La sonde JJ est un tube souple et fin (environ 3 mm de diamètre) dont les extrémités forment chacune une boucle (d'où le terme double J) ce qui permet à la sonde de rester en place entre le rein et la vessie.
La sonde est posée sous anesthésie générale par les voies naturelles : le chirurgien introduit la sonde par le méat urinaire jusque dans la vessie ; là, sous contrôle de la vue grâce à un cystoscope installé dès le début, il vise l'orifice de l'uretère et y insère la sonde qu'il monte jusque dans le rein.
La sonde peut irriter la paroi de la vessie ce qui peut produire des saignements (en général très modérés). Ces saignements peuvent persister pendant toute la période où la sonde est en place ; Plus rarement vous pourrez ressentir de vagues douleurs dans le dos ou dans le bas du ventre.
Les arrêts de travail et les répercussions sociales et sexuelles sont classiques. Jusqu'à un patient sur trois ayant une sonde double J peut encore être en arrêt de travail au bout d'un mois.
Il est possible que vous ressentiez une légère irritation due au retrait de la sonde. Ce malaise disparait habituellement après quelques jours. Buvez 2 ou 3 verres d'eau. Vous devriez uriner dans les heures qui suivent le retrait de la sonde urinaire.
Elle permet l'écoulement des urines et ainsi d'éviter le « blocage » des urines dans le rein. Après la pose de sonde double J, il vous est recommandé de boire abondamment (au moins 2l par jour), d'uriner régulièrement pour laver la vessie et éviter que les urines ne deviennent rouges par irritation de la sonde.
Son rôle est d'assurer l'acheminement de l'urine provenant du rein vers la vessie, lorsqu'il existe un obstacle urétéral. Aux deux extrémités, ce tuyau a une forme de boucle ou de « J », afin d'empêcher le déplacement ou la migration de la sonde. D'où le nom « sonde double-J » ou « sonde JJ ».
Buvez de l'eau en quantité suffisante pour que vos urines restent rosées et pour éviter la formation de caillots de sang dans la vessie. Si vous avez : Des envies trop pressantes ou trop fréquente d'uriner. C'est lié à la présence de la sonde dans votre vessie.
Lorsque la sonde est mal supportée, un traitement par anti-inflammatoires, paracétamol, antispasmodiques ou par anticholinergiques peut soulager le patient. Il est tout à fait possible d'avoir une activité professionnelle avec une sonde JJ dès lors qu'elle est bien supportée.
Quand retirer la sonde JJ ? Provisoire, ce type de sonde peut être posé pour une durée de quelques jours, à quelques semaines, voire pendant plusieurs mois et requiert un suivi médical.
L'eau du robinet, ou une eau en bouteille faiblement minéralisée (Évian, Volvic, eau de source...) fait parfaitement l'affaire. Lorsqu'il s'agit de calculs à base d'acide urique, une eau gazeuse riche en bicarbonates (Badoit, La Salvetat, Perrier...) diminuera l'acidité des urines et préviendra ainsi leur formation.
La toilette se fait du gland vers la sonde pour ne pas ramener des germes vers le méat. Ensuite, recalotter le gland afin d'éviter toutes complications. Savonner la vulve, les grandes et petites lèvres et sécher en allant du méat urinaire vers l'anus. toilettes.
Lavez-vous les mains à l'eau et au savon avant et après chaque manipulation de la sonde vésicale et des sacs. Cela prévient le risque de faire une infection urinaire.
La sonde double J (également appelée sonde JJ) est un tube synthétique fin et creux (de 1,5 à 3 mm d'épaisseur), mis en place dans l'uretère pour libérer le passage de l'urine du rein vers la vessie.
Comment savoir si un calcul rénal est parti ? Il n'existe pas de manière certaine de savoir si un calcul rénal est parti. En effet, les calculs rénaux peuvent se dissoudre spontanément ou être éliminés par les reins sans provoquer de symptômes.
Le calcul le plus classique, c'est l'oxalate de calcium. Il est en rapport avec différents excès alimentaires : excès de protéines animales (viandes, poissons, œufs…), excès de sel, excès d'aliments riches en oxalates (chocolat, cacao)… le chocolat est un des aliments à bannir quand on a ce type de calcul.
Traitements chirurgicaux
La majorité des calculs qui ne s'éliminent pas spontanément peuvent être enlevés ou détruits grâce à des techniques mini-invasives. Parmi celles-ci la lithotritie extracorporelle, l'urétéroscopie (souple ou rigide, avec ou sans utilisation d'un laser) ou la chirurgie percutanée.
Il est possible de se baigner avec une stomie. Mer, piscine, douches et bains sont autorisés. Pour les patients colostomisés et selon la localisation de la stomie, il est possible d'utiliser une mini-poche qui permet de se baigner en toute sécurité.
Il est possible de se doucher avec une sonde urinaire. - Utiliser un savon doux li- quide : Pour les femmes : nettoyer de l'orifice urinaire vers l'anus. Pour les hommes : décalot- ter le gland pour nettoyer et ne pas oublier de recalotter ensuite.
Les résultats montrent que les consommateurs de café auraient une diminution du risque de maladie rénale chronique (débit de filtration glomérulaire estimé (DFGé) <60mL/min/1,73m2) par rapport à ceux qui n'en consommaient pas.
La pomme. Les pommes sont riches en fibres solubles qui aident à éliminer les toxines et les déchets du corps tout en accélérant et stimulant le processus rénal. C'est donc un aliment qui nettoie les reins. De plus, elle aide à diminuer le cholestérol, un facteur de risque des troubles rénaux.
Une maladie nommée «hyponatrémie»
Boire trop d'eau ne coupe pas l'appétit, peut entraîner des dommages aux reins et altérer la concentration, rapporte le Daily Mail ce mardi.
Durant le sommeil, notre cerveau secrète une hormone anti-diurétique qui ralentit le travail des reins afin que nous ne soyons pas réveillés pendant la nuit par une envie d'uriner. Mais boire trop d'eau avant le coucher (même 2 à 3 verres), perturbe ou annule cette fonction.
Le chocolat contient aussi de la théobromine : un alcaloïde amer de la même famille que la caféine. Il agit sur les reins, c'est un diurétique, et il a un effet antitussif.