Associé avec le moteur principal, le propulseur d'étrave facilite les manoeuvres de port. Pour être efficace, l'hélice du propulseur doit être placée le plus en avant possible (pour offrir le meilleur bras de levier), mais suffisamment immergée pour garder de la propulsion et ne pas brasser de l'air.
Utilisation du propulseur
Le chasseur positionne son projectile sur le propulseur en le calant sur le dispositif d'accroche. Il positionne en arrière le bras qui tient le dispositif. Il projette ensuite son bras en lâchant à mi-course le projectile.
En fonctionnement, son tournoiement va pousser l'eau perpendiculairement à l'axe du bateau, et donc aider à le diriger. Selon son sens de rotation, elle va permettre de faire pivoter l'étrave à bâbord (gauche) ou à tribord (droite).
Pour obtenir une performance optimale à l'étrave, le propulseur doit être monté le plus bas et le plus à l'avant possible, généralement à minimum 30 cm sous la ligne de flottaison, mesuré à partir du centre de l'hélice.
Le propulseur rétractable est le propulseur idéal. Grâce à sa rétractabilité, votre hélice ne pourra être abimée. De plus, la surface de coque reste inchangée lors de la navigation et permet de favoriser les performances et la vitesse de votre bateau. Il peut être placé au plus proche à la proue de votre bateau.
La propulsion motorisée, qui consiste à actionner un propulseur grâce à un moteur, est la plus répandue. La propulsion motorisée est la plus répandue. Elle consiste à actionner un propulseur grâce à un moteur. Le moteur est chargé de transformer l'énergie primaire du combustible en énergie mécanique et/ou électrique.
Les flaps sont de petits volets, manœuvrés par un moteur électrique ou une pompe hydraulique, permettant d'améliorer la portance de l'arrière de la coque d'un bateau. Ces volets vont dévier des filets d'eau à l'arrière du bateau, modifiant son comportement.
Une hélice a un pas à droite lorsque, vue de l'arrière du bateau, l'hélice doit tourner dans le sens des aiguilles d'une montre pour faire avancer le bateau. A l'inverse, une hélice a un pas à gauche lorsqu'en marche avant l'hélice tourne dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
Fonctionnement des moyens de production d'électricité à bord
L'énergie éolienne est produite grâce à l'utilisation de turbines éoliennes installées sur le bateau. Ces turbines sont capables de capturer l'énergie du vent et de la convertir en électricité grâce à un générateur.
Pour avancer, un bateau à moteur utilise un moteur marin, un inverseur, un ou plusieurs arbre(s), une hélice et un gouvernail. Ce mécanisme appelé système de propulsion produit suffisament de puissance pour déplacer le bateau.
La découverte de crochet de propulseur, en bois de renne os ou ivoire, atteste de l'existence de cette nouvelle arme. Son invention remonterait au minimum à 20 000 ans (époque solutréenne). Son efficacité laissent à penser que c'est une invention qui a du être rapidement acceptée par les chasseurs du paléolithique.
Le propulseur prolonge le bras humain et multiplie sa vitesse par effet de levier. Il est attesté en Europe dès le Paléolithique supérieur, du Solutréen supérieur au début du Magdalénien supérieur, de -23000 à -15000 dans une région limitée (Périgord et Pyrénées).
L'hélice transforme l'énergie mécanique du moteur en force propulsive. Le vilebrequin entraîne une hélice, qui accélère l'air d'environ 10 % en croisière (si l'avion vole à 200 km/h, la vitesse de l'air derrière l'hélice est de 220 km/h ), mais beaucoup plus pendant la phase d'accélération au sol et en montée.
Le propulseur préhistorique est une arme de jet destinée à la chasse, à la pêche ou au combat. Il apparaît au paléolithique supérieur. Il permet le tir de projectile comme une sagaie, un harpon ou une longue flèche, empenné ou non. Aujourd'hui il existe des compétitions sportives de tir au propulseur.
Suivant le principe de l'osmose, l'eau douce pénètre la membrane pour se mélanger à l'eau salée. L'augmentation du volume d'eau dans la membrane entraîne une augmentation de la pression sur les parois qui va à son tour actionner une turbine produisant, via un générateur, de l'électricité.
L'eau passe dans une turbine connectée à un alternateur, qui produit de l'électricité. La puissance de l'installation dépend de la force avec laquelle l'eau entraîne la turbine, qui est fonction de la hauteur de chute et du débit.
Le principe est d'équiper une digue portuaire ou de protection du littoral, déjà existante ou nouvelle, d'un volet oscillant permettant de convertir la force des vagues et de la houle en électricité. Le volet permet également d'amortir la force produite par l'impact des vagues.
Moins une hélice a de pales et plus elle est efficace. Malheureusement, moins de pales signifie aussi plus de vibrations. Les hélices à trois pales sont les plus courantes pour la navigation de plaisance car elles offrent le meilleur compromis entre performance, vitesse de pointe et consommation.
En temps normal, pour équilibrer dynamiquement une hélice, il faut un dispositif qui mesure l'amplitude du déplacement du déplacement du moteur. Soit le cercle est petit car le balourd est faible, soit le cercle est grand car le balourd est important. Ce dispositif de mesure est composé d'un accéléromètre.
Il s'agit du pas théorique, car dans la réalité, l'hélice glisse sur l'eau. Pour connaître le pas réel, il faut prendre en compte le glissement, soit une perte de rendement provoquée par le frottement de la carène et les perturbations des flux d'eau.
Interdiction de siffler à bord, sauf pour le Maître Coq :
Les marins considèrent que siffler fait venir le vent, voire la tempête. Même par temps calme, il n'était pas de bon augure que les marins sifflent, contrairement au chant recommandé pour éviter d'entendre celui des sirènes.
Que faire par mer de face ? Il est préférable de ne pas trimer en positif, car la carène étant plus plate dans sa moitié arrière elle frappe sèchement l'eau. Si, au contraire, on fait « travailler l'étrave », la coque se maintient plus à plat et assouplit les chocs grâce au V plus marqué des formes avant.
Le rattrapant, avant de dépasser un autre navire, doit s'assurer que la largeur de la voie navigable est suffisante pour le passage de front des 2 bâtiments, que la manoeuvre est sans danger et qu'elle ne gène pas la navigation des autres navires. Le dépassement peut avoir lieu par la gauche ou par la droite.
La propulsion spatiale est un domaine de recherche actif, pourtant la plupart des véhicules spatiaux utilisent actuellement le même type de propulsion s'appuyant sur l'éjection de gaz à grande vitesse en arrière du véhicule au travers d'une tuyère. Ce genre particulier de propulsion est appelé moteur-fusée.