Astuce n°2 pour ne plus avoir de mal à se lever le matin : dormir suffisamment. Pour ne pas avoir de mal à se lever le matin, vous devez bénéficier de suffisamment de sommeil. Chez l'adulte, 5 cycles de sommeil environ sont nécessaires pour recharger les batteries. Cela équivaut à 7h30 de sommeil minium.
Ce sentiment de non-repos peut être dû au stress, au surmenage au travail, à des activités de loisirs trop intenses ou même, à une alimentation déséquilibrée ou insuffisante. Pour savoir d'où vient cette fatigue, il est nécessaire d'analyser les changements qui ont pu se produire récemment dans votre vie.
La motivation pour se lever tôt se cultive la veille au soir, en préparant ses nouvelles activités du matin. Les personnes qui ont l'habitude de se réveiller très tôt commencent en effet toujours par faire ce qui les passionne. Si vous aimez le sport, vous pouvez vous accorder une heure de jogging ou de yoga.
La clinophilie désigne une difficulté, voire une incapacité à sortir de son lit, à se lever, à commencer sa journée, et à vaquer à ses occupations. La clinophilie n'est pas une pathologie en soi, mais serait plutôt un symptôme de plusieurs pathologies.
Se lever à une heure matinale permettrait aussi de mieux dormir. Les couche-tard auraient plus tendance à souffrir d'insomnies et de troubles du sommeil que les lève-tôt, qui bénéficieraient quant à eux d'un sommeil de meilleure qualité, plus réparateur.
«Si l'on continue de dormir alors que le corps est programmé pour se réveiller tôt depuis cinq jours, on sera fatigué au réveil car l'organisme se sera déjà remis en route. Même principe quand on force le corps à démarrer alors qu'il est programmé pour dormir.»
L'asthénie, communément appelée fatigue, est un symptôme fréquent. Elle devient anormale lorsqu'elle perdure malgré le sommeil et le repos. Elle peut être passagère et réactionnelle (après un surmenage, lors d'une infection brève…), ou durable, en lien avec une maladie chronique ou une souffrance psychique.
Pour bénéficier d'un temps de sommeil optimal (entre 7 et 9 heures), il faudrait se coucher entre 22h et 23h30.
Le problème est que lorsque vous êtes en décalage entre votre horloge biologique et votre mode de vie, vous êtes plus à risque, d'après une étude récente portant sur plus de 80.000 personnes, d'avoir une moins bonne qualité de vie et de souffrir davantage d'anxiété, mais aussi de dépression.
Les vitamines B, C et D sont réputées comme étant des vitamines «anti-fatigue » efficaces. Des cures de zinc ou de magnésium peuvent également être utiles en cas d'insuffisance, mais vous devez d'abord consulter votre médecin afin de faire le bilan.
À chaque âge son besoin de sommeil
Les nouveau-nés (de 0 à 3 mois) : 14 à 17 heures. Les adolescents (14 à 17 ans) : 8 à 10 heures. Les adultes (26 à 64 ans) : 7 à 9 heures. Les personnes âgées (65 ans et +) : 7 à 8 heures.
Privilégiez les eaux riches en magnésium
Pour maintenir une bonne hydratation corporelle, il est fortement conseillé de boire des eaux minéralisées, notamment riches en magnésium, afin de combler les pertes en minéraux.
En effet, si l'heure idéale pour se réveiller serait précisément 6h44, il est conseillé de ne pas sortir du lit avant 7h12. Une fois debout, le Dr Imafidon recommande de réaliser 21 minutes d'exercice, puis 10 minutes sous la douche avant de consacrer 18 minutes à son petit-déjeuner.
Si vous devez vous lever à 7 heures du matin, il est donc conseillé de ne pas se coucher après 23h30. La meilleure heure pour aller se coucher est comprise entre 22 h et 23 h 30 si vous vous levez entre 7 et 9 heures le lendemain matin. Un cycle de sommeil dure 90 minutes en moyenne.
Mais rester enfermé entre quatre murs 24h/24 risque d'augmenter les niveaux d'anxiété et les troubles du sommeil, rappellent les spécialistes. En cause, le manque de lumière naturelle, essentielle pour réguler notre horloge biologique responsable, entre autres, de l'appétit, de l'humeur et du sommeil.
La personne préfère rester constamment couchée. Généralement ce sont les personnes souffrant de neurasthénie ou d'une importante dépression qui présentent une clinomanie. C'est une sorte d'addiction, de rester au lit, de refuser de se lever.
Pour arriver à ce constat, les chercheurs ont analysé le sommeil de 7.000 britanniques, pendant 35 ans. Ainsi, passé 50 ans, dormir seulement 5 heures par nuit, ou moins, augmente de 20% le risque de développer une première maladie chronique. Et ce, même si vous avez été en parfaite santé avant.
Des risques cardio-vasculaires
Selon les chercheurs, dormir plus de 10 heures par nuit augmenterait de 56 % le risque de décès dû à un accident vasculaire cérébral (AVC). Concernant les maladies cardiovasculaires, le risque serait 49 % plus grand.