S'attaquer aux causes du réchauffement
C'est la priorité des priorités ! Pour cela, il faut limiter au maximum nos rejets de gaz à effet de serre, surtout ceux de CO2. Toutes nos activités ont un impact : se déplacer, se chauffer, consommer, utiliser des appareils électriques…
la construction de murs contre les inondations et de digues. le déplacement de certaines infrastructures pour s'éloigner des zones inondables. le choix de cultures plus résistantes à la sécheresse. la création de corridors terrestres permettant la migration des espèces.
Face au changement global, tous les acteurs peuvent apporter des réponses et des solutions : par la coopération internationale (exemple : accord de la COP21 pour limiter le réchauffement climatique) ; par les acteurs locaux et nationaux (États, associations de citoyens, organisations non gouvernementales) ; …
Pour se limiter à 1,5°C, il faudrait diminuer nos émissions de 7 % chaque année jusqu'à 2030. En France, cela correspondrait à réduire le trafic routier de 25 %. Le problème, c'est qu'il faut s'y mettre tout de suite.
La stratégie d'adaptation (Coping strategy) est définie comme « Une série de processus cognitifs et comportementaux en constante évolution pour gérer des demandes externes et/ou internes spécifiques et qui sont évaluées comme éprouvant ou dépassant les ressources d'un individu » (Folkman et al., 1986).
- Rendre plus accessible les données écologiques et climatiques, suivre l'impact sur les écosystèmes forestiers grâce à des données topographiques, géomatiques, sanitaires, des scénarios régionalisés, etc. - Améliorer la gestion forestière, en favorisant la capacité d'adaptation des peuplements forestiers.
Premier plan de cette ampleur publié dans l'Union européenne, les mesures préconisées concernaient tous les secteurs d'activité autour de 4 objectifs : protéger les personnes et les biens. éviter les inégalités devant les risques. limiter les coûts et tirer parti des avantages.
intensification des précipitations (fortes pluies et grêle) augmentation des cyclones tropicaux violents. augmentation des périodes d'aridité et de sécheresse. recul de la glace de la mer Arctique et de la couverture neigeuse.
Chauffage, climatisation, énergies renouvelables, salle de bain, tous corps d'etat.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Aujourd'hui le réchauffement climatique est en fait surtout dû aux hommes, à l'industrie, au transport, aux élevages intensifs et au bâtiment (chauffage), qui ensemble détruisent la planète peu à peu. Il est donc important de réduire nos consommations et la pollution.
Les jeunes ne se posent pas seulement en victimes des changements climatiques. Ils contribuent aussi de manière décisive à l'action pour le climat. Ce sont des acteurs du changement, des entrepreneurs et des innovateurs.
L'atténuation — limiter le changement climatique — consiste à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à les éliminer de l'atmosphère ; méthodes incluant le développement et le déploiement de sources d'énergie à faible émission de carbone telles que l'énergie éolienne, le solaire et le nucléaire mais aussi l' ...
Les changements climatiques désignent les variations à long terme de la température et des modèles météorologiques. Il peut s'agir de variations naturelles, dues par exemple à celles du cycle solaire.
La capacité d'adaptation se rapporte à la capacité des systèmes, des institutions, des humains et d'autres organismes à s'adapter aux dommages potentiels, à tirer parti des opportunités ou à réagir aux conséquences.
Ils identifient trois types de stratégies : le coping centré sur le problème, qui vise à réduire les exigences de la situation ou à augmenter ses propres ressources pour mieux y faire face; le coping centré sur l'émotion, qui comprend les tentatives pour réguler les tensions émotionnelles induites par la situation; et ...
Les solutions sont surtout urbanistiques : meilleure intégration de la végétation au sein des villes (toitures et façades végétales, espaces dédiés à l'agriculture urbaine), protections solaires, systèmes de rafraîchissement des foyers moins gourmands en énergie, toitures plates, etc.
La prévision de la sécheresse s'appuie sur les suivis hydrologiques et météorologiques disponibles, mais reste difficile. Le principal levier d'action est l'encadrement des prélèvements d'eau, mais il est aussi possible de favoriser les capacités naturelles des milieux à retenir l'eau.