La névrose obsessionnelle est marquée par des obsessions et des compulsions : Les obsessions constituent des pensées envahissantes et répétitives engendrant souvent de la peur et de l'angoisse. Pour y remédier, la victime éprouve le besoin de réaliser des gestes répétitifs ou des rituels : les compulsions.
Il faut du temps pour lutter contre une névrose obsessionnelle, les psychothérapies cognitivo-comportementales sont recommandées pour aider à lutter contre les obsessions et les rituels. Lorsqu'il s'agit d'un enfant, une thérapie familiale doit également être envisagée pour que chacun puisse aider.
Le trouble de la personnalité obsessionnelle compulsive est caractérisé par une préoccupation omniprésente pour l'ordre, le perfectionnisme et le contrôle (sans place pour la flexibilité ou l'efficacité) qui, en fin de compte, interfère avec l'accomplissement d'une tâche.
Le trouble obsessionnel-compulsif n'est donc pas une défense contre l'angoisse, ni une répression, mais un moyen de réguler le système nerveux central ; c'est une manière d'utiliser la cause et l'effet en ressentant l'angoisse pour pouvoir l'apaiser par soi-même.
Les symptômes de la névrose
On peut notamment citer : Des difficultés relationnelles. La survenue inopinée de moments d'angoisse. Un sentiment subjectif de mal-être ou la perception d'une conflictualité interne.
Le terme psychorigide est employé de façon fréquente et souvent abusive. La personnalité psychorigide est complexe. C'est un problème psychologique.
Un entêtement, une rigidité Un perfectionnisme excessif. Une avarice envers les autres comme envers soi-même, se prémunissant en cas de catastrophes futures. Une tendance à être scrupuleux, consciencieux et même rigide de manière excessive à l'égard de l'éthique, des valeurs ou des questions morales.
Lorsque les obsessions et les compulsions deviennent incontrôlables, on parle de « trouble obsessionnel-compulsif ». Le TOC est un trouble anxieux qui affecte environ un adulte sur quarante. Il est présent dans le monde entier et touche aussi bien les hommes que les femmes.
La guérison de la névrose hypocondriaque passe d'abord par une reconnaissance par le patient de son trouble, puis par un suivi par un psychologue spécialisé qui pourra l'aider à reconnaître le conflit à l'origine de la névrose.
Les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) déclenchent des pensées dérangeantes, répétitives et incontrôlables, causant une forte anxiété. Ces obsessions se focalisent sur des thèmes précis (saleté, sexe, peur de l'erreur, etc.) Ils sont fréquents et débutent souvent avant l'âge de 25 ans.
Occupez plutôt votre cerveau à autre chose. Les jeux vidéo et les jeux de société sont très utiles pour cela. Vous pouvez également lire un livre, regarder la télévision ou téléphoner à un ami. Trouvez-vous quoi que ce soit qui requiert assez de concentration pour détourner votre pensée de ce que vous ruminez.
Les névroses sont une bonne indication pour une psychothérapeutique psychodynamique ou une psychothérapie integrative. Les techniques corporelles peuvent contribuer à soulager, dans un premier temps, les manifestations somatiques de la souffrance névrotique.
Le sujet est soumis à des sentiments, d'idées, de conduites qui s'imposent de façon contraignante et qui l'entraînent dans une lutte incessante et anxieuse. Ces obsessions assiègent le malade, s'imposent malgré lui alors qu'il a conscience de leur caractère pathologique. Ce qui n'est pas le cas dans une psychose.
Trouble névrotique caractérisé par une préoccupation excessive du sujet pour sa santé en général, ou pour l'intégrité et le fonctionnement d'une partie de son corps ou, plus rarement, de son esprit. Il s'accompagne habituellement d'anxiété et de dépression.
Les dépressions névrotiques sont des syndromes dépressifs qui surviennent chez un sujet porteur de l'une des quatre névroses classiquement décrites (angoisse, hystérique, phobique, obsessionnelle) ou à défaut de traits de personnalité névrotiques.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
Il ne se remet jamais en question, mais peut très bien jouer la comédie. Il est vide intérieurement, évoluant uniquement dans l'intellect et le calcul. Il instrumentalise l'autre qui n'est pour lui qu'un objet à exploiter, puis à jeter. Quand il a épuisé sa proie, il en choisit une autre.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ». Avec elles, il est souvent difficile de garder patience au fil des ans.
L'origine de la névrose est généralement relative à un traumatisme plus ou moins récent ayant impacté l'état psychologique de la personne. Le patient a totalement conscience de ces troubles et n'est pas du tout "déconnecté" de la réalité.
Dans la majorité des cas, une psychothérapie (analytique, comportementale, ou systémique par exemple) suffit à diminuer les symptômes et la souffrance. Un travail sur plusieurs mois est nécessaire pour retrouver une vie normale.
Psychose et névrose sont des notions très différentes, quoiqu'elles concernent toutes deux des troubles du psychisme. La psychose se distingue essentiellement de la névrose par le fait que le sujet psychotique n'a pas conscience de ses troubles et qu'il perd contact avec la réalité.