Choisissez un endroit paisible et verdoyant et marchez dans un premier temps sans trop réfléchir. Puis, peu à peu, adoptez une marche soutenue et calez votre respiration sur le rythme de vos pas. Expirez longuement pour chasser les toxines qui envahissent votre organisme.
L'anxiété peut aussi être un symptôme d'affections plus importantes, comme une phobie ou un trouble obsessionnel compulsif. Enfin, ce trouble peut être une alerte d'un stress prolongé suite à un événement traumatisant.
Frictionnez, martelez, pressez et massez tout en respirant lentement. Utile, efficace, apaisant ! Vous pouvez aussi, en 5 minutes, vous apaiser juste grâce à la respiration. On inspire, on expire, et on ne pense à plus rien d'autre qu'à faire entrer et sortir de l'air (par le nez, bien sûr).
Pour ramener votre esprit dans le moment présent, prenez une grande inspiration et placez vos deux mains sur votre cœur, jusqu'à ce que les tensions s'apaisent. Fermez les yeux et respirez profondément, jusqu'à ce que vous ne puissiez plus respirer, puis relâchez l'air lentement, en détendant la mâchoire.
Les meilleurs anti-stress naturels à ingérer
La camomille est connue pour ses vertus relaxantes, idéales pour se libérer du stress. Quant au thé vert, il est tout aussi efficace puisqu'il aurait la capacité de maintenir, voire de baisser, le niveau de cortisol (l'hormone du stress) dans notre corps.
Les symptômes physiques se résument surtout à des tensions musculaires, des problèmes digestifs et intestinaux, des troubles du sommeil (insomnies), des manques d'appétit, des migraines, des vertiges et de la fatigue.
Le yoga et la méditation sont des exemples connus de pratiques relaxantes. Les exercices de visualisation positives ou le relâchement musculaire progressif en sont d'autres toutes aussi efficaces.
Signes et symptômes du stress
Les symptômes physiques liés au stress sont tels que des maux de tête, des douleurs musculaires, des vertiges, des nausées, des troubles du sommeil, une fatigue intense ou encore des troubles de l'alimentation.
Le stress provoque très souvent des douleurs musculaires et articulaires. Les maux de ventre sont aussi très fréquents. Le stress peut également entraîner des symptômes neurologiques ou, autrement dit, des maux de tête (migraines, céphalées de tension).
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
Après un stress, on dit que l'émotion retombe. Il y a alors perte de tout contrôle émotionnel (possible pleurs, pulsions...). Il est alors impossible de se mobiliser pour agir. Si le stress perdure encore et si personne n'est en soutient une perte de confiance en soi peut subvenir.
Un trouble anxieux provient, tout comme les autres problèmes de santé mentale, de facteurs biologiques et psychologiques auxquels se combinent d'autres facteurs personnels. Notre manière de penser et d'agir lorsque nous sommes aux prises avec certaines situations peut jouer un rôle dans l'apparition de l'anxiété.
"La marche à pieds, le jogging, le vélo, le yoga, le fit ballet, le roller derby ou encore la danse sont d'excellentes manières de vous défouler et de réguler l'anxiété", note Amélia Lobbé.
Le stress devient négatif quand il se répète. On parle alors de stress chronique qui se révèle pathologique quand il entraîne des symptômes psychosomatiques comme l'anxiété, des troubles du sommeil, l'asthénie, des migraines, des troubles cardio-vasculaires, des douleurs abdominales ou articulaires, etc.”
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
Sans trop de surprise, les premiers responsables sont le stress et l'anxiété. "C'est la cause numéro 1" , assure Olivier Pallanca : "Certaines personnes ont des vulnérabilités au stress. Dès qu'ils vont être trop actifs, qu'ils vont avoir un niveau d'éveil trop important, ça va activer le même déséquilibre.
On en oublie de vivre l'instant, et on ne profite plus de rien ! Inutile de se morfondre sur des regrets ou d'angoisser à propos du lendemain. Vivre le moment présent, c'est s'investir dans sa propre vie et s'ouvrir aux plaisirs quotidiens. Lâcher prise, c'est aussi apprendre à déléguer, à se décharger sur les autres.