Votre ego se manifeste souvent au-travers de votre autorité et de votre grand désir, bien souvent inconscient, d'imposer aux autres vos idées, vos façons de penser ou d'agir. Vous pensez que ce que vous dites ou faites est bien, que ce que dit ou fait l'autre n'est pas bien et c'est là que vous avez tort !
L'ego (la représentation que j'ai de moi-même) est la résultante de l'interprétation que je me suis faite de mes expériences. Cela ne reflète donc en rien ma valeur réelle, mais juste ma perception. Si j'ai tendance à voir le négatif en tout, je me construis donc une mauvaise estime de moi.
L'ego, c'est la conscience que chaque individu a de lui-même : il s'agit de notre perception de notre propre personnalité, de nos traits de caractère et de notre intellect. L'ego, c'est aussi le moi, le je que nous employons pour parler de nous.
L'ego est la conscience que l'on a de soi, c'est en quelque sorte ce qu'on perçoit de sa personnalité. En psychanalyse, l'ego (qu'on appelle aussi le « moi », le « je ») serait chargé d'équilibrer nos impulsions, notre code moral et la réalité du monde. C'est l'arbitre.
La conscience de sa propre valeur n'est pas plus innée que constante. Elle se construit dans le regard de l'autre, dans ses encouragements, dans l'accueil de sa gratitude. L'Ego se nourrit de la réussite, de la victoire du Grand Soir et des petites victoires du quotidien.
Quand on ressent une blessure à l'ego, on éprouve une perte de confiance en soi ou d'estime de soi. On a l'impression qu'on ne mérite plus nécessairement l'estime d'autrui.» Évidemment, lorsqu'on vit un rejet ou un échec, les impressions sont souvent exagérées.
Sa mauvaise réputation est en partie justifiée. L'ego est pourtant ce qui nous définit en tant qu'individus singuliers. Il est donc non seulement utile, mais peut aussi se révéler un soutien précieux. À condition que nous sachions le maintenir à sa juste place, ni trop haut ni trop bas.
Ces maladies de l'ego se rangent dans deux catégories : un excès d'attachement à soi ou un manque d'estime de soi. Dans les deux cas, c'est une source de souffrance car nous avons tendance à nous isoler socialement, à ne plus nous satisfaire au présent et à déprimer.
Ne soyez pas aveuglés ni accrochés à ce que les autres peuvent accomplir, dire ou faire. Concentrez-vous sur ce que vous avez à faire pour atteindre vos objectifs. N'écoutez pas cette petite voix (votre ego somme toute) qui vous rend envieux ou vous donne des complexes, ne tombez pas dans le piège de la comparaison.
L'ego est constitué de la somme de toutes nos croyances au bien et au mal. Comme nous sommes conscients à 10 % environ de tout ce qui se passe en nous, cela signifie que nous sommes très peu conscients des croyances auxquelles nous avons adhéré.
Être indulgent envers soi et envers les autres : L'ego adore aussi en vouloir aux autres, pour ce qu'ils ont fait ou pas fait, dit ou pas dit. Ne vaut-il pas mieux apprendre à mettre au second plan les travers des autres et voir où se cachent les nôtres. On devient ainsi plus indulgent avec tous.
Lorsque votre égo prend le dessus, quand il essaye de prouver que vous avez raison, quand vous vous comparez à d'autres personnes, quand vous vous sentez supérieur : c'est parce qu'il essaye de vous protéger. Il essaye de préserver l'identité que vous avez créée.
commence par prendre conscience de cet égo en toi, de tes pensées négatives, vis le moment présent ! dès que tu sens cet égo monter en toi, renverse la vapeur en pensant à toutes les choses positives que la vie te donne. Tu vas te libérer du regard des autres et améliorer ton estime de toi.
Les personnes égocentriques sont difficiles à supporter, car elles sont obsédées par elles-mêmes et ont besoin de se sentir admirées par autrui, mais en retour elles ne s'intéressent pas aux autres. Cela peut donc s'avérer incompatible avec les relations d'amour et d'amitié.
L'orgueil est une stratégie de l'ego, un écueil, mais ce n'est pas l'ego. Quand on dit que quelqu'un a trop d'ego, ça ne veut rien dire. En termes de psychisme et même de spiritualité, l'ego c'est la personnalité, le véhicule, donc personne ne peut avoir trop d'ego et à contrario, il est impossible de ne pas en avoir.
Chercher constamment le négatif dans ce que disent ou font les autres est aussi un problème d'ego. Ce besoin de rabaisser, de contredire, voire de mépriser, juste pour se rassurer de la supériorité de nos propres croyances. Ce comportement révèle de la peur, et peut-être un manque de confiance en soi.
Retrouver une confiance en soi pour se sentir mieux dans son corps et dans sa tête : "Cela va passer par le fait de prendre du temps pour soi, oser dire non ou stop quand on n'est pas d'accord, s'affranchir du regard des autres autant que possible, faire du tri dans ses relations (prendre ses distances avec les ...
On rencontre souvent ce mot dans l'expression avoir un ego surdimensionné , qui se répand depuis les années 1990. Cette expression péjorative utilisée pour juger quelqu'un signifie « avoir la grosse tête, être mégalo, se croire bien meilleur que ce qu'on est ».
L'ego serait même "le contraire de l'amour". Il ne ressemble en rien à l'amour, cette "énergie qui nous pousse à aller vers les autres, à donner, à aimer, à comprendre, à partager, à s'associer, à s'unir, à s'unifier, à harmoniser."
dire tout ce qu'on pense, tout ce qu'on a sur le coeu ... nm.
Il faut dialoguer, échanger, proposer des solutions et surtout mettre en avant tous les aspects positifs qu'entraînerait un changement de comportement de la part de l'employé. Les personnes avec un fort égo ont besoin de se sentir aimé ou du moins important.
Prétention, suffisance. Le sujet conscient, le "moi", le sujet pensant.
Une personne qui souffre de problèmes d'ego est généralement désagréable, égoïste, mauvaise, destructive, et a tendance à juger les autres de façon négative. L'égo nous force à renvoyer continuellement une bonne image de nous à la société, mais il manque cruellement d'humilité.
L'ego est entre autres, une quelconque manifestation d'insécurité au plus profond de soi et il s'exprime à un degré différent pour chaque personne. C'est un peu plus complexe que cela certes, mais cela parle malgré tout.