Vous pouvez le rechercher par la première lettre de son titre ou en utilisant le moteur de recherche. Il convient de noter que si vous trouvez la chanson que vous souhaitez utiliser sur ce portail, elle ne sera pas protégée par des droits d'auteur et vous pourrez donc l'utiliser librement.
On appelle donc musiques libres de droits, les créations musicales dont les droits sont gérés par les auteurs compositeurs eux-mêmes. Ces titres ne sont donc pas déposés auprès des sociétés de gestion de droits d'auteurs telles que la SACEM (ou BMI ou ASCAP aux Etats-Unis par exemple).
La musique non protégée par le droit d'auteur se trouve dans le domaine public, sous les licences de musique creative commons ou dans les bibliothèques de musique libre de droits. La musique du domaine public peut être utilisée sans autorisation ni paiement car elle n'est pas protégée par les droits d'auteur.
"La seule alternative gratuite existante, c'est la diffusion de la radio nationale. Une jurisprudence a donné droit à un dentiste de diffuser la radio sans payer de droits à la SACEM.
Les musiques libres de droit ne sont donc pas déposées auprès de la SACEMou BMI qui sont des sociétés de gestion de droits d'auteur. Il est ainsi possible d'acquérir une « licence d'utilisation » d'un morceau, qui correspond à un contrat passé entre l'auditeur et l'auteur.
En France, cette protection court ainsi légalement durant une période de 70 ans suivant le décès de l'auteur, après quoi ses œuvres entrent automatiquement dans le domaine public et deviennent dès lors libres de droits.
En principe, une association n'a pas le droit de diffuser de la musique gratuitement lors d'un événement public. Pour pouvoir le faire, elle doit obtenir une autorisation de la Sacem : Sacem : Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique et, sauf exception, lui payer des droits de d'auteurs.
La bibliothèque audio de YouTube contient des titres libres de droits que les créateurs peuvent utiliser dans leurs vidéos.
1 – ouvrir la vidéo en question. 2 – Allez dans la description de la vidéo, et vérifiez si elle est sous la licence Creative Commons. Si c'est bien le cas, la vidéo est libre de droit et vous pouvez la modifier et la réutiliser en mentionnant le nom de l'auteur d'origine.
Les droits de diffusion SACEM rémunèrent l'artiste-compositeur et l'éditeur ou leurs ayants droit après leur mort. La redevance de droits d'auteur ne dépend ni de l'œuvre choisie, ni de sa durée.
La procédure de demande d'autorisation est très simple : il faut contacter le ou les éditeurs du titre, et le propriétaire du phonogramme (le label) pour demander l'autorisation d'utiliser une œuvre en synchronisation avec des images.
Si vous reprenez une œuvre musicale en modifiant sa composition, on parle alors d'adaptation. Vous devez obtenir l'autorisation expresse des ayants droit auprès de la SACEM. Vous devrez ensuite y déclarer votre version, et vous acquitter de Droits à la Reproduction Mécanique.
Lorsqu'une playlist ou un album vous intéresse dans l'application YouTube Music, appuyez sur Menu , puis sur Télécharger. Vous pouvez également appuyer sur la flèche symbolisant le téléchargement sur la page d'informations de l'album ou de la playlist.
La notion d'œuvre est extrêmement large : il s'agit de toute réalisation intellectuelle originale, peu importe son genre, sa forme d'expression, son mérite ou sa destination. Le droit s'applique dès la création, sans nécessité de procéder à un dépôt.
Passer par la conclusion d'un contrat avec la Sacem n'est pas une obligation. Vous avez la possibilité de diffuser de la musique dite libre de droit. Les créateurs de ce type de musique ont renoncé à leurs droits d'auteur, vous êtes donc libre de la diffuser.
La SPRE perçoit pour les artistes-interprètes et les producteurs phonographiques alors que la SACEM perçoit notamment pour les auteurs et compositeurs. La catégorie de bénéficiaires est donc différente. Vous devez donc également payer la rémunération équitable facturée par la SPRE puisqu'il s'agit d'un droit distinct.
Qui paie les droits ? Les droits d'auteur sont dus par le producteur du spectacle, c'est-à-dire le détenteur de l'autorisation d'exploiter l'œuvre. Cependant, dans le cadre de la délégation imparfaite de paiement, le producteur peut déléguer le paiement des droits d'auteur au diffuseur.