L'identification. L'identité se construit par rapport à « l'autre généralisé » (Mead). Le rapport à autrui est donc essentiel dans les mécanismes de formation de l'identité : c'est le monde social, à travers ces diverses composantes, qui constitue le lieu fondamental des identifications.
L'identité personnelle se construit avec le langage, la mémoire et la conscience de soi. Cependant, cette connaissance de soi est partielle et imparfaite. Pour se connaître soi-même, il faut prendre en compte l'existence de l'inconscient, nos relations aux autres, nos actions et nos choix de vie.
L'identité légale d'une personne comprend le nom, le prénom, la date et le lieu de naissance, sa filiation, le genre (le sexe), la nationalité. L'Etat, grâce aux services de l'état civil conserve les preuves de notre identité.
L'identité attribuée est une définition de l'identité qui est donnée de l'extérieur (elle se différencie ainsi de l'identité subjective, laquelle est issue de l'individu lui-même).
Notre identité nous échappe donc dans une certaine mesure, car elle est constituée en partie par le regard d'autrui. Il s'agit du thème de l'intersubjectivité : je partage le monde avec d'autres points de vue qui l'interprètent et qui m'influencent.
Tout d'abord, notre identité commence à se forger en nous dès notre naissance et continuera de se développer tout au long de notre vie. Un phénomène qui influence grandement se développement se nomme « la socialisation ».
Elle permet de définir socialement l'individu et de le situer dans la société en fonction de ses appartenances, lesquelles sont rarement neutres. L'individu ayant besoin d'une identité sociale positive, il lui faut se sentir valorisé dans le groupe.
L'identité définit ce qu'est un individu en particulier, ce qui le rend singulier, ce qui le caractérise. Elle permet entre autres de distinguer deux voire plusieurs individus entre eux.
La perception de sa propre identité implique le ressenti, souvent non conscient, d'être la même personne tout au long de sa vie, et fait appel à un ensemble de représentations de soi. Ces dernières, caractérisant l'individu sur le plan psychique ou physique, forment son identité personnelle.
Les forces de l'ordre (police, gendarmerie) habilitées à faire un contrôle d'identité sont les suivantes : Officier de police judiciaire (OPJ) Agents de police judiciaire, sous la responsabilité de l'OPJ. Certains agents de police judiciaire adjoints, sous la responsabilité de l'OPJ.
La conscience de soi
Une personne dispose d'une identité qui subsiste et qui sait que cette identité subsiste1 . En deçà du moi social, BERGSON décèle un moi profond qui persiste dans ses changements, par ses changements : le moi n'est pas une réalité stable ; il "est" une succession incessante de mouvements.
Dans ce cadre, la mémoire est la capacité à lier les perceptions passées aux perceptions présentes. Ce qui fait que je suis une seule et même personne, pour Locke, c'est que je me souviens de mes actions et perceptions passées. Autrement dit, c'est la mémoire qui fonde l'identité personnelle.
Le droit international définit un apatride comme « une personne qu'aucun État ne considère comme son ressortissant par application de sa législation ». Cela signifie, pour dire les choses simplement, qu'un apatride ne possède la nationalité d'aucun pays.
En ce qui concerne les crimes moins graves, les policiers peuvent vous arrêter sans mandat s'ils vous ont vu commettre un crime et doivent vous identifier, pour vous empêcher de commettre un crime ou de détruire des preuves ou pour vous escorter au tribunal.
Le contrôle d'identité se fait de façon instantanée contrairement à la vérification d'identité qui nécessite que la personne soit retenue sur place ou dans le local de police ou de gendarmerie.
«Quelles sont les sanctions quand un policier refuse de porter son matricule ?» demandait alors une journaliste. «Il n'y a pas de sanction…» commence le DDSP. Avant de se reprendre : «Enfin si bien sûr.» Relancé, il ajoute : «Oui, ça peut toujours être sanctionné.»
Les forces de l'ordre n'ont pas à vous verbaliser pour avoir fait plus d'une heure de courses. Cette durée concerne uniquement l'activité physique, les promenades ou les sorties avec vos petites boules de poils. 2. La police ne peut en aucun cas fouiller votre sac (ou vous-même).
VRAI :Il peut le faire lorsqu'il constate une infraction qu'il est habilité à verbaliser. Mais il ne peut pas exiger vos papiers sans raison dans la rue. Si une infraction a été commise, il peut recueillir, de façon déclarative, et si la personne est d'accord, l'identité.
La fouille intégrale doit être indispensable pour l'enquête. Elle est possible uniquement si la palpation de sécurité ou les moyens de détections électroniques ne sont pas suffisants. La fouille est pratiquée par un officier de police judiciaire (OPJ) du même sexe que la personne dans un local retiré et fermé.
Concernant la mise en exécution, seuls les officiers de police judiciaire à qui il est confié une enquête sont habilités à effectuer la perquisition. Lorsqu'une personne est placée en garde à vue, son téléphone portable peut être saisi aux fins d'exploitation.
Lors d'un contrôle routier, la police ou la gendarmerie a le droit de procéder à la fouille de votre voiture à partir du moment où elle est sur la voie publique. Et ce, que le véhicule soit en circulation ou en stationnement.
Ne fournissez jamais une copie de vos papiers d'identité (ou tout autre document permettant votre identification tels que les justificatifs de domicile, les déclarations d'impôts, etc.) à quelqu'un que vous ne connaissez pas personnellement ni à une société qui n'est pas fiable à 100 %.
Un agent de sécurité peut-il exiger de voir les papiers d'identité d'une personne ? Non. Seule la police nationale et la gendarmerie sont habilitées à procéder à un contrôle d'identité.