La cérémonie doit se dérouler devant deux témoins au minimum. Parmi eux, des hommes obligatoirement, on comptera le père ou le frère de la mariée. La cérémonie dure une trentaine de minutes et peut se dérouler dans divers endroits : A la mairie, à la mosquée, au futur domicile du couple ou bien celui des parents.
A partir du moment où le mariage en islam est contracté, c'est le mari qui se doit de prendre en charge son épouse. C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc.
Le mariage halal mobilise un imam devant qui le couple passe un « contrat ». Il n'ouvre aucun droit sur le plan juridique, mais pour les pratiquants, il est porteur d'un certain nombre d'engagements contractuels symboliques.
Le mariage musulman peut se célébrer à n'importe quelle période de l'année, bien que certains juristes islamiques recommandent un mariage durant le mois suivant le Ramadan.
Les relations sexuelles hors mariage sont formellement prohibées.
Pour ce qui est de l'organisation de la cérémonie du henné c'est à la charge de la famille de la jeune femme.
La cérémonie doit se dérouler devant deux témoins au minimum. Parmi eux, des hommes obligatoirement, on comptera le père ou le frère de la mariée. La cérémonie dure une trentaine de minutes et peut se dérouler dans divers endroits : A la mairie, à la mosquée, au futur domicile du couple ou bien celui des parents.
Dans le mariage traditionnel, c'est la famille de la mariée qui paie la robe de la mariée et ses accessoires ainsi que la coiffure, le maquillage, la tenue des enfants et demoiselles d'honneur, la décoration florale et les frais de la réception des invités de la mariée.
Ainsi, tout comme aujourd'hui, les postes qui revenaient les plus chers dans le mariage sont la location de salle et les frais du traiteur. Ces dépenses sont de ce fait partagées de manière impartiale entre les deux familles. Plus précisément, c'est à chaque parent de payer le repas de leur invité respectif.
La tradition dit que c'est la mariée, ou la famille de la mariée, qui achète l'alliance du marié. Cela remonte à l'histoire passée où la famille de la mariée offrait des cadeaux au marié en échange du mariage.
Dans la majeure partie des cas, il s'agit de la personne ayant fait sa demande qui s'occupe des frais. Cependant, les futurs mariés peuvent également partagés l'achat en s'offrant chacun une bague.
Les musulmans portent souvent l'alliance à la main droite, sans exclure d'office la main gauche. La culture et le lieu de résidence peuvent aussi avoir une influence sur le choix de la main pour l'alliance et la bague de fiançailles.
L'islam, considérant le mariage comme un contrat privé, accepte sa dissolution par le divorce. En principe, le divorce n'est pas sollicité par la communauté musulmane, sauf pour des raisons valables émises par l'une des parties. Les relations de couple en Islam sont basées sur l'harmonie et l'amour.
Pour respecter la tradition, les témoins des mariés ainsi que le "walî" de la mariée (son représentant masculin : son père, son grand-père, son oncle, son arrière-grand-père, son frère ou un homme musulman de son choix si sa famille n'est pas disponible) doivent être présents.
Selon le Coran, il ne peut la ré-épouser que si celle-ci a entretemps ré-épousé un autre homme, puis divorcé. À cette norme, la jurisprudence a ajouté l'obligation de consommer le mariage effectué dans l'intermède. La répudiation pour les mariages temporaires est définitive et unique.
Tout d'abord, parlons chiffons : il est d'usage que les futures mariées portent une robe en velours verte brodée en fil doré. Pourquoi vert ? Et bien tout simplement, parce que c'est la couleur du henné à sa pose.
Comme pour le mariage catholique, le mariage musulman est avant tout une cérémonie religieuse d'engagement sacré des époux. On appelle cet union nikah ou fatiha. Lors de la cérémonie en elle-même, on récite généralement une khoutbah pour débuter.
Selon le Coran, il ne peut se remarier avec elle que si celle-ci a entretemps ré-épousé un autre homme, puis divorcé. À cette norme, la jurisprudence a ajouté l'obligation de consommer le mariage effectué dans l'intermède.La répudiation pour les mariages temporaires est définitive et unique.
Le khul' (ou khol') est une forme de dissolution du mariage musulman qui intervient à l'initiative de la femme.
Points clés à retenir : Les raisons valables pour que la femme divorce en Islam sont l'avarice, le mauvais traitement et le mauvais comportement de son époux ; Le divorce est aussi possible en cas de refus de prier ou d'abandon de la religion par l'époux.
Avant de préciser que dans le cadre du jihadisme, la référence à la chahâda renvoie aussi à l'idée de martyr. «Les musulmans récitent la chahâda sur leur lit de mort le doigt levé, et dans un contexte jihadiste, cela peut signifier qu'on est prêt à mourir pour sa cause dans l'instant.»
Une chevalière dans la famille
Il est aussi de coutume d'offrir une chevalière à l'aîné d'une fratrie. La tradition veut que lui seul la porte à l'annulaire gauche. Les frères cadets qui souhaitent porter une chevalière la mette alors à la main droite.
En France, on porte son alliance à l'annulaire, comme dans la plupart des pays du monde. Mais pourquoi ? Plusieurs hypothèses existent. La première serait toute simple : l'annulaire étant l'un des doigts les moins utilisés de la main, la bague a moins de chance de s'abîmer en étant portée à ce doigt !
Adoptée par le Sénat, la nouvelle version modifie l'article 144 du code civil. "L'homme et la femme ne peuvent contracter mariage avant 18 ans révolus", stipulera le nouvel article 144. Le procureur de la République pourra toujours accorder des dispenses d'âge en cas de "motifs graves".
Concernant l'échange des Alliances, c'est le jeune marié qui passera le premier la bague au doigt de sa fiancée.