Le diagnostic de la préménopause repose sur un interrogatoire et un examen physique. "Il n'est pas recommandé de réaliser des analyses de sang pour doser les hormones car leur taux est très instable d'un jour à l'autre.
B.
Dans la réalité, les taux de FSH de ménopause confirmée sont le plus souvent supérieurs à 80 mUI/mL. Avant 45 ans, le dosage est systématique pour ne pas méconnaître une autre étiologie de l'aménorrhée.
A la ménopause le taux de FSH est compris entre 20 et 150 UI/l. Lorsque la FSH est basse, "il faut penser à rechercher une Insuffisance hypophysaire ou une tumeur du cerveau qui perturbe la production de FSH" informe le Dr Paganelli. Les chiffres des dosages sont donnés par chaque laboratoire.
Le diagnostic de la ménopause repose sur l'absence de règles depuis 12 mois chez une femme d'environ 50 ans. Aucun examen n'est, a priori, nécessaire dans ce cas. En cas de doute, le médecin peut recourir au « test à la progestérone ».
De manière générale, la périménopause se manifeste entre 2 et 5 ans avant la ménopause, soit vers l'âge de 45 ans. Cependant, le corps de chaque femme fonctionne différemment et il n'est pas rare de voir les premiers symptômes apparaître quelques années avant.
Pendant la ménopause, il n'est pas rare de voir son ventre gonfler et de se sentir ballonnée. Et ça n'a clairement rien de réjouissant. La ménopause possède son lot de contrariétés, et notamment le ventre gonflé et les ballonnements.
Une valeur de LH est normale si elle est proche de celle de la FSH. Une LH supérieure à la FSH permet indique souvent des Ovaires polykystiques (OPK). Le pic de LH est suivi de l'ovulation, dans les 24-48 heures.
Les dosages hormonaux sont effectués à partir d'une prise de sang, non à jeun. chez la femme, les dosages de FSH, LH et oestradiol sont pratiqués le 2ème, 3ème ou 4ème jour du cycle dans un laboratoire de référence. chez l'homme, le dosage de FSH peut être pratiqué à n'importe quel moment.
les taux normaux chez la femme se situent entre 24 et 47 ng/dl. Des taux élevés peuvent indiquer un syndrome d'ovaires polykystiques (SOP). des taux inférieurs à 45 pg/ml peuvent être signes de troubles de réserve ovarienne ou de mauvaise réponse à la stimulation.
La FSH est dosée lors d'une analyse de sang. Avant la puberté, son taux doit être inférieur à 5 UI/l, quel que soit le sexe. Chez l'homme, il est normalement compris entre 3 et 15 UI/l. En cas d'andropause, il peut osciller entre 37 et 100 UI/l.
Le taux d'Estradiol à la ménopause est inférieur à 50 pg/ml (sérum), il faut essayer d'arriver à un taux optimal entre 50 et 150 pg/ml. Ainsi si le taux est inférieur à 50 pg/ml la patiente se plaindrait toujours d'une anxiété et d'une dépression.
Les dosages hormonaux ne sont recommandés que lorsque la ménopause est précoce avant 40 ans. On dose alors l'hormone FSH sécrétée par l'hypophyse, qui est très élevée, et le taux d'œstradiol (hormone sécrétée par l'ovaire) qui est diminué.
L'hormone FSH (Follicle Stimulating Hormone), ou hormone folliculo-stimulante, aussi appelée « folliculo-stimuline », est une hormone gonadotrope sécrétée par l'hypophyse ; cette gonadostimuline agit sur le fonctionnement des gonades : les testicules chez l'homme, les ovaires chez la femme.
Le bilan hormonal s'effectue en laboratoire, à l'hôpital ou dans une clinique. Si votre situation le nécessite, il peut également se réaliser à domicile. Présentez-vous avec une ordonnance sur laquelle seront précisées les hormones à analyser.
Des taux de LH élevés chez un individu infertile ou hypogonade indiquent une défectuosité de fonctionnement des organes sexuels (ovaires, testicules) plutôt qu'un problème avec l'hypophyse. Des taux de LH abaissés vont plutôt diriger l'investigation vers un problème hypophysaire.
Il s'agit d'une période de transition comprise entre la période du fonctionnement normal des ovaires (où les cycles sont réguliers) et la phase post-ménopausique (on considère que la ménopause n'est définitivement installée qu'après une période d'au moins 12 mois sans règles).
Le diagnostic de la ménopause est très simple : vous n'avez plus été réglée depuis plus d'un an. Dans votre corps, vos ovaires ont libéré leurs derniers ovules et ne sécrètent plus d'hormones féminines. Ce diagnostic doit évidemment être confirmé par votre gynécologue qui fera avec vous les examens nécessaires.
Plus précisément, la diminution de la fonction des ovaires qui se produit à la ménopause cause une diminution de la dépense énergétique associée au métabolisme de base, et ce sans changement à la dépense énergétique par l'activité physique ou à autre (1).
Durant la périménopause, les perturbations du cycle menstruel : règles plus longues ou abondantes, ou encore des règles irrégulières, engendrent forcément une fatigue intense, appelée asthénie, avec parfois une carence en fer ou anémie.
Pendant la période que l'on appelle préménopause, les follicules ovariens (qui contiennent les ovocytes) diminuent et l'action des hormones devient irrégulière. Les oestrogènes sont moins sécrétées et sont souvent insuffisantes pour provoquer une ovulation performante.
Les règles à la pré-ménopause. Lors de la phase qui précède la ménopause, le cycle menstruel est souvent perturbé. Les règles deviennent de plus en plus irrégulières avant de disparaître complètement. Chez certaines femmes, c'est toute l'horloge biologique qui se détraque.