Que faire : parler avec son conjoint de ses doutes. Chacun peut alors dire ce qui lui convient et ce qu'il ne veut plus. Si les partenaires ont la même façon de voir leur avenir, l'option du divorce pourra être écartée. Une thérapie de couple peut aussi être envisagée si les conjoints n'arrivent plus à communiquer.
Vous pourriez demander à lui parler, dans un endroit calme, sans la proximité des enfants. Vous pourriez lui demander ce qu'elle pense de votre relation puis lui faire part de vos propres ressentis et votre souhait de rompre.
Il ne vous aime pas
Bref, pour lui, vous n'êtes jamais assez bonne et ne faites rien de bien. Même quand vous faites quelque chose de bien, il vous rappelle ce que vous avez mal fait. Il ne vous encourage jamais dans vos projets personnels.
Elle se concentre sur elle-même
Bien au contraire. Une femme qui n'aime plus son mari va se concentrer sur son bien-être et celui de ses enfants lorsqu'il y en a. Elle va commencer à prendre soin d'elle, à se comparer avec celle qu'elle était avant de faire votre connaissance et vouloir redevenir cette personne.
Lors d'un divorce à l'amiable, les deux époux se mettent d'accord pour sceller la fin de leur mariage. En d'autres mots, ils trouvent un accord équitable et n'ont pas besoin de l'intervention d'un juge pour officialiser leur séparation.
Ce type de divorce est de plus en plus fréquent. Certains couples décident de divorcer après 40 ans de mariage, pour diverses raisons: envie de renouveau, les enfants ne sont plus là, c'est le bon moment… Des personnes âgées de 60, 70 ou 80 ans qui se séparent, cela arrive de plus en plus fréquemment.
Il peut s'agir d'un dégoût, d'un sentiment de trahison et donc d'un manque de confiance, d'une saturation concernant le fait d'avoir répété la même chose à maintes et maintes reprises, d'une vision qui a changé et de désirs ayant évolué…
Malgré le maintien des liens du mariage, la séparation de corps entraîne la fin des devoirs nés du mariage, et notamment : du devoir de cohabitation ; du devoir de fidélité ; de l'obligation de secours.
Tous les couples malheureux qui décident de poursuivre la relation ne le font pas à cause de facteurs externes, tels que l'argent ou la religion. Dans certains cas, la principale raison de continuer une relation mourante est le fort engagement entre les deux membres du couple.
Ici, votre peur de divorcer se rapproche de la peur de l'abandon et de la peur de la solitude. La peur de l'abandon va chercher sa source dans votre enfance, là où la séparation d'avec votre mère s'est faite. Cette peur naît lorsque vous comprenez que la fusion avec votre mère est impossible.
Ainsi vous pouvez préparer votre divorce en mettant chacun précisément par écrit vos volontés concernant les conséquences du divorce. Le divorce par consentement mutuel vous permettra de discuter, de trouver un accord, et un divorce négocié est avant tout un divorce plus facilement acceptable.
Faire trop de compromis. «Faire des compromis signifie toujours qu'on s'oublie pour rendre l'autre heureux ou permettre à la relation de bien fonctionner. Mais s'oublier peut vouloir dire qu'on trahit sa vraie nature, ses propres désirs. Ça signifie qu'on se retient de faire ce qu'on veut vraiment.
Chez les femmes, les ruptures sont plus nombreuses chez les cadres ; c'est l'inverse chez les hommes. Les femmes inactives en couple hétérosexuel sont celles qui apportent le plus de stabilité au couple - l'étude parle de «stabilité» mais ni d'infidélité du conjoint, ni de l'épanouissement personnel de l'épouse.
Une étude britannique a déterminé les métiers les plus exposés au divorce. Si votre mari (ou votre femme) occupe la profession de médecin, vous êtes davantage exposé au divorce que si vous êtes opticien ou ingénieur... C'est le constat qui ressort d'une étude britannique, relayée par le Telegraph.
Parce qu'aujourd'hui le divorce est en majorité demandée par des femmes. Pour être exact, sur 100 divorces initiés par l'un des conjoints, c'est à 75% la femme qui le demande. C'est une revendication féminine. Souvent on étudie la vie privée des individus comme si c'était neutre que ce soit des hommes ou des femmes.
La peur de faire mal à l'autre
La culpabilité peut en effet freiner votre décision de rupture. Vous n'arrivez pas à quitter l'autre de peur de lui faire mal. "Vous avez l'impression que vous allez pouvoir supporter cette séparation mais pas l'autre, précise France Brécard.