Pour éviter l'anxiété durant un voyage en avion, concentrez-vous sur une activité ou une idée. Surtout, évitez de penser à des scénarios catastrophes. Vous pouvez aussi partager vos angoisses avec une autre personne, car la verbalisation et le partage ont toujours un effet positif sur un esprit troublé.
Prévoyez un coussin de voyage, des bouchons d'oreilles, un masque pour les yeux. En cas de jambes lourdes, enfilez des bas de contention. Et surtout, pensez à bien vous hydrater pendant le vol.
Concernant les anxiolytiques, vous pouvez rendre visite à votre médecin traitant avant le vol afin de lui exposer votre problème. S'il juge cela opportun, il pourra vous prescrire des médicaments (de type alprazolam, Lexomil...).
Si vous y êtes sujet, demandez, à la réservation, une place au centre de l'avion, plus stable. Evitez de prendre un repas trop copieux et limitez votre consommation d'alcool et de boissons gazeuses, qui favorisent les ballonnements intestinaux, amplifiés par le changement de pression dans la cabine.
Le gonflement des jambes et des chevilles à bord d'un vol long-courrier est un phénomène bien connu des voyageurs. Il résulte de la pression atmosphérique dans l'avion et de la position assise prolongée, mauvaise pour la circulation sanguine.
Pour éviter de trop stresser, nous vous recommandons de bien préparer votre itinéraire pour être sûr de bien arriver, détendu, à destination. Vous pouvez faire une liste de tous les documents importants dont vous avez besoin et contrôler qu'ils sont tous réunis avant de les mettre dans votre sac.
Anxiolytique léger : exemples, quelles indications ? Il n'y a pas d'anxiolytique anodin. "Toutefois l'oxazepam (Seresta®) a une durée d'action plus courte et est souvent prescrit chez la personne âgée.
Comment gérer une crise de claustrophobie ? Dans la prise en charge d'une phobie, la relaxation est indispensable. C'est en détendant ses muscles et en ralentissant sa respiration qu'on va pouvoir reprendre le contrôle.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
Le décollage et l'atterrissage d'un avion peuvent causer un véritable stress et de la tension. Il peut alors être judicieux d'opter pour un vol sans escale, si vous avez le choix (et le budget) pour cela.
Pour un claustrophobe, le traitement à privilégier serait la thérapie cognitivo comportementale (TCC). Plusieurs recherches ont en effet démontré que la thérapie TCC était efficace à traiter les phobies spécifiques. L'aide psychologique sous forme de psychoéducation est d'abord donnée au client claustrophobe.
Une psychanalyse peut également être solution pour traiter la claustrophobie. Des traitements médicamenteux peuvent être prescrits de façon temporaire : anxiolytiques, antidépresseurs. La relaxation et la pratique du yoga peuvent également aider les personnes qui souffrent de claustrophobie.
Addiction et dépendance
Le Xanax est utilisé par une catégorie de consommateurs de drogue, surtout pour calmer l'anxiété ou atténuer les redescentes d'autres substances.
Les meilleurs anti-stress naturels à ingérer
La camomille est connue pour ses vertus relaxantes, idéales pour se libérer du stress. Quant au thé vert, il est tout aussi efficace puisqu'il aurait la capacité de maintenir, voire de baisser, le niveau de cortisol (l'hormone du stress) dans notre corps.
Les plus fréquemment retrouvés sont : le Lexomil®, le Rivotril®et le Xanax®. Les benzodiazépines (BZD) appartiennent une classe de médicaments aux pro- priétés hypnotiques, anxiolytiques, antiépileptiques, amnésiantes et myorelaxan- tes.
Un petit oubli, un imprévu, un vol retardé, la perte de vos bagages, un enfant malade, un accident, une arnaque, voilà autant de raisons qui peuvent déclencher l'angoisse et venir perturber votre sérénité. Pourtant, avec des mesures simples, il est possible de gérer son stress en voyage !
Cette peur tient principalement à deux raisons : La peur de l'inconnu, car peu de gens comprennent comment un avion est capable de voler ; Les retombées psychologiques des catastrophes aériennes.
Prévenir la thrombose du voyage
Levez-vous et marchez. Buvez beaucoup d'eau, de thé ou de boissons similaires. Exercices du pied : la flexion, l'extension et la rotation de vos chevilles activent la circulation sanguine.
L'idéal est de faire des allers-retours dans l'avion pendant 5 minutes toutes les 90 minutes. Quant à la manière dont on s'habille, oui, elle est importante. Pas besoin, pour autant, d'y aller en pyjama, comme on le voit trop souvent dans les aéroports !
Que vous soyez sujet ou non à des troubles veineux, nous conseillons vivement d'opter pour des chaussettes de contention, bas ou collants de classe 2 lors d'un voyage en avion, comme le fait l'ensemble du personnel navigant des compagnies aériennes.
D'où vient l'aérodromophobie, la phobie de l'avion ? La peur de l'avion est liée à plusieurs facteurs. Déjà, il existe une prédisposition génétique. L'amygdale, la partie de notre cerveau qui joue un rôle dans le déclenchement de la peur, est plus ou moins sensible.