Souvent, le cancer du rein se développe sans provoquer de symptôme particulier. Néanmoins, il arrive qu'un cancer du rein entraîne une hématurie, c'est-à-dire la présence de sang dans les urines, une douleur dans le flanc ou qu'il se matérialise par une masse palpable au niveau des lombaires.
Le tabagisme, l'exposition aux rayonnements ionisants, et l'obésité ou le surpoids sont des facteurs de risque de cancer du rein. Le nombre de cas de cancers du rein chaque année est estimé à 15 000 en France. Il est deux fois plus fréquent chez l'homme que chez la femme.
La douleur provoquée par les troubles rénaux est en général ressentie sur le côté (flanc) ou au niveau du bas du dos. Occasionnellement, elle irradie vers la partie centrale de l'abdomen.
Le pronostic du cancer du rein est plutôt bon avec un taux de guérison relativement élevé. Après la guérison, la possibilité de métastases « dormantes » implique un suivi médical régulier pendant au moins cinq ans, voire toute la vie.
La survie nette après 5 ans pour le cancer du rein et le cancer du bassinet du rein est de 73 %. Cela signifie qu'environ 73 % des personnes ayant reçu un diagnostic de cancer du rein ou du bassinet du rein survivront au moins 5 ans.
Des changements urinaires
Si vous présentez un ou plusieurs de ces symptômes, il peut s'agir d'un problème rénal : Une difficulté à uriner et une sensation de pression. Des douleurs pendant la miction. Besoin fréquent d'uriner durant la nuit.
La pastèque : ce fruit riche en eau, en vitamine C et en minéraux a des effets bénéfiques pour les reins. Consommer régulièrement de la pastèque aide à détoxifier et à purifier les reins, surtout pendant les saisons chaudes.
Le citron. Pour un résultat efficace, il faut le presser pour en faire un jus que l'on mélangera, si possible, avec du persil et un peu d'eau tiède. Le citron permet d'éliminer les déchets, dont certains petits calculs, et stimule le système immunitaire.
L'insuffisance rénale chronique est toujours la conséquence d'une maladie qui détériore progressivement le fonctionnement des reins. En France, les deux causes principales de l'insuffisance rénale chronique sont le diabète de type 1 comme le diabète de type 2 et l'hypertension artérielle.
Une consommation élevée de boissons gazeuses ordinaires et de boissons gazeuses sucrées artificiellement (sauf les colas) est associée à des risques plus élevés de formation de pierres aux reins.
Deux tests sont utilisés pour vérifier la présence ou non d'une maladie du rein. Un test sanguin vérifie votre DFG (votre débit de filtration glomérulaire), qui explique comment vos reins effectuent le filtrage. Un test de l'urine, pour vérifier l'albumine dans le urine, un signe de lésions rénales.
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.
Les douleurs au niveau lombaire peuvent être déclenchées par une inflammation de la vessie et des ovaires ou par des infections vaginales.
Les douleurs musculaires sont dues à une contracture « réflexe » des muscles para-vertébraux (muscles qui descendent tout le long de la colonne, de chaque côté). Avec le temps, les disques intervertébraux s'usent et leur épaisseur diminue : on parle alors d'arthrose.
Une maladie nommée «hyponatrémie»
Boire trop d'eau ne coupe pas l'appétit, peut entraîner des dommages aux reins et altérer la concentration, rapporte le Daily Mail ce mardi.
L'Apport en Sel
Les aliments riches en sel sont à éviter : charcuterie, fromage, conserves, aides culinaires (bouillon déshydraté), plats cuisinés, viennoiserie, sauces industrielles, coquillages, biscuits apéritifs, cacahuètes, condiments, eaux gazeuses : Vichy®, Badoit ®, etc. Le sel d'assaisonnement est à contrôler.
La pomme. Les pommes sont riches en fibres solubles qui aident à éliminer les toxines et les déchets du corps tout en accélérant et stimulant le processus rénal. C'est donc un aliment qui nettoie les reins. De plus, elle aide à diminuer le cholestérol, un facteur de risque des troubles rénaux.
Le cancer du rein est le plus souvent traité par la chirurgie lorsqu'il est localisé ou localement avancé. Lorsque le cancer a formé des métastases, le traitement repose sur des médicaments de thérapies ciblées et d'immunothérapie, associés ou non à la chirurgie.
Lorsque la tumeur est "grosse" (en général plus de 7 cm), le traitement de référence consiste à retirer la totalité du rein avec la graisse qui l'entoure et éventuellement la glande surrénale (elle est adhérente à la partie supérieure du rein), en particulier en cas de nodule surrénalien suspect de métastases, associé ...
Le médecin réalise ensuite une anesthésie locale dans le bas du dos. Une fine aiguille est alors introduite dans le rein afin de prélever les fragments qui seront analysés. Grâce à l'anesthésie locale, cet examen n'est pas douloureux.