Par exemple, le nombre 27 se décompose en base 2 sous la forme 27=16+8+2+1=1×16+1×8+0×4+1×2+1×1, et son écriture en base 2 est donc 11011.
Les Chiffres et les Nombres en Binaire de 0 à 1000 – : 0=0 en binaire, 1=1, 2=10, 3=11, 4=100, 5=101, 6=110, 7=111, 8=1000, 9=1001, 10=1010, …, 20=1 0100, …, 30=1 1110, …, 40=10 1000, …, 64=100 0000, …, 100=110 0100, 101=110 0101, …, 128=100 0000, …, 256=1 000 0000, …, 500=1 1111 0100, …, 512=10 0000 0000, …, 1000=11 ...
Énumération des premiers nombres
On y trouvre 32, 2 et 1 et 32+2+1= 35...
(0)16 = (0000)2 ; (1)16 = (0001)2 ; (2)16 = (0010)2 ; (3)16 = (0011)2 ; (4)16 = (0100)2 ; (5)16 = (0101)2 ; (6)16 = (0110)2 ; (7)16 = (0111)2 ; (8)16 = (1000)2 ; (9)16 = (1001)2 ; (A)16 = (1010)2 ; (B)16 = (1011)2 ; (C)16 = (1100)2 ; (D)16 = (1101)2 ; (E)16 = (1110)2 ; (F)16 = (1111)2 .
"Je t'aime" en binaire se dit "01101010 01100101 00100000 01110100 00100111 01100001 01101001 01101101 01100101".
En base 2 ou binaire, on n'utilise que deux chiffres le 0 et le 1. Arrivé à 1, le 2 n'existant pas, on passe à 10, 11, 100 ... En base 12 (base duodécimale), nous utilisons les douze "chiffres" suivants: 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, A, B. De sorte que, arrivé à B, nous passons à 10, 11, 12 ...
Les codes binaires sont surtout utilisés dans les technologies de l'information et de la communication (informatique et télécom) pour coder des données. Chaque chiffre binaire est appelé bit. Un groupe de 8 bits est appelé octet. Derrière chaque octet, se cache une instruction ou un caractère.
dépend de la base utilisée : 10 est toujours égal à la base, c'est-à-dire dix en base dix, mais deux en base deux. En base dix, on utilise dix chiffres, de zéro à neuf ; en base n, on utilise n chiffres, de zéro à n – 1 ; donc en base deux on utilise les deux chiffres « 0 » et « 1 ».
Pour convertir un nombre décimal en nombre binaire (en base B = 2), il suffit de faire des divisions entières successives par 2 jusqu'à ce que le quotient devienne nul. Le résultat sera la juxtaposition des restes. Le bit de poids fort correspondant au reste obtenu à l'ultime étape de la division.
Au xixe s., le mathématicien anglais George Boole (1815-1864) développe une algèbre à base binaire (l'algèbre de Boole) qui fonde la logique moderne des propositions. Ces travaux sont à l'origine du traitement automatique des informations codées en binaire.
Donc, en rassemblant les résultats, on obtient 101010.
Pour l'informatique, la base deux — ou binaire — est idéale, car elle est totalement adaptée à la transmission d'information par le biais de signaux électriques ou optique : les deux états en binaire, 0 et 1, traduisent alors simplement l'absence et la présence d'un signal, sans autre état possible entre ces deux-là.
avec 3 bits, on dispose de 8 combinaisons : 000, 001, 010, 011, 100, 101, 110, 111. On peut représenter ces combinaisons par 8 chiffres de 0 à 7 ; c'est la numération octale.
La conversion du nombre 149(10) (en décimal) en binaire est donc : 1001 0101(2).
En base 8, le principe est le même, il faut diviser le nombre à convertir par la plus forte puissance. C'est ainsi que 98 sera divisé par 64 et vous ne retiendrez que la partie entière du quotient. Les calculs en cascade se font horizontalement, de la gauche vers la droite X Source de recherche .