Le Petit Robert, dans ses tableaux de conjugaison, donne, pour j'ai, les deux prononciations /Ze/ (= « jé ») et /ZE/ ( = « jè »).
Certains ouvrages de phonétique et certains dictionnaires affirment qu'on prononce [ ʒɛ ] (« jè »), et d'autres qu'on dit [ ʒe ] (« jé »).
Suiv. en principe ai se prononce è, comme dans lait, falaise, chantais... mais si c'est la terminaison du passé simple, c'est é.
Les –ai sont censées être prononcées « é », et les –ais sont censées être prononcées « è ».
Les verbes conjugués à la première personne du singulier se terminent par -ai au futur de l'indicatif et par -ais au conditionnel présent.
Dans le sud et l'ouest de la France ainsi qu'en Normandie, poulet se prononce usuellement avec la voyelle finale [ e ] (« é »). A l'inverse, dans le nord et l'est de la France ainsi qu'en Bretagne, la prononciation courante est [ pulɛ ] (« pou-lè »).
avec la lettre è comme dans « mère » ; avec les lettres ai comme dans « balai » ; avec les lettres ei comme dans « reine ».
Les lettres ai font le son [ɛ].
EY se prononce généralement \ɛj\ (ou \ej\) : cheyenne, grasseyer, hockeyeur, volleyeur, zézéyer…
-Il peut être représenté par 'è' et se prononcer comme le 'è' du mot mère. -Il peut être représenté par 'ê' et se prononcer comme le 'ê' du mot fête. -Il peut être représenté par 'ei' et se prononcer comme le 'ei' du mot peigne. -Il peut être représenté par 'ai' et se prononcer comme le 'ai' du mot saison.
C'est le verbe "avoir" conjugué à la première personne (je) de l'indicatif présent. Exemple : "J'ai un chien." C'est aussi un auxiliaire qui sert à former le passé composé : "J'ai mangé." C'est bien ce "ai" que l'on emploie quand on écrit "C'est moi qui ai gagné !".
Exemples : Je suis allé à Paris (il y a bien l'idée de mouvement), je suis allé faire une promenade. Règle 2 : Dans un langage plus familier, on utilisera le verbe « être ». Quand « aller » est pris au sens figuré et n'exprime pas l'idée de mouvement alors on écrira « j'ai été ».
Accent circonflexe sur le e pour les mots poêle n.m. et poêle n.f. ainsi que pour leurs dérivés.
Ce est soit un pronom démonstratif qui s'emploie avec être (ce sont, ce sera…) ou avec un pronom relatif (ce que, ce dont…), soit un déterminant démonstratif qui se place avant un nom.
En phonétique, on appelle le son [j] le yod. Pour prononcer ce son, dîtes rapidement « i e i e i e i e i e », vous finirez par entendre le son [j] de cette manière !
Le son [k] peut s'écrire avec la lettre c comme dans le mot couleur, avec la lettre k comme dans le mot koala, ou avec les lettres qu comme dans le mot quelqu'un.
Lorsqu'il se dit comme un [v] («wisigoth», «wagnérien»), c'est, la plupart du temps, parce que le mot vient de l'allemand, et quand il sonne plutôt comme un [ou] («week-end», «western», «whisky»), c'est que l'origine est anglaise.
Outre-Atlantique, la non-prononciation du -l final dans les mots comme persil, sourcil, nombril ou baril est la règle !