L'échocardiographie Transthoracique : le patient est allongé sur une table d'examen. Le cardiologue positionne une sonde sur la cage thoracique après l'avoir recouvert de gèle d'échographie. Une légère pression sur la sonde est nécessaire afin d'obtenir une image de qualité.
Le technologue en imagerie médicale installe des électrodes dans la région de votre poignet et de votre cheville afin d'avoir un tracé cardiaque simultané. Ensuite, on applique un gel conducteur au niveau du cœur. Ce gel permet aux ultrasons de traverser les tissus.
Une angiographie coronarienne (aussi appelée coronarographie) est un test qui consiste à prendre des radiographies des artères coronariennes et des vaisseaux qui alimentent le cœur.
L'échographie cardiaque permet de faire l'étude du cœur en mouvement. Grâce aux ultrasons, les sténoses aortiques, les fuites de valves, les malformations cardiaques ainsi que la contractilité du muscle cardiaque sont évaluées. Il s'agit de l'examen de choix pour détecter une insuffisance cardiaque.
Échographie pulmonaire ou cardiaque : 96,49 € Épreuve d'effort physique : 76,80 € Examen radiographique des artères coronaires (coronarographie) : 259,20 € Échographie-doppler transthoracique : 96,49 €
Elle est indiquée dans la plupart des maladies cardiaques ( angine de poitrine, hypertension artérielle, insuffisance cardiaque, bilan de souffle, trouble du rythme, suivi après un infarctus...)
L'échographie cardiaque, ou échocardiographie, est non invasive et n'entraîne aucune douleur. Elle vise à capter les images de toutes les structures du cœur, c'est-à-dire les valves et les cavités (oreillettes et ventricules), et à établir la tonicité du muscle cardiaque.
Au début de l'insuffisance cardiaque, le patient n'a pas de symptômes. Ensuite, une fatigue, des palpitations et un essoufflement apparaissent lors des efforts, lors des activités habituelles, puis lors d'une activité moindre qu'à l'accoutumée et enfin au repos. Des œdèmes se forment au niveau des pieds et chevilles.
L'échocardiographie est réalisée par un radiologue ou un cardiologue, à son cabinet ou au lit du patient si ce dernier est hospitalisé. Le médecin utilise une sonde qu'il applique sur la peau après l'avoir enduite d'un gel conducteur, et qu'il fait progresser sur l'ensemble du thorax.
L'échographie de stress permet au radiologue d'analyser les modifications du muscle cardiaque pendant une période de stress et de récolter ainsi de nombreuses informations sur l'état cardiaque du patient.
Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
De nos jours, plusieurs examens médicaux permettent d'effectuer un bilan cardiovasculaire et de déterminer si une personne souffre d'un problème cardiaque. Parmi eux, il y a l'IRM, l'échographie Doppler et l'électrocardiogramme. Des examens qui nécessitent du matériel spécifique et des professionnels de santé.
Le dosage de la troponine dans le sang permettrait de déterminer les risques de crise cardiaque sur une période d'un an, d'après une étude britannique publiée ce lundi.
Cet examen ne nécessite aucune préparation ou protection particulière et peut s'effectuer dans n'importe quelle salle à condition qu'elle puisse être assombrie. L'échographie dure entre 10 et 30 minutes et peut se faire de deux manières différentes.
L'échographie est un examen indolore et non invasif : elle est donc prescrite dans de nombreuses situations, lorsque le médecin soupçonne la présence d'une anomalie au niveau des organes génitaux internes ou de la vessie (voir la fiche échographie de l'appareil urinaire).
La présence d'un « souffle au cœur » lors de l'auscultation cardiaque n'est pas une maladie mais un symptôme. Il s'agit d'un phénomène acoustique qui traduit la présence de turbulences lors de l'écoulement sanguin au niveau du cœur ou des vaisseaux.
L'IRM cardiaque favorise la détection précoce de problèmes du coeur, sans que le patient ne soit exposé à des rayons. La résonnance magnétique permet en effet de fournir des images dynamiques avec une très haute résolution et notamment de visualiser précisément les zones souffrant d'un manque d'oxygène.
Un électrocardiogramme (ECG) d'effort (ou "épreuve d'effort") est l'enregistrement de l'activité électrique cardiaque au cours d'un exercice physique soutenu. Cet examen sert à analyser la réaction du cœur lors d'activités similaires à celles qui peuvent avoir lieu dans la vie courante.
Le cardiologue fait passer une coronarographie aux patients souffrant d'une douleur dans la poitrine ou d'un essoufflement à l'effort, afin de connaître l'état des artères qui irriguent le coeur.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
Infarctus du myocarde (IDM)
L'hypertension artérielle non traitée ou mal traitée depuis plusieurs années et les troubles coronariens (un cœur fragilisé par des crises d'angine de poitrine ou des infarctus) en sont les principaux responsables.
La tachycardie est une maladie qui fait battre le cœur trop vite. Un cœur en bonne santé bat entre 50 et 80 fois par minute. L'exercice physique, le stress ou la peur peuvent faire accélérer le cœur, mais c'est une réaction normale.
L'examen se déroule dans une salle de radiologie spécialement équipée. Le patient, à jeun, est allongé et une caméra tourne autour de lui pour retransmettre en direct et filmer les artères coronaires sous de nombreux angles.
Un électrocardiogramme (ECG) est un test qui étudie le fonctionnement du cœur en mesurant son activité électrique. À chaque battement cardiaque, une impulsion électrique (ou « onde ») traverse le cœur. Cette onde fait contracter le muscle cardiaque afin qu'il expulse le sang du cœur.