C'est généralement un imam qui prononce le mariage. Deux témoins sont également présents. La cérémonie commence par la récitation d'une « Khoutbah », c'est-à-dire de formules de louanges à Allah et quelques versets du Coran. L'imam demande ensuite au père de la mariée s'il accepte de donner sa main.
Le mariage « Hlal » consiste à se présenter devant un imam, sans que l'acte de mariage ne soit notifié auprès de l'autorité civile, en l'occurrence la mairie. Ce phénomène prend des proportions inquiétantes au vu des préjudices qu'il engendre, souvent alarmants, voire dramatiques.
Durant les différentes cérémonies de mariage Hlel, la femme va revêtir plusieurs robes de mariée musulmanes, des caftans de mariage. Selon les coutumes, elle devra changer 7 fois de robes durant la soirée, ce chiffre représentant les 7 jours de célébration traditionnelle.
Cérémonie de mariage
Les conditions du mariage sont le consentement et présence du tuteur de la mariée qui peut se faire représenter (acte écrit de procuration), l'acceptation des deux époux, le mahr de l'époux à l'épouse, le contrat de mariage et plusieurs témoins.
Le mariage religieux est appelé Hlel, Nikah ou Fatiha suivant le pays d'origine. Il s'agit d'un contrat moral entre les futurs époux.
R : Oui, même si on n'est pas marié civilement. On est marié devant Dieu.
Les familles des deux parties peuvent contribuer à ces dépenses, mais le marié est le principal responsable.
Le Coran. Selon la première source scripturaire qu'est le Coran, la sexualité n'est licite qu'au sein d'une union légale. En effet, toute relation sexuelle en dehors du mariage, appelée zina [7] , ou plus rarement sifah, est clairement décrite comme une turpitude (fahicha) et une mauvaise voie (sa'a sabila) [8]
Ils privilégiaient plutôt les mariages en milieu de semaine, généralement le mardi ou le jeudi. Jours et mois saints des musulmanes : Pour la communauté musulmane, le vendredi est le jour saint de la prière, ce qui en faisait un choix populaire pour les mariages.
Questions fréquemment posées. Le contrat de mariage musulman est-il obligatoire ? Oui, le contrat de mariage musulman est une étape obligatoire dans le mariage selon la tradition musulmane.
Selon les traditions islamiques, l'achat des alliances, également connues sous le nom de bagues de mariage, est une responsabilité partagée entre les deux futurs époux.
1200€ en moyenne pour l'alliance de la mariée. Sinon entre 100 à 600€ pour la moyenne basse. Quant au traiteur hallal, comptez entre 25€ (moy. pour 500 invités), 30€ (pour 200 à 300 invités) et 45€ (100 invités) Au mieux, 20 à 100€ par personne ou le restaurant de 40 à 150€ par personne.
Dans l'islam, le mahram (en arabe : محرم) – d'une racine signifiant littéralement « interdit [de se marier avec] » – est, pour une femme musulmane, selon la charia, un « gardien », c'est-à-dire, un homme de sa famille avec lequel elle ne peut pas se marier.
Le mariage dans l'islam
Procéder à un mariage uniquement avec une procédure religieuse, par «la fatiha», sans acte légal écrit devant un maire ou un juge, peut facilement se retourner contre les épouses et les enfants issus de ces unions non-officielles d'un point de vue légal.
Ainsi, dans un registre un peu argotique, hlel désigne désigne une fille à marier, une fille respectable, qui préserve son honneur et celui de sa famille : elle est studieuse et sérieuse, chaste, elle ne sort pas le soir, elle ne fréquente pas de garçons.
L'annulation du mariage est reconnue par l'islam en cas de non-consommation. Encore aujourd'hui, il arrive que la non-consommation doive être justifiée. L'annulation du mariage est encore utilisée dans certains pays religieux car il permet à la femme de rompre le lien du mariage sans perdre sa dot.
Dans l'islam, pas d'âge limite, mais les choses évoluent
Mais il rappelle que l'islam ne fixe pas d'âge légal du mariage. C'est la raison pour laquelle on parle « d'âge autorisé », « cela veut dire que celui qui peut se marier est autorisé à le faire », explique-t-il.
Pourquoi dit-on qu'il ne faut pas se marier au mois de mai ? Le 11 mai 1625, Henriette-Marie de France, se marie par procuration à Charles Ier d'Angleterre. Elle aura une vie «malheureuse» et s'éteindra sans son mari, décapité vingt ans avant sa mort. Le 16 mai 1770, Marie-Antoinette épouse le futur roi Louis XVI.
Le mahr (arabe : مهر) est le don, selon les prescriptions de l'islam, que l'époux doit faire à l'épouse.
Après les fatwas sur l'onanisme féminin, celui-ci déclare, cette fois-ci, que « les préliminaires ne sont pas interdits en Islam ».
INTERNATIONAL - Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser. Le prophète Mohammed (QSSL) disait dans un hadith: "Nul d'entre vous ne prendra sa femme comme on prendrait une bête, et qu'il y ait entre vous un messager: le baiser". Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser.
Enfreindre ce qui est du domaine du licite relève du registre de la « zina » terme que l'on traduit généralement en français par « fornication » et qui correspond au langage de la dogmatique chrétienne qui désigne ainsi les relations entre des personnes non mariées et non liées par un vœu religieux.
Traditionnellement, c'est la famille de la mariée qui prend en charge les frais du mariage, la famille du marié versant la dot et offrant de nombreux cadeaux. Aujourd'hui, les familles ont tendance à se partager les frais, chacune se chargeant des tenues de leur enfant.
La coutume veut que les parents des mariés participent aux dépenses liées au mariage. Des proches qui peuvent aussi faire un geste au moment de l'annonce de l'engagement sans que rien ne les y oblige pour autant.
Elles sont célibataires. Répartition du budget selon la tradition La famille du marié achète les bagues de fiançailles et les alliances, la tenue du marié, le bouquet de la mariée et les dépenses liées au voyage de noces.