Les symptômes de l'intoxication alimentaire sont essentiellement les vomissements et la diarrhée. On peut aussi souffrir de crampes abdominales. Et parfois, on a de la fièvre avec des frissons, une forte fatigue et une perte de poids associée.
des anti-vomitifs pour calmer les vomissements de l'intoxication ; le Smecta (pansement digestif) est conseillé dans le traitement des diarrhées de l'intoxication alimentaire ; un antispasmodique (type Spasfon) contre les crampes d'estomac ; kit de réhydratation orale contenant des sels minéraux pour se réhydrater.
L'intoxication alimentaire survient après avoir mangé un aliment périmé. On parle aussi d'empoisonnement alimentaire. Si, à la suite d'un repas, au moins deux personnes présentent quasi simultanément des symptômes tels que vomissements, diarrhée ou nausées, alors une intoxication alimentaire est fortement à suspecter.
Parfois l'intoxication alimentaire peut aussi être due à : un virus ( comme les norovirus ou les rotavirus) ; une mycotoxine ( toxines produites par des champignons microscopiques comme les moisissures retrouvées sur des denrées notamment d'origine végétale) ; une amibe (elles sont une forme de parasite.
Pour diminuer l'inflammation et calmer les symptômes d'intoxication, vous pouvez consommer de la réglisse ou de la camomille. Afin de traiter l'infection, vous pouvez essayer la racine de consoude. Il faut savoir que la banane peut être une aide efficace en cas d'intoxication alimentaire.
En général, l'intoxication alimentaire dure de quelques heures à trois jours. Elle fait suite à la consommation d'aliments contaminés. Si plusieurs personnes présentent les mêmes symptômes (diarrhée, vomissements, nausée, …)
Chez certaines personnes, surtout les enfants, les personnes âgées, les femmes enceintes et les individus dont le système immunitaire est affaibli, les intoxications alimentaires peuvent être dangereuses et peuvent entraîner des complications médicales à long terme et même la mort.
Le diagnostic d'une infection bactérienne se fait surtout de façon clinique, c'est-à-dire par l'examen des symptômes et des signes cliniques. Par exemple, une fièvre élevée avec une gêne respiratoire, une toux, des expectorations purulentes signalent une bronchite aiguë suppurée.
Quoi manger et boire en cas d'intoxication alimentaire ? Un apport en eau suffisant (au moins 2 litres par jour), afin d'éviter la déshydratation liée aux diarrhées et vomissements. Privilégiez l'eau, l'eau sucré ou les bouillons de légumes.
Certaines personnes s'empressent de consommer notamment du lait ou du miel en guise d'antidote «antipoison». Mais, selon Georgette Biebie Songo, experte en toxicologie, le lait et le miel n'ont pas les vertus de lutter contre le poison.
En décoction : mélangez 3 g de racine de livèche dans 20 cl d'eau froide dans une casserole, portez à ébullition puis laissez frémir à couvert pendant 15 minutes, coupez le feu et filtrez. Buvez 2 à 3 tasses par jour, jusqu'à disparition des symptômes.
Les principaux aliments mis en cause lors d'épidémies d'infections à EHEC sont la viande hachée de bœuf insuffisamment cuite, les produits laitiers non pasteurisés (lait cru et fromages au lait cru), les végétaux crus (salade, jeunes pousses, graines germées), les jus de fruits ou de légumes non pasteurisés ou encore l ...
Les malades ont commencé à souffrir d'intenses douleurs musculaires, d'états de fatigue invalidants, de problèmes cardiaques. Puis les symptômes se sont aggravés. Des pustules noires ont recouvert le corps des plus atteints. Des cas de cancers, de perte de la vue, de l'odorat ou des dents se sont multipliés.
Symptômes et signes
Une infection locale engendre une inflammation de la région infectée qui se traduit par une douleur, une rougeur, un œdème, la formation d'un abcès rempli de pus (infection à germes pyogènes), parfois une élévation de la température.
On trouve des antigènes à la surface et à l'intérieur des micro-organismes. Les tests de détection des antigènes révèlent directement la présence d'un micro-organisme, de cette façon le médecin peut diagnostiquer l'infection rapidement, sans attendre que la personne produise des anticorps en réponse au micro-organisme.
Des douleurs abdominales (maux de ventre), De la diarrhée, De la faiblesse physique et une fatigue inhabituelle, Plus rarement : de la fièvre et des frissons, des selles contenant du sang, des douleurs musculaires.
Alors comment savoir si c'est une gastro ou une intoxication alimentaire ? Contrairement à l'intoxication alimentaire qui se manifeste dans les heures qui suivent la consommation de l'aliment contaminé, la gastro-entérite présente une période d'incubation de 24 à 72 heures.
La fatigue
En cas d'intoxication alimentaire, l'organisme doit faire face à un virus ou à une bactérie. Une grande fatigue peut donc être ressentie car le corps mobilise toute son énergie pour lutter. Elle perdure généralement plusieurs jours après l'intoxication.
L'indigestion dure entre un ou deux jours, elle n'entraîne des complications que très rarement. Dans certains cas, l'indigestion permanente peut entraîner une constipation qui sans un soin rapide s'aggrave pour devenir une véritable intoxication alimentaire.
Le charbon de bois médicinal - aussi appelé charbon activé - est une fine poudre préparée à partir de charbon végétal. Son administration par voie orale permet d'absorber de nombreuses substances toxiques présentes dans l'estomac et les intestins.
Vomissements, diarrhée, coma… une intoxication par arsenic peut entraîner très rapidement la mort. Efficace et pendant longtemps indétectable, l'arsenic a reçu le titre de roi des poisons. De nos jours, on peut boire et manger sans être trop suspicieux.