W utilisé seul, ou dans un sigle prononcé lettre par lettre blə ve\ : le W est une consonne, BMW… mais : en Belgique, se prononce souvent \we\ : WC, BMW… en France, se prononce \ve\ dans : WC (et BMW, dans les zones proches de l'Allemagne, sous l'influence de l'allemand)
W qui se prononce [v]
Dans certains cas, le w se prononce [v] comme un v; il s'agit, dans la majorité des cas, de mots d'origine allemande.
Lorsqu'il se dit comme un [v] («wisigoth», «wagnérien»), c'est, la plupart du temps, parce que le mot vient de l'allemand, et quand il sonne plutôt comme un [ou] («week-end», «western», «whisky»), c'est que l'origine est anglaise.
La lettre w prononcé « w » et « v »
La consonne "w" a été introduite tardivement dans l'alphabet français*. Wagon étant vu comme la francisation de "wagen" allemand (se prononçant va-gueune) il se prononce "va-gon".
À partir de la deuxième moitié du XIXe siècle, en France, en Suisse et au Canada, la prononciation « ouagon » a été supplantée par la forme francisée « vagon ». Cependant, en Belgique, la prononciation standard est restée celle avec le son [ w ]. Dans le nord de la France, on peut entendre les deux.
Prononciation de poêle
Le mot poêle, qui s'écrivait anciennement poële, peut se prononcer [pwal] ou [pwɑ:l] (avec un a allongé). Il peut être féminin lorsqu'il désigne un ustensile de cuisine ou masculin lorsqu'il désigne un appareil de chauffage ou un drap recouvrant un cercueil.
Parce qu'un moment donné le U était un V, comme dans Diev le veult! Les deux lettres ont la même origine. En latin, c'était le V qui était utilisé.
« Dernière venue » selon Grévisse, le W sera la dernière lettre introduite en français. Les mots commençant par W font leur apparition dans la 5e édition du Dictionnaire de l'Académie (1798), mais non la lettre elle-même.
Lorsque la lettre W est utilisée en français, elle est souvent prononcée "double V" car elle ressemble plus à deux lettres V (ou "v" en français) mises côte à côte plutôt qu'à deux lettres U.
Le W se prononce prononcer « ouhe ». Exemple: wagon = ouhagon. Alors qu'en France, on préfère le prononcer comme un simple V; Ne cherchez pas à prononcer les noms flamands : ils sont à apprendre par coeur.
- Le mot Wagon a été quelquefois écrit par un simple V; mais, nous conformant à l'orthographe adoptée généralement dans les documents officiels, nous avons conservé la forme originaire (wagon) comme étant à peu près la seule usitée.
Idem pour la ville de Bruxelles qui devra se dire «Brusselles». Le thésaurus donne deux raisons. La première nous vient de la phonétique du nom de la ville, issue du néerlandais «brysel» et la seconde, du mot Bruxelles originellement écrit en néerlandais «Brussel», formé sur bruoc «marais» et sella «habitation».
Ainsi le nom wagon s'est d'abord prononcé avec un <w> conforme à la prononciation anglaise d'origine, auquel un <v> s'est substitué dans la seconde moitié du 19e siècle, sans doute sous l'influence de l'allemand Wagen – ce qui explique la variante graphique vagon que l'on trouve tant chez Littré que chez Larousse.
Les valeurs de la marque éponyme de Vanessa Wu (à prononcer « WOU ») sont celles de sa créatrice : tolérance, de bienveillance et d'authenticité.
La prononciation [v] de la lettre « w » est notamment un héritage de l'Allemagne. Donc, si un mot débute par un « w » et est d'origine allemande, on prononcera le son [v], comme dans « walkyrie » [valkiRi]. D'autres mots étrangers suivent cette règle, dont « wagon » [vagɔ̃], qui serait issu du néerlandais.
Ce sont les phéniciens installés dans l'actuel Liban qui ont conçu les lettres du premier alphabet, au XIIIe siècle av. J. -C. Il comprenait 22 consonnes.
Vers le 13e siècle av. J. -C., sous des traits cunéiformes, apparaît l'alphabet dit ougaritique. Mais c'est à l'alphabet phénicien, issu de ces premiers essais et tel qu'il est attesté vers l'an 1 000 av.
Ce sont les phéniciens qui sont à l'origine de l'alphabet que nous utilisons en français. Notre alphabet est l'alphabet latin qui est un mélange des écritures sémite, grecque et étrusque. Les premiers textes en écriture latine datent du VIe siècle av.
En France, la gravure officielle a repris cet usage jusqu'au XIXe siècle, d'autant que les lettres U et V (de même que I et J) ont été confondues en français jusqu'au milieu du XVIe siècle et séparées définitivement seulement dans la quatrième édition du dictionnaire de l'Académie, en 1762.
Le Z est une lettre de l'alphabet latin. Elle est la 26e et dernière lettre de l'alphabet français ainsi que sa 20e consonne.
B (capitale : B, minuscule : b) est la deuxième lettre de l'alphabet latin et sa première consonne.
Le Trésor de la langue française explique, en citant Le Petit Robert, qu'il est possible de dire «anisse». Le Littré précise cette utilisation. Le 's' se lie devant une voyelle. Exemple: «L'anis odoriférant, dites l'ani-z odoriférant».
▶️Au pluriel : des ananas / les ananas. Alors, on prononce le "S" final ou non en France ? Et bien, en fait, on prononce "ANANAS" de 2 manières. ▶️ANANA(S) sans prononcer le "S" à la fin.
Les deux théories s'affrontent. D'un côté, les gens du sud de la France et du Nord qui prononcent le « l » et de l'autre, ceux qui habitent en Île-de-France, en Normandie, Centre-Val de Loire, Bourgogne Franche-Comté et Grand-Est qui prononcent « persi ».