En butinant une fleur, l'abeille récolte son nectar qu'elle assèche en le déshumidifiant et qu'elle travaille pour le transformer en miel. C'est ensuite en arrivant à l'entrée de la ruche, qu'elle passe ce nectar travaillé aux autres abeilles avant de partir en re-chercher.
Le miel est le résultat d'un processus chimique qui résulte des interactions entre les fleurs et les abeilles. Les fleurs secrètent du nectar pour attirer les insectes pollinisateurs. En volant de fleurs en fleurs, ils transportent des grains de pollen qui féconderont les plantes.
Une fois butiné, le nectar est transporté vers la ruche grâce au jabot des abeilles. Arrivées à la ruche, les abeille butineuses le transmettent aux abeilles receveuses. Grâce à une enzyme présente dans leur salive, l'invertase, les abeilles transforment petit à petit le nectar en miel.
Le nectar, à la base du miel
Les abeilles font comme le papillon, sauf qu'elles n'avalent pas complètement le nectar. Elles le stockent dans un estomac spécial qu'on appelle le « jabot ». Dans le jabot commence la transformation chimique de nectar. Le sucre y est prédigéré comme dans notre estomac.
C'est au cours de la saison hivernale que les abeilles mangent le miel stocké dans les alvéoles de la ruche. Elles ont pris soin de produire la quantité de miel suffisante pour toute la colonie en attendant le printemps. Les abeilles ne meurent jamais de froid mais peuvent mourir de faim.
Les guêpes ne font pas de miel parce qu'elles ne mangent pas en hiver. Les abeilles domestiques ramassent le nectar des fleurs et le transforment en miel pour manger quand il fait trop froid pour sortir de la ruche.
Le frelon asiatique, un prédateur des plus virulents, surtout au sud de la France. Le guêpier d'Europe sévit dans les régions méditerranéennes et s'attaque aux reines à l'extérieur du rucher. À l'intérieur, il stoppe carrément l'activité des abeilles.
Alors que les abeilles butinent, pollinisent et récoltent le pollen pour en faire du miel, les guêpes, elles, en sont incapables. Elles consomment du nectar, mais elles ne sont pas équipées physiquement pour le convertir en miel.
Les véganes ne les consomment donc pas. Les abeilles sont élevées et manipulées, le miel qu'elles produisent pour elles-mêmes leur est dérobé, comme cela se passe pour les autres animaux dont l'élevage sert à produire des aliments.
Le pollen est une source essentielle de leur alimentation. Toutes les plantes à fleurs produisent du pollen. Pour en apprendre plus sur cette substance, consultez notre guide complet sur le pollen. Le nectar est une substance sucrée sécrétée par certaines fleurs, par exemple, le tilleul.
Le miel n'est pas du vomi d'abeilles. L'abeille ouvrière utilise sa trompe pour laper et aspirer le liquide que l'on appelle le nectar. La trompe (considérée comme la langue de l'abeille) est en fait constituée de plusieurs parties buccales.
Composé à près de 80 % de glucides, le miel concentre essentiellement du fructose et du glucose. Ce sont des sucres bien plus intéressants que l'habituel saccharose que l'on trouve dans le sucre industriel.
La nutrition des abeilles est influencée par divers facteurs. Comme nous le savons tous, les abeilles sont essentiellement des animaux herbivores puisque ces insectes se nourrissent de nectar et de pollen de plantes et de fleurs.
Si la substance tombe directement au fond du verre sans se diluer, il s'agit d'un miel authentique. Autre option : déposer un peu de miel sur un torchon blanc. Une fois rincé, une tache apparaît ? Il s'agit de faux miel enrichi en colorant alimentaire : le vrai ne tache jamais !
Vous prenez une cuillère à café de miel et placez-la dans un verre d'eau. Si le miel se dissout, cela veut dire qu'il n'est pas pur. Le miel pur doit rester solide comme un bloc lorsqu'il plonge dans de l'eau.
La reproduction a obligatoirement lieu en l'air et peut s'effectuer loin de la ruche. Par la suite, les mâles attrapent au vol la femelle avec leurs pattes et "attellent" leur appareil reproducteur à celui de la femelle. Il faut de nombreux mâles pour féconder une reine, en moyenne 15 à 18.
Le miel contient des nutriments aux propriétés antibactériennes, antioxydantes et anti-inflammatoires qui lui ont donné une réputation d'aliment santé. Mais en consommer excessivement est tout aussi néfaste que dans le cas de n'importe quel type de sucre.
LE BOTULISME INFANTILE
La principale contre-indication concerne la consommation de miel par les nourrissons et les jeunes enfants (de moins d'un an). En effet, le miel peut contenir des germes résistants (Clostridium botulinum) provenant du pollen et transportés par les abeilles.
De manière générale, les végans ont des apports plus faibles en calcium et en zinc. Il y a aussi un déficit probable en protéine, un excès d'apport en glucides (qui se transforment en graisses si pris en excès) et un déséquilibre en lipides.
pour éviter d'être attaqué Les apiculteurs passent la plupart de leur temps avec les abeilles, ils ne sont donc pas à l'abri des piqûres. Les abeilles ne sont pas des insectes agressifs mais si elles se sentent menacées, utiliser leur dard est leur meilleur moyen de défense.
Pas seulement parce qu'elles sont une source importante de protéines pour la future reine du nid, mais aussi pour le miel qu'elles produisent. Un frelon fait environ 20 fois la taille d'une abeille et quelques frelons suffisent pour décimer une colonie d'abeilles.
Le faux bourdon (abeille mâle) est incapable de se nourrir seul ; il doit donc quémander sa nourriture aux ouvrières (abeilles femelles). En cas de problème alimentaire dans la colonie, les faux bourdons sont les premiers sacrifiés.
Tuer les guêpes n'est vraiment pas recommandé. La raison est simple : les guêpes participent à la biodiversité et sont tout aussi importantes que les abeilles pour la pollinisation. Par exemple, saviez-vous que les guêpes créaient des figues ?
Avec cette méthode, au lieu d'utiliser un appât, vous utilisez un répulsif naturel. L'odeur de la citronnelle ou de la menthe repousse les abeilles qui n'aiment pas leurs odeurs.
A poids égal, le venin de la guêpe commune « Vespa germanica » est moins toxique que celui de l'Abeille mellifique. Le Frelon « Vespa crabro » n'est dangereux qu'en raison de la grande quantité de poison inoculé car les effets de sa piqûre sont comparables, en plus intenses, à ceux d'une piqûre de Guêpe.