Une consommation modérée d'alcool peut provoquer pendant la nuit des poussées de transpiration, des maux de tête, des cauchemars ou un assèchement de la bouche susceptibles de chasser le sommeil. Une consommation plus élevée et plus régulière s'accompagne souvent d'insomnies.
En réalité, l'alcool provoque la prolifération d'un neurotransmetteur nommé acide gamma-aminobutyrique (dites plutôt GABA), qui a pour effet de faire disparaître la phase de sommeil paradoxal.
Souvent, il s'agit de cauchemars récurrents. Bien que les cauchemars surviennent surtout chez les enfants de 3 à 6 ans, il y a aussi des adultes qui en dorment mal. Les causes possibles sont le stress, la contrainte, les médicaments, la fièvre, la grossesse ou les traumatismes...
Les cauchemars des adultes, comme ceux des enfants, peuvent avoir plusieurs causes : des médicaments, la génétique, des maladies neurologiques, des événements traumatisants, des blessures inconscientes, ou un sentiment d'identité menacée, voire de mise en danger réelle.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Entre 24 et 72 heures sans alcool
Votre corps se met en mode détox intensive et essaie d'évacuer tout l'alcool qu'il a absorbé. En plus des frissons et des nausées, vous ressentez une fatigue profonde et avez l'impression que plus jamais vous ne vous sentirez bien.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Faire des cauchemars de façon répétée peut être le signal que quelque chose ne va pas dans notre vie (ou dans notre tête). Ils nous réveillent en sursaut, provoquent des sueurs froides, accélèrent subitement notre rythme cardiaque et nous empêchent parfois de se rendormir.
La technique consiste à prendre le contrôle de son rêve au moment même où celui-ci a lieu. “Entre 2 et 5% de la population le font spontanément, mais on peut apprendre à le faire” explique Joseph De Koninck, Spécialiste des rêves à l'Université d'Ottawa (Canada).
Et cela ne doit surtout pas vous inquiéter. Avoir des rêves perturbés est un phénomène tout à fait normal. Voire thérapeutique, car, selon les chercheurs, il permettrait de digérer nos émotions négatives.
Selon certains experts, les cauchemars sont le reflet amplifié de situations vécues ou d'émotions ressenties qui ont une connotation négative. Ainsi, une personne ayant vécu un traumatisme, comme une agression sexuelle peut revivre ce moment maintes et maintes fois à travers ses rêves.
Hallucinations et sensations d'angoisses, la paralysie du sommeil peut parfois prendre des formes terrifiantes. Près de 10 % de la population en aurait déjà souffert, mais le Dr Daniel Neu se veut essentiellement rassurant.
La consommation d'alcool entraîne un état de somnolence qui peut sembler être le début d'une nuit de sommeil et n'a rien d'un somnifère.
Car l'alcool trouble le sommeil et suscite des phases d'éveil, notamment pendant la deuxième partie de la nuit. Il modifie le rythme du sommeil, favorise les maux de tête, les poussées de transpiration et le ronflement. Les personnes souffrant de problèmes respiratoires pendant le sommeil voient leur gêne accentuée.
une augmentation du rythme cardiaque. une baisse du niveau de vigilance, pouvant aller jusqu'au coma. de la confusion. des hallucinations visuelles vives et souvent angoissantes (par exemple voir «des bestioles»)
Première option : consulter unspécialistedusommeil, qui pourra faire un test pendant une nuit entière. Ce bilan permettra de comprendre de quel type de cauchemar il s'agit, et quelle est sa cause. Les crises, les traumatismes, la génétique, les médicaments et autres troubles neurologiques peuvent en être responsables.
L'immobilité corporelle est une des caractéristiques comportementales du sommeil. On regroupe sous le nom de parasomnies un groupe d'affections qui se caractérisent par des comportements anormaux et des expériences indésirables se produisant à l'endormissement ou pendant le sommeil.
Un psychologue peut être très utile si vous pensez que votre anxiété est susceptible d'être la source de vos terreurs nocturnes. Des traitements médicamenteux, à savoir des benzodiazépines comme le rivotril, peuvent être efficaces.
Les adolescents (14-17 ans) ont quant à eux besoin de dormir 8 à 10 heures par nuit. Les adultes (26-64 ans), entre 7 et 9 heures et les personnes âgées de 65 ans et plus affichent pour leur part des besoins quelque peu plus élevés: de 7 à 8 heures de sommeil journalières sont préconisées par les chercheurs.
Un ventre qui dégonfle
Le manque d'eau occasionné par la consommation d'alcool cause une rétention d'eau par l'organisme ce qui fait gonfler.
De plus, l'effet désinhibiteur et dépresseur de l'alcool fait en sorte que certaines personnes finissent justement par exploser en libérant les émotions qu'elles refoulent depuis des mois, voire des années. C'est pour cela que l'on voit plusieurs personnes devenir très émotives ou agressives sous l'effet de l'alcool.