La carte de presse est attribuée par la Commission de la carte d'identité des journalistes professionnels (CCIJP). Pour l'obtenir, il faut avoir exercé la profession depuis 3 mois consécutifs, et tirer le principal de ses ressources du journalisme (pièces justificatives à fournir).
Si vous souhaitez obtenir la carte de presse, il faudra adresser votre demande auprès de la Commission de la Carte d'Identité des Journalistes Professionnels (CCIJP). Composée de membres issus de la profession, cette commission se charge de délivrer, renouveler ou annuler ce précieux sésame.
Quel statut juridique pour le journaliste freelance ? En France, la Convention Collective Nationale de Travail des Journalistes (CCNTJ) protège les journalistes indépendants en leur attribuant le statut de salarié.
Leurs diplômes sont à la fois reconnus par le ministère du Travail et celui de l'Enseignement supérieur. Mais pour devenir journaliste, aucune formation s'impose. En revanche, quelques données sur l'insertion professionnelle, la rémunération, l'obtention de la carte de presse…
Le journaliste indépendant — aussi appelé « journaliste freelance » — est rémunéré pour chaque article qu'il rédige ou chaque reportage qu'il produit. Il possède une carte de presse et fait généralement partie d'une association de journalistes.
Ainsi, le journaliste est par principe salarié, titulaire d'un contrat de travail, et par exception travailleur indépendant. Cette présomption subsiste quels que soient le mode et le montant de la rémunération, ainsi que la qualification donnée à la convention par les parties.
En moyenne, le salaire journaliste oscille entre 900 € et 5 000 € bruts par mois. Cette fourchette peut te paraître très large et c'est tout à fait normal. Car comme dans toute profession, il est tout à fait possible d'évoluer professionnellement en tant que journaliste.
3 ans pour préparer le BUT information-communication, parcours journalisme ; une licence pro métiers de l'information : métiers du journalisme et de la presse, ou un diplôme d'école spécialisée ; 5 ans pour obtenir un master en journalisme, à l'université ou dans une école spécialisée reconnue (Celsa, CFJ, IFP…).
Car pour devenir journaliste, il y a une première étape à passer, c'est celle de l'école de journalisme. Alors c'est pas que ce soit très difficile, il suffit de maîtriser le français, l'anglais tant bien que mal, avoir une petite dose de culture générale et ne pas être trop maladroit de la plume.
percevoir plus de la moitié de ses revenus, en tant que pigiste ou salarié au mois ; travailler pour le compte d'un média électronique, de presse écrite, de radio ou de télévision, ou encore d'une agence de presse agréée.
Être passionné par la rédaction (et être capable de rédiger des textes accrocheurs) Avoir de bonnes connaissances en SEO et maîtriser l'écriture pour le web (faire des formations si besoin) Se spécialiser dans une ou plusieurs thématiques demandées. Se déclarer comme rédacteur web indépendant en créant son entreprise.
Sinon, pour devenir journaliste pour sa reconversion, il est possible d'obtenir le DUT information communication option journalisme ou la licence professionnelle métiers de l'information métiers du journalisme et de la presse. Certaines de ces formations sont inscrites au RNCP et sont donc éligibles au CPF.
La profession de journaliste est encadrée en France, via la délivrance d'une carte de presse. En revanche, il n'est pas obligatoire d'en posséder une pour devenir pigiste. La Convention collective nationale des journalistes reconnaît 14 établissements en mesure de délivrer une formation reconnue pour devenir pigiste.
Les journalistes peuvent bénéficier d'un abattement spécifique au niveau de l'impôt sur le revenu. Celui-ci est de 7 650 € et est généralement connu des professionnels.
Elle facilite l'accès à certains lieux, que ce soit en France ou à l'étranger. Et même concernant les déductions fiscales des journalistes, si elle n'est pas nécessaire pour les obtenir, elle permet plus facilement de démonter sa qualité de journaliste que si on ne la possède pas."
7111-3 du code du Travail : « Est journaliste professionnel toute personne qui a pour activité principale, régulière et rétribuée, l'exercice de sa profession dans une ou plusieurs entreprises de presse, publications quotidiennes et périodiques ou agences de presse et qui en tire le principal de ses ressources. ».
Dans un poste sédentaire, soumis aux du travail sur écran, le journaliste est exposé principalement à des risques de troubles visuels, auditifs, musculo-squelettiques et biologiques.
Les écoles de journalisme reconnues par la profession
Sept universités (Celsa, CUEJ , EJCAM , EJDG , EPJT , IFP , IJBA ) délivrant des masters (bac + 5). Trois écoles privées ( CFJ à Paris, EJT Toulouse, ESJ à Lille) délivrant des diplômes d'école (bac + 5).
Le métier de journaliste est une des professions les plus reconnues dans le secteur du journalisme. Cette profession est régie en France par la fiche ROME E1106 Journalisme et information média. C'est un métier qui s'exerce en tant que la salarié et de plus en plus en free-lance.
Chaque jour, le journaliste apprend quelque cose de nouveau. Ce n'est jamais la même chose. Le journaliste bouge beaucoup. Les inconvénients: Le seul inconvénient est l'élasticité horaires, le métier de journaliste exige une disponibilité presque totale.
Avec 50 000 € par mois, Laurence Ferrari arrive à la première place du classement des personnalités les mieux payées du paysage audiovisuel français, révèle le magazine Télé 2 semaines.
2. Cadre d'état-major administratif, financier, commercial des grandes entreprises : 10 530€. 1. Chef d'une grande entreprise (500 salariés ou plus) : 16 600€ environ.