Traditionnellement prononcé \e\, mais le son peut devenir \ɛ\ sous l'influence du contexte.
Les –ai sont censées être prononcées « é », et les –ais sont censées être prononcées « è ». En pratique j'entends rarement une différence marquée entre toutes ces prononciations.
Il s'agit du son [ɛ] .
Il recommande la prononciation « é » pour le passé simple et le futur simple à cette même personne (je mangeai, je mangerai), afin d'éviter la confusion avec l'indicatif imparfait ou le conditionnel présent dont la terminaison se prononce « è » (je mangeais, je mangerais).
En français, ce graphème se prononce [e] (é) ou [ɛ] (è) et se retrouve, entre autres exemples, dans des mots et locutions empruntés au latin, comme æschne, cæcum, nævus, præsidium (forme utilisée concurremment à présidium), tænia (forme utilisée concurremment à ténia), novæ et supernovæ (pluriels possibles de nova et ...
L'œ, ligature du « o » et du « e », est une lettre étymologique héritée de l'histoire. On la rencontre dans un certain nombre de mots empruntés au latin et au grec. Ainsi « collées », les deux lettres n'en forment qu'une : c'est un digramme.
En français, dans quelques mots courants comme œil, cœur ou nœud, ainsi que dans quelques mots savants d'origine grecque tels que œsophage ou œdème, la paire de lettres o et e est « collée » en un seul caractère œ. Comment appelle-t-on ce caractère ? Le dictionnaire d'Antidote le définit ainsi : « Digramme soudé oe ».
Comment détecter ces e muets ? Habituellement, le e muet correspond, à l'oral, à la voyelle [ə], qui a une caractéristique unique : on est libre de la prononcer ou non. Comparez par exemple [ʒəpaʁ] et [ʒpaʁ].
Certaines règles existent pourtant qui permettent de comprendre quand il faut mettre l'un ou l'autre. "On met un accent grave lorsque le "e" accentué est suivi d'une consonne, elle-même suivie du son "euh"", écrit Bernard Fripiat. Si le son est différent on met un accent aigu." On écrit ainsi "lève" et "lévitation".
E prononcé /iː/ ou /i/
Les verbes conjugués à la première personne du singulier se terminent par -ai au futur de l'indicatif et par -ais au conditionnel présent.
C'est le verbe "avoir" conjugué à la première personne (je) de l'indicatif présent. Exemple : "J'ai un chien." C'est aussi un auxiliaire qui sert à former le passé composé : "J'ai mangé." C'est bien ce "ai" que l'on emploie quand on écrit "C'est moi qui ai gagné !".
Ai est le verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif à la 1re personne du singulier. Ai peut aussi être l'auxiliaire de verbes conjugués au passé composé s'employant avec l'auxiliaire avoir.
Mot français ayant le plus d'accents aigus : hétérogénéité. En règle générale l'accent aigu se place sur la voyelle -é : - La bonté, le café, la charité, un éléphant.
L'accent parisien historique reste associé à l'accent populaire de Belleville et Ménilmontant — et plus globalement des quartiers populaires dans l'Est parisien et la petite couronne —, celui du titi parisien, popularisé notamment par le cinéma dans les années 1930 et 1940, mais encore bien présent dans celui des ...
L'accent aigu en français
On utilise l'accent aigu sur la lettre « e », -é se prononce comme un son fermé.
Femme vient du latin femina, qui progressivement s'est prononcé "fème", puis "fame", mais là encore les lexicographes ont tenu à maintenir le lien avec l'origine latine, donc le premier "e"… même s'il se prononce A. C'est toute la différence entre la graphie du français et celle de l'espagnol, par exemple.
Un vers de cinq syllabes est appelé pentasyllabe. Un vers de six syllabes est appelé hexasyllabe. Un vers de sept syllabes est appelé heptasyllabe. Un vers de huit syllabes est appelé octosyllabe.
1. Prononciation en deux syllabes d'une séquence qui comporte deux sons formant habituellement une seule syllabe (par exemple « nuage » [nɥaʒ] prononcé [nyaʒ]). [En versification française, la diérèse est de règle lorsque le i est précédé de deux consonnes, dont la seconde est r ou l.
En effet, lorsque o et e sont prononcés comme une seule lettre (un seul son), ils s'écrivent avec la ligature : cœur, œsophage. Alors que si on entend deux sons, si on entend distinctement le o suivi d'un e, quel que soit son timbre, on écrit o et e séparément : coexistence, microentreprise.
L'e dans l'o « œ » est un digramme, c'est-à-dire un groupe de deux lettres employé pour transcrire un phonème (un son). Au contraire, les lettres « oe » qui se suivent transcrivent deux phonèmes distincts. En typographie, on parle de ligature, c'est-à-dire la soudure de deux ou plusieurs lettres en un seul caractère.
Oe est l'abréviation de l'œrsted, unité de l'électromagnétisme dans le système CGS. OE est l'abréviation d'Oleoyl-estrone, un médicament. OE ou O∴E∴ dans le vocabulaire de la franc-maçonnerie est l'abréviation d'« Orient éternel » : « passer à l'O∴E∴ » signifie mourir.