfonctionnement du langage oral qui atteint la compréhension et/ou l'expression.
Donner une seule consigne à la fois. Encourager l'enfant à s'exprimer avec des gestes et des images. Accepter les erreurs d'expression si le message est correct. Ne permettre l'intervention que d'un seul élève à la fois en classe.
La dysphagie œsophagienne peut entraîner une perte de poids, une malnutrition, une aspiration trachéale du matériel ingéré et, dans les cas graves, une impaction alimentaire. L'impaction alimentaire met les patients à risque de perforation spontanée de l'œsophage, ce qui peut entraîner un sepsis et même la mort.
Quels sont les signes de dysphagie? Une lenteur à s'alimenter ou l'augmentation de la durée des repas. Des aliments qui restent en bouche ou qui sont difficiles à propulser vers la gorge. Un écoulement de salive ou nourriture hors de la bouche.
À l'école, la dysphasie a de lourdes conséquences, puisque l'élève va se retrouver confronté à de grandes difficultés pour comprendre des consignes ou des textes. Le langage de l'enfant sera pauvre en vocabulaire et peu structuré, ce qui rendra également les échanges très compliqués.
Ce trouble affecte plusieurs aspects du langage.
Le TDL influence aussi les relations de l'enfant, car il a moins de facilité à communiquer. Cela peut également nuire à ses apprentissages scolaires (ex. : lecture et écriture) parce que ces apprentissages passent beaucoup par le langage.
- Mieux connaître ce qu'est la dysphasie et ses conséquences. - Chercher l'attention de l'élève en l'interpellant. Utiliser des consignes plus courtes et un vocabulaire simple afin de faciliter sa compréhension. - Donner des consignes dans l'ordre où elles doivent être exécutées.
Tout comme l'enfant, l'adulte dysphasique peut grandement bénéficier d'une intervention en orthophonie. À cet effet, un bilan pluridisciplinaire doit être établi et inclure l'évaluation d'un psychologue ou neuropsychologue.
La dyspraxie est une perturbation de la capacité à effectuer certains gestes et activités volontaires (nommé "praxie"). Ce trouble des apprentissages résulte d'un dysfonctionnement de la zone cérébrale qui commande la motricité. La dyspraxie est fréquente et touche 5 à 7% des enfants de 5-11 ans.
une démarche anormale, souvent chaloupée avec un dandinement de l'arrière-train. une boiterie plus ou moins prononcée, généralement accentuée le matin au lever. des difficultés ou une raideur quand le chien se lève, se couche, ou encore dans les escaliers. une réticence générale à l'exercice et surtout à sauter ou ...